Pluie acide

lexical de la nature telle que les mots « désert » (l. 5), «automne » (l. 6), « feuille séchée » (l. 12), « cime dépouillée » (l. 13), « mousse qui tremblait » (l. 13), « roche écartée » (l. 14), « étang désert » (l. 14), « jonc flétri » (l. 14)et « pluie » (l. 21) interprète de façon claire l’état de chagrin du héros. De plus, la métaphore « Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert »

 Fiche de cours préparée et mise en pratique par Ahmed MAHFODI. Module : Le roman maghrébin contemporain. Œuvre : Il était une fois un vieux couple heureux. Auteur : Mohammed KHAÏR-EDDINE. Activité : Lecture. Public visé : 2ème année du baccalauréat.  Phase pré-pédagogique : Objectifs spécifiques : L’apprenant doit être capable de : - identifier dans le passage les éléments de la valorisation de la culture berbère par le narrateur. - dégager la fonction du langage poétique.  Contrainte

sous les auvents des portes. Cependant la pluie tombait à flots. On ne voyait plus dans la cour que les forçats nus et ruisselants sur le pavé noyé. Un silence morne avait succédé à leurs bruyantes bravades. Ils grelottaient, leurs dents claquaient ; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s'entre-choquaient ; et c'était pitié de les voir appliquer sur leurs membres bleus ces chemises trempées, ces vestes, ces pantalons dégouttant de pluie. La nudité eût été meilleure. Un seul,

régions inconnues que ton coeur demande. » « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! » Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté, et comme possédé par le démon de mon coeur. c- LAMARTINE, Méditations Poétiques, « Le Lac ». Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous

averse averse Pluie ô pluie ô pluie ô ! ô pluie ô pluie ô pluie ! gouttes d’eau gouttes d’eau gouttes d’eau gouttes d’eau parapluie, ô parapluie ô paraverse ô ! paragouttes d’eau paragouttes d’eau de pluie capuchons pèlerines et imperméables que la pluie est humide et que l’eau mouille et mouille ! mouille l’eau mouille l’eau mouille l’eau mouille l’eau et que c’est agréable agréable agréable d’avoir les pieds mouillés et les cheveux humides tout humides d’averse et de pluie et de gouttes

thèmes en valeur dans mon roman sont l’amitié, l’entraide et le surnaturel. Celui qui était le plus présent est le surnaturel. Parmi tout ce qui se passa, le surnaturel était lié à tout. Déjà au commencement des drames, une brume normale est comme une pluie fine, mais pas celle-ci : «Ce cri était si aigu et lointain qu’on ne pouvait distinguer si c’était un homme ou une femme. La brume était si dense qu’elle camoufla le hurlement, qui était probablement plus proche que l’on ne croit.»(p.102) À ce moment

maître de ces battements anarchiques. Mon souffle saccadé étreint mes poumons. Chaque pulsation intense qu’il émet est signe de défaillance. Dissimulé derrière un mur de pierre, à l’abri des regards, la plante de mes pieds s’assèche. Une fine pluie se mît à s’abattre sur mes joues opalines en compagnie d’un orage grondant dans le ciel taciturne, sinistre. L’horizon évalue ma destinée avec effervescence. Il affaiblit l’immoral de mes gestes dérisoires. J’immole ma peine dans de profondes

peut passer sur tes lèvres sans leur ôter ce sourire céleste que je respecte plus que ma vie. Il l'embrasse. ROSETTE Vous respectez mon sourire, mais vous ne respectez guère mes lèvres, à ce qu'il me semble. Regardez donc ; voilà une goutte de pluie qui me tombe sur la main, et cependant le ciel est pur. PERDICAN Pardonne-moi. ROSETTE Que vous ai-je fait, pour que vous pleuriez ? Ils sortent.

et brutal. Des légères gouttes de pluie tombèrent, mais elles se transformèrent vite en une pluie qui tomba à flot. Nous cherchions le plus vite possible un abri. Nous courrions sous la pluie, sautions par dessus des branches. Peu à près, nous avons réussi à apercevoir une sorte de grotte. Avec le brouillard il était difficile à la distinguer, mais elle semblait assez petite de loin. Le plus important pour nous c'était de réussir à se protéger de la pluie. Nous accélérions notre course. Mais

D'un blanc oiseau l'aile bien emplumée Semblait voter jusqu'au séjour des dieux, Et dégoisant un chant mélodieux Montait au ciel avecques la fumée. De ce beau feu les rayons écartés Lançaient partout mille et mille clartés, Quand le dégout d'une pluie dorée Le vint éteindre. O triste changement! Ce qui sentait si bon premièrement Fut corrompu d'une odeur sulfurée. XII Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine, Claire comme cristal aux rayons du soleil, Et jaunissant au fond d'un sablon tout pareil