Plantagenêt

Conter par rime On trouve des chose merveilleuses Ses Lais d’inspiration celtique sont une expression exceptionnelle de la tradition courtoise Elle établit un lien entre la France et le Royaume-Uni: Française, elle habite à la cour de Henri II Plantagenêt (1154-1189). Les Lais: composés entre 1160 et 1178. Elle avait une vie obscure. Le Prologue Le « Prologue » est le premier contact du lecteur et de la lectrice avec le texte: d’où son importance. Pourquoi: le « Prologue » encode, influence

Le règne de Louis VII le Jeune qui s’étend de 1137 à 1180 s’avère néfaste pour la dynastie où il répudie la reine Aliénor qu’il a épousée ; elle reprend sa liberté et épouse Henri II Plantagenêt, duc de Normandie, comte d’Anjou, du Maine et futur roi d’Angleterre. Aliénor lui apporte l’Aquitaine en dot et Plantagenêt possède alors cette région. Il faudra plusieurs générations de Capétiens pour que ce royaume de France minuscule s’agrandisse. Philippe II Auguste qui règne de 1180 à 1223 va réunir

l'issue des combats les Anglais renoncent à s'emparer du trône de France » (linternaute.com/histoire). S’agissant de Jeanne d’arc non seulement c’est à Rouen mais encore en 1431 qu’elle sera brûlée vive. Richard Cœur de Lion de la dynastie des Plantagenêts, fils d’Henri II et d’Aliénor d’Aquitaine, frère de Jean-sans-terre, né en 1157 meurt en 1199. Il a été roi d’Angleterre de 1189 à 1199. Il sera fait prisonnier pendant la troisième croisade et ne sera libéré que moyennant une importante rançon

droit et la législation sont en constante évolution et, peu à peu, la monarchie féodale se mue en une force plus moderne. Ce qui a parfois hâté les évolutions, c'est l'ambition continentale des souverains : aux Normands succèdent, en 1154, les Plantagenêts, ou « Angevins », qui, avec Henri II, vers 1180, contrôlent la Normandie, l'Anjou, le Maine, la Touraine, l'Aquitaine, une moitié de la France associée à l'Angleterre dans un impressionnant « Channel State » ; effondrements, reconquêtes aboutissent

face à partir des années 1150 à la naissance d’un « empire Plantagenêt » regroupant dans un même ensemble l’Angleterre et le tiers ouest de la France[e 35]. Le royaume capétien atteint un apogée au XIIIe siècle, la monarchie reprenant le pouvoir qu’elle avait perdu[e 36] tandis que l’art et la culture français s’affirment en Europe[e 37]. Philippe Auguste (1180-1223) parvient à conquérir l’essentiel des possessions françaises des Plantagenêt, mettant temporairement fin à la menace anglaise et agrandissant

: l'absence d'autorité du roi sur ses grands vassaux. Le roi n'est qu'un seigneur parmi d'autre sur le plan du pouvoir. Il est moins riche et moins puissant que d'autre seigneur. Le roi est donc bien moins puissant queles duc de normandie, les plantagenets et les autre seigneurs vont en profiter pour ne pas se soumettre au roi, ne lui prêtant pas hommage, et au delà, il ne vont pas fournir les services vassaliques qui devaient être dû. A) le refus d'hommage. L'hommage est le signe visible du

donc l’égal du roi de France et refusent de se plier à son autorité. Il faut attendre le XIIème siècle pour que le duc de Normandie, roi d’Angleterre, reconnaisse que le roi de France est placé au sommet de la pyramide féodale. En 1151, Henry de Plantagenêt se rend à Paris pour prêter un hommage au roi de France. Il reconnaît donc la supériorité du roi de France sur le duché de Normandie. C’est un grand événement qui va contribuer à affermir la théorie de la suzeraineté royale.  Cependant, c’est à

qui lui a permis de s'imposer très tôt comme place marchande importante. Au XIIème siècle, c'est le lieu de centralisation des marchandises pour le Nord de l'Europe. La charte de confirmation de la commune donnée à la ville vers 1150 par Henri II Plantagenêt assure aux marchands de nombreux privilèges. Il s'agit en particulier de monopoles (monopole du commerce des vins de France vers l'étranger et en amont de Rouen, monopole du commerce avec l'Irlande), de facilités (libre disposition à Londres du

légende qui transfigure la réalité historique. De même, dans un opuscule mis en circulation en 1158, un thuriféraire des Plantagenêts, descendants de Geoffroi Grisegonelle, prétend que le comte d’Anjou reçut en récompense de sa conduite sur les champs de bataille de 978 la charge de sénéchal de France. L’épisode est parfaitement faux, mais il conforte les prétentions des Plantagenêts au milieu du XIIe siècle. L’héroïsme prêté à Geoffroi, à la faveur de la popularité des événements de 978, sert désormais

d’infamie, celui de Ganelon disparaissait pour jamais de p.156 l’onomastique (94). A ces contes, il arrivait qu’on se reportât comme à d’authentiques documents. Fils d’une époque pourtant déjà beaucoup plus livresque, le célèbre sénéchal de Henri II Plantagenêt, Renoul de Glanville, qu’on interrogeait sur les raisons de la longue faiblesse des rois de France vis-à-vis des ducs normands, répondait en invoquant les guerres qui jadis avaient « presque détruit » la chevalerie française : témoins, disait-il