Plus Belles Que Les Larmes Aragon

Bac de français 2015 Quelques citations sur la poésie et le poète, les conceptions de la poésie, le rôle de la poésie L’épreuve écrite » Fiches de révision » Sujets corrigés » L’épreuve orale » Comme  donc  nous  avons  dit  la  clarté  être  le  plus insigne  ornement  du  Poème  :  ainsi  l’obscurité  se comptera  pour  le  premier  vice.  Car  il  n’y  a  point  de différence  entre  ne  parler  point,  et  n’être  point Quoi de neuf sur le entendu. forum ? J. Peletier du Mans (1517­1582)

les sensations partagées. L’amour ne se dit pas, l’amour se prouve. « Les Feuilles Mort es » a été créé par Jacques Prévert et tiré du recueil « Soleil de Nuit ». C’est un poème qui exprime un amour passé. Il montre que la vie avant était « plus belle », meilleure. Les feuilles mortes remplacent les sentiments qui « se ramassent à la pelle ». On « oublie » jamais un amour quel qu’il soit. Lorsque l’amour se finit, le souvenir de cet amour nous hante, on s’en souviendra toujours. « A La

Couic ! On ne le voit plus il a disparu ! Anonyme Petit poisson qui tourne en rond Petit poisson qui tourne en rond Petit poisson dis moi ton nom Petit poisson tout rouge Petit poisson qui bouge Petit poisson sans nom Une comptine Pour mon goûter Pour mon goûter ; j’ai mangé : Une crème glacée, Deux tartelettes Et trois galettes, Quatre abricots Et cinq gâteaux, Six pommes mûres, Sept bonbons durs, Huit raisins secs, Neuf noix avec Dix petits pains. Après, je n’avais plus faim. Henriette Major

Bel astre voyageur À La Comète de 1861 Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives Des profondeurs du ciel et qu’on n’attendait pas, Où vas-tu ? Quel dessein pousse vers nous tes pas ? Toi qui vogues au large en cette mer sans rives, Sur ta route, aussi loin que ton regard atteint, N’as-tu vu comme ici que douleurs et misères ? Dans ces mondes épars, dis ! avons-nous des frères ? T’ont-ils chargé pour nous de leur salut lointain ? Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L’homme

Le Parfum de Patrick Süskind | | |[pic] |Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s'appelait | | |Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin | | |que d'un minimum de nourriture et de vêtements, et son âme n'avait besoin

menteurs, Inconstants, faux, bavards, Hypocrites, orgueilleux, lâches, Méprisables et sensuels.   Toutes les femmes sont perfides, Artificieuses, vaniteuses, Curieuses et dépravées.   Le monde n'est qu'un égout sans fond Où les phoques les plus informes Rampent et se tordent Sur des montagnes de fange.   Mais il y a au monde, Une chose sainte et sublime : C'est l'union de deux de ces êtres, Si imparfaits et si laids...   On est souvent trompé en amour, Souvent blessé Et souvent

Celui qui, pas une seule fois dans sa vie, N’a fui les conseils sensés. Vis maintenant Risque-toi aujourd’hui ! Agis tout de suite ! Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux ! Martha Medeiros, 2000 | Louis Aragon (1897-1982) « Il n’y a pas d’amour heureux » Rien n'est jamais acquis à l'homme, ni sa force  Ni sa faiblesse, ni son coeur. Et quand il croit  Ouvrir ses bras, son ombre est celle d'une croix  Et quand il croit serrer son bonheur, il le broie 

plainte se perçoit dans les sonorités et le rythme monotones. Le refrain, formé de phrases courtes donne à ce poème une impression de monotonie, d'une complainte de l'amoureux désespéré qui se résigne à accepter la triste réalité. Le poème de Louis Aragon, « Les mains d’Elsa », que j’ai sélectionné pour ce recueil s’inscrit bien dans la thématique des maux d’amour car il aborde !2 Julie Olmos l’imperfection du sentiment amoureux. En effet sa douleur nait de la compréhension qu’il ne pourra jamais

l'advertissement d'Idothe debonnaire. Et n'eust du Dieu marin tiré responce vaine Pour se pouvoir sauver et les compagnons siens : Mais miserable moy qui par dommages miens Preuve la fiction d'Homere trescertaine. Tresorier m'est Prothee ou plus que luy muable, Si aider ne me vient d'Idothe la faveur De cire et parchemins liens à mon malheur Luy mets, mais vain mon dol par son dol variable. Autre espoir n'ay sinon que d'airain quelque chaisne Vous messieurs du Conseil, me vueillez

ne s’étonne point si, avec les seuls moyens dont ils disposent encore, ils s’efforcent de se préparer à cet art nouveau (plus vaste que l’art simple des paroles) où, chefs d’un orchestre d’une étendue inouïe, ils auront à leur disposition : le monde entier, ses rumeurs et ses apparences, la pensée et le langage humain, le chant, la danse, tous les arts et tous les artifices, plus de mirages encore que ceux que pouvait faire surgir Morgane sur le mont Gibel pour composer le livre vu et entendu de l’avenir