Poème

L'Homme qui court après la Fortune et l'Homme qui l'attend Qui ne court après la Fortune ? Je voudrais être en lieu d'où je pusse aisément Contempler la foule importune De ceux qui cherchent vainement Cette fille du sort de Royaume en Royaume, Fidèles courtisans d'un volage fantôme. Quand ils sont près du bon moment, L'inconstante aussitôt à leurs désirs échappe : Pauvres gens, je les plains, car on a pour les fous Plus de pitié que de courroux. Cet homme, disent-ils, était planteur

Une limace dans la forêt de promenait En chanssonant une mélodie de printemps Un éléphant intervient , lui priant de cesser ce son assourdissant à forde de temps Et de laisser ce couplet à la cigale qui passait "Ma voix n'est - elle pas mélodieuse ? " Dit la limace furieuse "ma chère! Repond l'éléphant , Je ne suis point le phénix des hôtes de ces bois , Mais ma voix est comparable à la richesse d'un bourgeois" La limace eut une toute autre réponse à ce discours "Je ne serais

« Parfois, on doit se rappeler que, ce qu'il y a de plus important, c'est ce qu'on vit aujourd'hui. » ♥ « C'est dur d'être loin de toi, de ne plus entendre ta voix. C'est difficile d'avoir toujours un manque en soi et de se forcer à sourire pour ne pas pleurer. C'est atroce de se dire que jamais tu ne reviendra, et que jusqu'à mon dernier souffle tu manqueras.. » ♥ | Tu peux toujours essɑyer de me résister, essɑyer d'éviter mes bɑiser mɑis tu sɑis très bien que tu ne pourrɑs pɑs éternellement

Un passant assit entre deux chaises C’est donc l’histoire d’un passant que j’ai trouvé assis entre deux chaises, bien mal à l’aise, ce passant avait l’air troublé voir apeuré. Il désirait s’assoir sur la chaise de droite mais son pied gauche ne voulais pas quitter la chaise de gauche et inversement. Ce passant avait l’air apeuré assis entre ces deux chaises du fait qu’il pensait mourir entre ces deux chaises .C’est injuste pour lui de choisir sa vie entre ces deux chaises. Cette personne là avait

Je suis à la recherche d'un mot. Je suis à la recherche d'un mot tout nouveau. Je suis à la recherche d'un mot. Je suis à la recherche d'un mot que personne ne sait. Je suis à la recherche d'un mot. Je cherche un mot qui dit que tu es le plus beau. Je ne peux pas respirer sans toi, je ne peux pas vivre sans toi, je ne peux pas dormir sans toi, partout où je vais tu es avec moi. Si une seule étoile pourrait tomber à chaque fois que tu me manques il n'y aura plus d'étoile dans le ciel

A mes yeux tu es inexistant Tu n'es pas l'un de mes parents Pas le courage de m'élever Maintenant j'ai choisi mon coté Ca fait longtemps que je te vois plus Presque onze ans et ça me faisait mal J'ai grandi et à présent ça m'ai égal Tu n'as jamais pris de responsabilité Mais même moi j'en ai... Mes rêves sont ma seule échappatoire, Je marche alors dans un long tunnel noir. Ta silhouette doucement apparaît, En noir et blanc tel un tableau abstrait. J'avais besoin d'un père, Pour

« Que tu me voies ou tu ne me voies pas, Je suis toujours là. Que tu m'aimes ou que tu ne m’aimes pas L'amour est toujours là. » As-tu déjà aimé? Pour la beauté du geste. Oui, j'ai déjà aimé. Et nous sommes dans la même histoire. Je t'ai accompagné à ton université, Je t'ai présenté notre quartier, Je t'ai présenté mes amis, mes parents, Je t'ai présenté la tour Eiffel, Paris, La ville d'amour. Un jour, tu m'as fait une promesse. Je t'ai donné tous mes printemps, tous mes étés

Mercredi 14 Janvier 2009 Si beaucoup expriment publiquement leur courroux contre Israël qu’ils accablent d’être un pays guerrier, d’autres, par contre, soutiennent de manière abjecte le massacre et appellent même à l’extermination des Arabes. Et dans ce registre monstrueux pour ces hommes publics, le scientologue Tom Cruise ravit la palme du déshonneur. En effet, le play-boy d’Hollywood considère, ni plus ni moins, que les Arabes «sont la source du terrorisme et n’épargnent personne». Il souhaite

J'ai cru t'apercevoir au Rusty Hook Blotti dans une chaise en osier Je me suis rapprochée pour mieux voir Et j'ai embrassé la personne qui s'y trouvait Elle était proche, et elle me serait fort dans ses bras Jusqu'à ce que je demande d'une manière affreusement polie Puis je t'appeler par son nom ? Presque aussi subtiles qu'un tremblement de terre, je sais que mes erreurs, je les ai faites pour toi. Quand est-ce que ces nuages sombres disparaîtront ? Mon amour, où cela va-t-il nous mener

I/ Le dessin de Man Ray 1. Placé dans la deuxième partie du recueil des Mains libres, en place [21], juste avant « La couture », ce dessin met fin à une série de dessins jouant, depuis « Fil et aiguille », sur des jeux de fils : entrelacés comme dans « Solitaire », tissés dans « L’attente » et ici enroulés et déroulés… Une femme (ou plutôt une forme de femme), une bobine et un cône renversé. De quoi est faite cette femme-objet ? De soucoupes empilées faisant d’elle une « poupée pliable ou