Planches Du Compagnon

grades, degrés et qualités. J’ai eu du mal à rentrer dans cette planche et cela a été difficile de la quitter aussi, de me dire que j’avais fini, qu’il fallait que je mette un point final, que je rédige enfin. Je me suis demandée pourquoi et là, l’image de mon père est apparu, mon père avec son tablier de cuisinier en train de faire à manger, d’être heureux de ce qu’il allait apporter aux autres avec son art. Quitter cette planche, enfin la mettre en mots, c’était quitter mon père. Etrange non 

apparait donc comme une parabole définissant l’existence du poète. Dans la dernière strophe le poète et l’albatros ne forme plus qu’un cette association oblige à une ré)interprétation : Le voyageur devient le poète, les d’équipage la foule et les planches. B- L'élévation La verticalité, l'aspect aérien. L'albatros est évoqué dans toute sa grandeur comme le confirme l'enjambement des vers 1 et 2 qui suggère l'immensité des espaces que l'albatros a à parcourir. L'aspect sublime : Au-dessus de

noter la présence du vocabulaire théâtral : « planches », avec l’oiseau mis sous les feux des projecteurs, faisant une sorte de représentation devant les marins jouant le r^^ole de spectateurs. Il y a un passage du pluriel au singulier, le passage de « homme d’équipage », « oiseau » puis « compagnon » rendant l’oiseau plus familier au lecteur. Il en est de même pour le lieu avec un rétrécissement, passant de la mer, aux gouffres amers puis aux planches. II. Le poète s’assimile à l’albatros 1

est assisté de son compagnon , james barne allias bucky , un jeune adolescent . TAILLE OU DUREE OU SE TROUVE T ELLE SON STYLE CONTEXTE HISTORIQUE Le premier comics de captain America et apparu en 1940 lors de la 2 gerre mondiale . A cette epoque les etats unis n'était pas encore rentré en guerre . Mais le comics a continué a etre écrit bien apres cette guerre puisque dans le n° 78 , on peut s'apercevoir que l'ennemi de Captain America et L'urss DESCRIPTION 1 ere planche : captain america est

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un

DU GADLU, Vénérable Maître et vous tous mes Frères en vos grades et qualités, je vais vous exposer ma planche qui a pour thème : l’Etoile Flamboyante. Le temple maçonnique est à l’image de l’univers et représente le cosmos avec ses constellations d’étoiles. L’Etoile flamboyante par sa présence, sa profondeur, sa luminescence, symbolise la quête permanente de la connaissance de tout compagnon qui travaille sa pierre cubique. La chanson de jaques BREL parle très bien de l’étoile flamboyante surtout

univers ('rois, prince'), l'albatros majestueux règne au dessus des Hommes ('grandes ailes blanches' peut même évoquer hermine impériale)• 'Indolents compagnons' marque sa confiance et sa nonchalance • Son caractère pacifique : aucune présence d'hostilité, il fait même preuve d'humanité : ce qui donne une impression d'égalité avec les Hommes ('compagnon de voyage') mais l'albatros se révélera même plus humain que les matelots.Mais cette image valorisante s'inverse :• Oxymore 'infirme qui volait' marque

Baudelaire L’Albatros Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! 10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace

également soutenues par l’emploi du tétramètre au vers 4, qui rend compte de l’écoulement des eaux. Cette atmosphère de nonchalance est soulignée par des assonances en nasales [an] et [on] (exemples). * Le cadre du récit se rétrécit au vers 5 « les planches », qui est la synecdoque du bateau. Ce rétrécissement se voit également par le passage du pluriel au singulier. Ce cadre paisible vient souligner le contraste avec les évènements qui s’y déroule. B). Rencontre de personnages radicalement différents

Trois niveaux de compétence: - apprenti (6 ans pour les charpentiers, puis 3 ans au XVIIe siècle) - compagnon - maître Les manouvres ne faisaient pas partis des corporations. Ils transportaient le matériel. Une fois que la durée d’apprentissage était terminée, l’apprenti devenait compagnon, il pouvait changer de maître mais il n’avait pas le droit de signer un contrat avec un particulier. Pour être maître il fallait qu’il