Poème

|[pic] |Académies de Créteil, Paris, Versailles et Rouen | |Lycée Blaise Pascal | | |5, rue des Emmurées |Brevet de Technicien Supérieur | |76174 Rouen Cedex

Amour au paradis Des regards langoureux, Puis les yeux qui se ferment Devant l'immensité d'un baiser, Effrayés par tant de sentiments Que les coeurs battent sans fin à l'unisson. Les mains se cherchent et se mêlent, La vie paraît alors infinie, Autant que leur amour, Autant que cette sensation d'ivresse Qui les unit et les transporte Dans un jardin d'Eden Où tout n'est que douceur. Angelo Si les mots me venaient Du très fond de l'âme, Alors je vous dirais Mes peines et mes

LE RENARD ET LE BOUC La présence du renard indique avant même de commencer qu’il y aura un trompeur et une victime. Le renard est présenté comme Capitaine, il est d’avance celui qui commande, qui est capable de prendre des décisions avisées pour se tirer d’un danger. Le bouc au contraire n’est que son ami, il n’existe que par rapport au renard. Il n’est présenté que physiquement: affublé de cornes, élément qui porte toujours à rire. Cet attribut est particulièrement mis en valeur par la position

Devoir de français Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers Ce texte, il décrit en quoi consiste le métier du philosophe. C’est la raison est très important pour la philosophe autant que la foi pour en chrétien. D’abord, dans l’extrait, il marche la nuit, mais il est précédé d’un flambeau démontre une comparaison avec le 18e siècle. Les gens de cette époque avaient besoin de changement tout en ayant une personne qui veille sur eux. C’est pour cela que dans

Pour faire le portrait d'un oiseau. Peindre d'abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple quelque chose de beau quelque chose d'utile pour l'oiseau placer ensuite la toile contre un arbre dans un jardin dans un bois ou dans une forêt se cacher derrière l'arbre sans rien dire sans bouger ... Parfois l'oiseau arrive vite mais il peut aussi bien mettre de longues années avant de se décider Ne pas se décourager attendre attendre s'il le faut pendant

J'veux être la seule que tu vois sur les photos de groupe. J'veux que tu me cherches dans la foule. J'veux te surprendre en train de me fixer. J'veux que tu écoutes de la musique & que tu penses à moi à chaque chanson d'amour. J'veux être la première personne à qui tu veux parler quand tu te connectes sur msn. J'veux que tu veuilles toujours m'appeler juste pour entendre le son de ma voix. J'veux que tu t'endormes en pensant à moi. J'veux que tu réagisses au moindre commentaire que je fais. J'veux

Le parfumLecteur, as-tu quelquefois respiré Avec ivresse et lente gourmandise Ce grain d'encens qui remplit une église, Ou d'un sachet le musc invétéré ? Charme profond, magique, dont nous grise Dans le présent le passé restauré ! Ainsi l'amant sur un corps adoré Du souvenir cueille la fleur exquise. De ses cheveux élastiques et lourds, Vivant sachet, encensoir de l'alcôve, Une senteur montait, sauvage et fauve, Et des habits, mousseline ou velours, Tout imprégnés de sa jeunesse

Les fusillés … Partout la mort. Eh bien, pas une plainte. Ô blé que le destin fauche avant qu’il soit mûr ! Ô peuple ! On les amène au pied de l’affreux mur. C’est bien. Ils ont été battus du vent contraire. L’homme dit au soldat qui l’ajuste : Adieu, frère. La femme dit : - Mon homme est tué. C’est assez. Je ne sais s’il eut tort ou raison, mais je sais Que nous avons traîné le malheur côte à côte ; Il fut mon compagnon de chaîne ; si l’on m’ôte Cet homme, je n’ai plus besoin de vivre

LE CHEVALCheval des champsCheval des plainesTa crinière au ventGalope sous les frênes.Tu files comme le ventTu cours dans les prés.Tu aimes les enfants.Et l'avoine d'été.Cheval noisetteNoir ou gris fuméOu encore tachetéDes pieds à la tête. LE PETIT CHEVAL BLANC PAUL FORTLe petit cheval dans le mauvais tempsQu’il avait donc du courageC’était un petit cheval blancTous derrière, tous derrièreC’était un petit cheval blancTous derrière et lui devant Il n’y avait jamais de beau tempsDans ce pauvre

Avons-nous donc commis une action étrange ? Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi Je frissonne de peur quand tu me dis: "Mon ange !" Et cependant je sens ma bouche aller vers toi. Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée ! Toi que j'aime à jamais, ma soeur d'élection, Quand même tu serais une embûche dressée Et le commencement de ma perdition ! Quand même tu serais une embûche dressée Et le commencement de ma perdition ! Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut