Plaute Mercator

issu de la comédie à l'italienne, tout en s'écartant nettement, sur certains points, de la traditions. a) Matamore Matamore et Clindor reprennent le schéma traditionnel des relations entre le fanfaron et son valet (Aristophane, Les Acharniens ; Plaute, Le Soldat fanfaron, avec Pygropolinice). Ce type est un personnage obligatoire de la commedia dell'arte, et connaît un grand succès en France (première moitié du XVIIe siècle). Corneille n'en fait pas un caractère original : se veut l'incarnation

dramaturgie Décor fixe, peint selon lois de la perspective ; apparition de machines (qui permettront métamorphoses du théâtre baroque). A l’origine (comme toujours chez la Pléiade), le nouveau théâtre se réfère plus à des modèles (Plaute, Térence pour comédie, Euripide et Sénèque pour tragédie) qu’à des règles. Elles sont floues : Art Poétique d’Horace et chez des rhéteurs tardifs comme Donat. La Poétique d’Aristote commence à peser davantage dans les années 1570 (mouvement

Commentaire composé de la première scène de l'acte I de l'œuvre « Le soldat fanfaron », de Plaute visant à se demander en quoi la relation entre le maître et le valet rend la scène comique. Ecrit en 2010; 1075 mots; 0 sources; 3,95 € Résumé: Plaute est un auteur du 3ème siècle avant JC. C'est un auteur latin et comique. Il a eu une vie assez aventureuse. Il nous reste de cet auteur 20 comédies dont celle du soldat fanfaron. La pièce s'intitule en latin Miles Gloriosus. Dans cet extrait nous sommes

implique une définition précise des caractères de ces catégories. Le but de l'auteur est ensuite de faire rentrer ces différents personnages en conflit palliata : masqués hommes théatre I. Palliata : Une part significative de l’œuvre de Plaute a été conservée , l’intégralité de celle de Terence. Ils composèrent des palliatae. Chronologiquement entre les deux, Titinus et Cécilius ont écrit des togatae pour le premier et des palliatae pour le second mais il ne reste que de maigre lambeaux

décalage avec la réalité, hyperbole => comique de geste => futur simple envoie a la réalité => animalisation de l’humain : « flairer » ligne 29 Le Rire de Bergson Il révèle l’angoisse => rire d’être en situation de faiblesse b) Réecriture de Plaute à Molière Types comiques => personnages de plusieurs comédies, reprise par plusieurs autres n° 2, 5, 6, p 64 • Amplification des traits de caractère => modalités ! et ? chez Molière : ponctuation expressive à la folie. Monologue =>

et de l'invention dramaturgique et scénique. Cela ne signifie pas toutefois que la comédie bafoue toujours l'ordre et les valeurs de la société où elle opère." Analysez et commentez ces propos en vous appuyant sur Casina ou les tireurs de sort de Plaute, Les Fourberies de Scapin de Molière, et Arlequin serviteur de deux maîtres de Goldoni. Je voulais avoir votre avis sur mon plan : On s’intéressera d’une part aux points essentiels qui déterminent ce qu’est une comédie ; puis à la comédie qui bafoue

commedia dell’arte, commença par écrire des comédies en un ou trois actes, et c’est à partir de « L’Ecole des Femmes » que Molière écrivit de grandes comédies de caractère en 5 actes. Pour « l’Avare », Molière s’inspire de « L’Aulularia » du latin Plaute, pièce écrite 200 ans avant Jésus-Christ. Cette réécriture est d’ailleurs bien conforme aux agissements de l’époque, à savoir l’imitation des Anciens. Mais Molière ne s’est pas contenté de mettre bout à bout les idées empruntées aux autres, mais

un personnage qui prend la parole au début de la pièce pour raconter la pièce (intrigue donnée d'avance donc) Chez Plaute : le personnage est parfois appelé Prologus ou bien le personnage peut ensuite jouer ensuite un rôle dans la suite de la pièce. Parfois le prologue est absent (si on est sûr que le début de la pièce n'est pas pas perdu) La forme en est traditionnelle chez Plaute : appel au public pour la captatio beneuolentiae (« soyez gentil avec moi ») // résumé de l'action à venir // appel

celle du mensonge. Ce questionnement qui concerne l’être humain dans son intériorité fait face au plus contradictoire des raisonnements dans notre société actuelle. L’idée m’est venue d’aborder ce sujet à la suite de la lecture d’un proverbe cité par Plaute, un poète comique latin très populaire dans la Rome antique. « On préfère un compliment menteur à une critique sincère. » À partir de cette affirmation, une question reste « À-t-on le droit de mentir? » Venant du fait que nous vivons dans une société

action, lieu et temps ; règles de vraisemblance et de bienséance ; unité de ton. Mais toujours destin ; les héros chez Corneille se déchirent tandis que chez Racine ils sont irrémédiablement vaincus) ; - comédie antique (Aristophane, Ménandre, Plaute, Térence); - farce médiévale (quiproquo, comique de gestes. Commedia dell'arte)) - comédie classique (respecte les règles du théâtre classique tout en critiquant la société ; toutes les formes de comique sont utilisées. Molière) ; - comédie