Planisphère de Waldseemüller

États américains (OEA), de l'ANZUS, de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), du G8, et membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies. Dénomination En 1507, le cartographe lorrain Martin Waldseemüller produit une planisphère représentant la région méridionale de l'hémisphère ouest. Il y inscrit alors le prénom féminisée « America », en l'honneur du navigateur florentin Amerigo Vespucci, sachant que Amerigo est l’équivalent italien du prénom d'origine germanique

plus grande des caravelles de Colomb mesurait 25 m de long et 8 m de large, la surface de trois salles de classe pour traverser l’Atlantique !) Les flottes sont peu imposantes (trois navires pour Colomb, cinq pour Magellan). Doc. 3 : Planisphère de Waldseemüller, 1507 Les vieilles représentations chrétiennes et musulmanes de la Terre plate disposée en trois continents en « T » autour des villes saintes comme Jérusalem ou La Mecque n’ont plus cours. Ni Jérusalem, ni la Mecque, ni la Méditerranée

également existé, comme l’empire du Songhaï du xve au xvie siècle. Son université, Sankoré, attire des étudiants et des savants de tout le monde musulman, venus étudier les mathématiques, la grammaire et la littérature. Le document 2 est un planisphère d’Henricus Martellus de 1489. Ce cartographe allemand installé à Florence s’est basé sur les progrès scientifiques liés au compte rendu des navigateurs portugais comme Bartolomé Dias qui a atteint le cap de Bonne-Espérance en 1488 (relevés des

du Brésil, et comprend enfin que les terres découvertes par Colomb ne sont pas des îles au large de l’Asie, mais bel et bien un nouveau continent, ainsi qu’il l’affirme dans un texte, le Mundus novus, rédigé en 1503. En 1507, le géographe Waldseemüller entreprend de réactualiser la carte du monde laissée par Ptolémée dans son ouvrage Cosmographia. Il dessine le littoral occidental de l’Atlantique en intégrant les données récentes, en particulier celles fournies par AV. Il mentionne la découverte

sud. Cela amène les hommes à découvrir que le globe est beaucoup plus vaste et complexe que tout ce que l’on avait pu imaginer. L’espace géographique connu s’élargit donc et les Européens prennent conscience de leur capacité à le maîtriser. Le planisphère de Toscanelli au milieu du XVe siècle L’Amérique, l’Océanie et l’Antarctique ne sont pas représentés car encore inconnus. Les parties du monde les mieux connues et représentées sont l’Europe et une partie de l’Asie. Le reste de ce dernier continent