Plongée

‐
écrasés
au
passage
de
la
meute
de
chiens
 • plan
large
fixe
sur
la
course
des
chiens
dans
les
rues
:
saccage
au
passage.
 • plan
fixe
:
arrivée
des
chiens
sur
la
caméra
=
spectateur
concerné,
victime
potentielle
 • contre‐plongée
large:
une
fenêtre,
un
homme
apeuré.
Léger
travelling
vertical
bas
haut
 • plongée
large
sur
la
meute
de
chiens,
lent
travelling
arrière
qui
donne
le
point
de
vue
de
 l'homme.
 • en
parallèle
avec
le
plan
du
regard
du
chien
vers
le
haut,
le
plan
où
l'homme
apparaît
à
la
 fenêtre.
 • fin
de
générique

que la taille du gouvernail était inadaptée au gabarit du navire. Chose étrange : La commission est bien obligée de constater qu'aucun batiment n'est insubmersible. Une théorie vient de faire récemment surface (c'est le mot !) suite aux dernières plongées effectuées sur l'épave, elle concerne la mauvaise tenue des aciers de l'époque qui deviendraient cassants à basses températures ... 2. Le nombre de canots de sauvetage. Constat effarant : Les 20 canots ne pouvaient embarquer que 1178 personnes

pénètrent dans les locaux et tirent sur tout ce qui bouge, c’est-à-dire des hommes vêtus de toges blanches recouvrant leur tête à la manière des uniformes des membres du Ku Klux Klan. Ici, Miyazaki fait s’opposer deux mondes très différents. La ville plongée dans l’obscurité est remplie de hauts immeubles oppressants. C’est la prison ; et la campagne, elle, est caractérisée par la lumière que l’on retrouve à la sortie du tunnel par les deux policiers et l’ange à la fin du film. L’extérieur de la ville

cultures latine, anglo-saxonne et nordique », dans Eduardo Davel, Jean-Pierre Dupuis et Jean-François Chanlat (dir.), Gestion en contexte interculturel : approches, problématiques, pratiques et plongées, Québec, Presses de l’Université Laval et Télé-université (UQAM), 2008. 2 PARTIE IV PLONGÉES EN AMÉRIQUE INTRODUCTION I l existe plusieurs façons d’aborder la relation entre la culture et l’économie, les affaires ou la gestion. Nous pourrions par exemple parler d’une culture économique

entre cultures latine, anglo-saxonne et nordique », dans Eduardo Davel, Jean-Pierre Dupuis et Jean-François Chanlat (dir.), Gestion en contexte interculturel : approches, problématiques, pratiques et plongées, Québec, Presses de l’Université Laval et Télé-université (UQAM), 2008. 2 PArTIE IV ✦ PLongéES En AMérIQUE IntroductIon I l existe plusieurs façons d’aborder la relation entre la culture et l’économie, les affaires ou la gestion. nous pourrions par exemple parler d’une culture économique

du film enregistré au cours d’une même prise.  Plan américain : cadrage d’un personnage à mi-cuisse.  Plan d’ensemble : cadrage couvrant la totalité du décor et les personnages qui s’y trouvent.  Plongée : prise de vue du haut vers le bas. Le point de vue du bas vers le haut est la contre-plongée.  Séquence : ensemble de plans ayant une unité de lieu ou d’action.  Slapstick (« coup de bâton ») : gag reposant sur un comique physique et violent (ex : chutes, bagarres,  chocs, poursuites…)  Surimpression

hauteur du regard : vision « naturelle »du produit, pris comme OBJET. - Niveau zéro = mi-hauteur du produit, souvent de face, en « dialogue »avec le lecteur, pris comme SUJET - Plongée : produit pris de haut en bas : vue d ensemble, familiarité, écrasement. Le spectateur domine le produit - Contre-plongée : produit vu d’en bas en haut : rehaussement, «piédestal ». C’est le produit qui domine. Valorisation. Dimension du champ : - Panoramique : produit petit dans un grand paysage :

c'est la compo artistique qui va permettre de montrer(ou pas) certains éléments de la composition du visuel. Le récepteur va pouvoir imaginer la suite - Prise de vue qui va determiner l'implication du récepteur > à hauteur d'oeil - en plongée - en contre plongée - Plan > plan général: situe l'action et montre tous les protagonistes dans le contexte de l'action > plan d'ensemble: totalité du décor avec les personnages qui s'y trouvent. On ne voit pas l'environnement ni le contexte. On doit

aux diverses fois où les soldats ont tiré dans la foule de manifestants catholiques. Les images des enfants et celles des soldats ne sont pas sans rappeler celles de guérilla urbaine. Les musiciens sont quant à eux parfois filmés en plongée ou en contre-plongée, avec parfois des gros plans, probablement pour souligner que toutes les autres images se passent tout autour d’eux. Les gros plans sur la chanteuse nous permettent de voir clairement la colère qu’elle exprime, et qui est aussi exprimée

Visuellement on en fait vite le tour. « Une image doit être une aventure pour l’œil » P.Berthomieu Les Dents de la Mer 1ère minute de film : Dès le logo il se passe quelque chose. On y appose un son de sonar. On a l’impression d’une plongée dans un univers sonore qui est un univers marin. Il y a immersion dans un univers aquatique qui nous est étranger. Il a choisit d’utiliser l’ancien logo Universal qui s’accordait plus au son. Après le logo il y a 13 secondes de carton noir, qui