Plantu Homme

profite de l'inattention des passants pour s'éclipser. Elle observe les immeubles parisiens puis se retrouve devant une bouche de métro toujours fermé par la grève. Déçue, elle se met à pleurer et va s'asseoir sur un banc. Puis, elle entend la voix d'un homme qui lui demande ce qu'elle a. Elle se méfie de lui mais accepte quand même le Cacocalo qu'il lui offre dans un bistrot. IlsIls vont au marché au puces. L'homme et Zazie s'enfoncent dans la foule. Elle rêve de s'acheter un bloudjinne, mais elle n'a

années qu’elle est au moment de la rédaction, qui sont contées. Entre confessions, souvenirs et inventions, détournement ou transformations, Duras nous fait plonger dans les méandres de sa mémoire décousue dont le centre est cette rencontre avec un homme Chinois, élégant, plus âgé, qui lui fait découvrir le plaisir destructeur d’un amour charnel. Le passage contient trois mouvements principaux ; le premier des lignes 1 à 20 où les personnages se découvrent, apparaissent l’un à l’autre ; le second

études. Agmar était un jeune marocain plutôt aisé mais obliger de partir pour faire ses études supérieurs en France car le Maroc n’avais pas un niveau scolaire assez élever pour lui. C’était un garçon très sociable ; qui s’adapte a tout. Le jeune homme avait un petit appartement prés de sa faculté et ne dérangeait personne depuis son arrivé en France. Mais bizarrement un bon nombre de gens ne supportait pas de le voir. Agmar ne se rendait pas compte. Mardi 20 mai, deux jours avant son important

que tient bien droit devant lui. Le jeune Elliott fulminait à l'idée qu'un étranger ce soit introduit sur sa propriété, mais pour son interlocuteur de se trouver là lui paraît tout à fait normal puisque cette terrasse est aussi la sienne. Le vieil homme tenta par tous les moyens de le convaincre qu'il est lui, mais avec trente ans de plus. Après mainte tentative, il ne vit plus qu'une seule option : il doit lui dire ses secrets les plus enfouis, ceux dont il n'a jamais à personnes. Intrigué parce

suite elle fut étourdie, stupéfaite par le tapage des ménétriers, les lumières dans les arbres, la bigarrure des costumes, les dentelles, les croix d'or, cette masse de monde sautant à la fois. Elle se tenait à l'écart modestement, quand un jeune homme d'apparence cossue, et qui fumait sa pipe les deux coudes sur le timon d'un banneau, vint l'inviter à la danse. Il lui paya du cidre, du café, de la galette, un foulard, et, s'imaginant qu'elle le devinait, offrit de la reconduire. Au bord d'un champ

eviter de ce faire atomiser. il faut donc sauver un homme et une femme pour préserver l humanité et son savoir, car la bombe menace de détruire oute la terre... cette jeune d'une grande beauté et un homme son sauver dans l'oeuf quand la bombe eclate... on crois d'apres le recit de la femme que c'est le plus grand scientifique de son epoque qui est toujours congelé dans l'oeuf... pendant ce temps elle nous raconte son amour pour un jeune homme ( encore du bon barjavel) leur vie... elle ne veut

à Paris. Le jeune homme vient jouer sa dernière pièce d'or. Il perd et décide d’en finir avec la vie. Se noyer en plein jour dans la Seine le rebute. Il préfère attendre la nuit pour rendre son suicide plus mystérieux. Il souhaite conserver « cette dernière image du luxe et de l'élégance » . L'inconnu entre dans un magasin d'antiquités. Il souhaite attendre la nuit et décide pour passer le temps de marchander quelque objet d'art. Lorsque surgit l’antiquaire, le jeune homme finit par avouer son

pas tout le courrier pendant que son mari découche. Non, tenons pour acquis qu'il existe une Mère Noël, et posons-nous la seule question qui compte : le Père Noël est-il fidèle ? Car de quoi parlons-nous ? D'un homme vigoureux - il porte allègrement un énorme sac de jouets - d'un homme bien de sa personne (quoique avec la barbe on puisse avoir des surprises) qui s'introduit nuitamment où bon lui semble, sans aucun respect de la vie privée, comme un vulgaire poseur de micros des services secrets

intéresserons au portrait naturaliste et contrasté des personnages. Notons d’emblée l’ambiguïté physique et sexuelle de Camille, le mari de Thérèse. Cette ambiguïté est traduite par l’affirmation : Thérèse « …n’avait jamais vu un homme » l.3 et renforcée par le prénom mixte de Camille. ZOLA suggère ainsi qu’aux yeux de Thérèse, Camille n’a aucune virilité et ne joue pas le rôle d’un mari. Dans cet extrait, Camille passe également pour un ignorant capricieux, en quête de se faire

animiste Sauvagerie Toute les autres qui ne sont pas encore arrivée a la civilisation elles sont toutes voué a arrivée en haut, elles sont juste en retard. Elles doivent toutes arriver au mode de société occidentale. // Polygynie: mariage d'un homme avec plusieurs femmes Polyandrie: mariage d'une femme avec plusieurs Hommes // Sororat, Séria , règle que si le mari meurt , le frère du mari va devoir épouser la veuve. // On aurait peut aussi faire un schéma même avec la musique, chose très