Poeme Sur Le Jour Et La Nuit

vers 13 ans - Poème étrange - Répétition du « je n’ai rien à dire » - Bruit qui provienne de quelque part mais on ne sait pas d’où Développement o Poème étrange car les autres poèmes sont des histoires mais pas la même structure o Rime croisé o Strophe régulière à modèle répétitif ( mais c’est faux !) o Poème peu ordinaire o Paradoxe entre « je n’ai rien à dire » et le fait qu’on entende un bruit - Etude du « je n’ai rien à dire » o Temporalité, continuité : nuit/jour o Ecriture automatique

temps en parlant de Rome dans son poème « Arrivé dedans Rome ». Il parle tout d’abord de Rome comme elle était dans l’antiquité. Puis il dit qu’il la cherché mais il ne la pas trouvé. La ville de Rome est toujours là, seulement elle a changé. Ce poème se termine par une morale qui dit qu’il ne sert à rien de rechercher quelque chose qui n’est plus là ou qui justement se trouve devant nous. Grévin montre que le temps qui passe est une fatalité. J’ai choisi ce poème, car il montre bien comment le temps

l'ont précédé, Réné Char poète de l'instant fugitif, évoque dans son oeuvre plusieurs figures féminines éphémères. C'est le cas dans un bref poème en prose intitulé tiré du recueil, Seuls demeurent, écrit durant la seconde guerre mondiale. : à la rencontre d'une jeune fille mystérieuse dans un cadre rustique, tel est bien au premier abord le sujet de ce poème. Nous analyserons comme le récit de Char met en valeur cette rencontre, avant d'être attentif à ce qui, dans le texte, nous éloigne d'une interprétation

Du Bellay, L’Olive « Déjà la nuit en son parc amassait » INTRODUCTION C’est le 83ème sonnet du recueil l’Olive (1549) qui a été publié en même temps que Défense et Illustration de la langue française. Du Bellay reprend un thème de Pétrarque et Rinieri : le levé du soleil dont la beauté est comparé à celle de la femme aimée mais qui éclipse le soleil. Il Célèbre le jour mais surtout la femme de ses désirs. Construction du poème Evocation métaphorique de la nuit et de l’aube Le visage de la femme

prendre,Quand en avril par l'herbe la plus tendreElle va, fleur, mille fleurs ravissant.Je voudrais bien pour alléger ma peine,Etre un Narcisse, et elle une fontaine,Pour m'y plonger une nuit à séjour ;Et voudrais bien que cette nuit encoreDurât toujours sans que jamais l'AurorePour m'éveiller ne rallumât le jour. Ronsard 1524 - 1585, Amours de Cassandre,1552Explication linéaire du texte : Un siècle après le Canzionere de Pétrarque pour

mort invisible » * « mais » : marque l’opposition, la rupture, il est placé au milieu du poème (v8) 2. Changement exprimé par : * Temps verbaux * Du passé (heureux) * Du présent (difficile) * Le passé n’est plus évoqué dans la strophe 3 * Pronoms personnel * Notre – tu – je (strophe 1 – 2) * Je (strophe 3) * Disparition du nous à la troisième strophe * Un poème au titre trompeur puisque « notre vie» n’est plus. La mort de Nush a bouleversé l’existence

recueil, «Déjà la nuit en son parc amassait…», dans le but d’en ressortir les thèmes principaux et les procédés d’emphase. La nature, la naissance de l’aube et l’arrivée de la femme aimée sont des thèmes qui seront notamment étudiés. Ce sonnet présente l’apparition d’une étoile qui se démarque par sa beauté et son comportement. Cette étoile est en fait une femme idéalisée qui provoque l’amour du poète envers elle. Celle-ci est tellement belle qu’elle provoque la honte du jour. Le premier et le

notamment dans le « Lac ». Le Lac est le dixième poème (ou quatorzième) de ce recueil. La poétique de ce poème comme de l'ensemble du recueil des Méditations poétiques est classique, des quatrains d'alexandrins coupés à l'hémistiche en apparence donnant une harmonie, un équilibre lent propice à la description des sentiments de l'auteur. Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec son Elvire. « Le Lac » de Lamartine est devenu le poème immortel de l'inquiétude devant le destin

bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Analyse Le poème peut être lu différemment en fonction de son épilogue ou des connaissances qu'on

Plan: I- La construction du poème 1) Versification 2) Composition II- Evocation métaphorique 1) Fuite de la nuit 2) Arrivée de l’aube III- Le visage de la femme 1) Description et apparition de la nymphe 2) Union d’une vision cosmique et d’un univers personnel Développement du plan: I- La construction du poème 1) Versification -14 décasyllabe. Rime classique : embrassées dans les quatrains + plates dans les tercets 2) Composition - chaque strophe a un thème. Ils sont bien construit