Poesie Genre Serieux

courtoisie apparaît à la rencontre de trois influences principales : influence antique ; influence bretonne ; influence provençale. Le courant provençal : les troubadours pratiquent un genre qu’on appelle le « Canzo », qui est la poésie d’amour. Il semblerait que les troubadours aient été inspirés par la poésie des arabes, ce qui est explicable par les relations culturelles et aussi guerrières entretenues entre les régions méridionales et le monde arabe. D’où sont parties les croisades ? Du sud

plusieurs termes Français Clément Marot__________--> Grand poéte Français protégé de Margueritte de Navarre Montaigne______________Essais (1533-1592) --> Grand auteur aillant publié un seul livre écrit pendant sept ans, faisant naitre un nouveau genre littéraire Thomas More___________Utopie (1518) --> humaniste Anglais condamné à mort à cause de son refus sur la reconnaissance de l'autorité religieuse Margueritte de Navarre____Heptaméron (1547) --> L'une des première femme écrivain de France

VIII - La peintureL'art qui caractérise par excellence les goûts, les tendances de la société du XVIIIe siècle, c'est la peinture. Elle a traduit exactement les diverses et contradictoires physionomies de ce monde bigarré, mouvementé, à la fois sérieux et frivole, primesautier et raisonneur, dans lequel on aperçoit des grands seigneurs et des comédiennes, des financiers et des philosophes, des marquises déguisées en bergères et des maltôtiers habillés comme des ducs. La peinture offre le vivant tableau

linguistique ou, plus génériquement, de poétique. L’un de ces auteurs, Roger Caillois a proposé, dans son « Art poétique », un ensemble de règles visant à rétablir la crédibilité de la poésie, sinon du poète lui-même. Dans cet ouvrage, on remarque une affinité certaine entre les conditions propices à rendre crédible la poésie énoncées par Caillois et les règles conduisant à une rhétorique acceptable édictées par Socrate, dans plusieurs dialogues de Platon. Dans le but d’approfondir l’analyse de ces affinités

|Page | |INTRODUCTION : d’une langue à un genre |2 | |LES ORIGINES DU ROMAN | | |Le roman médiéval : poésie lyrique – chanson de geste |3

PANTAGRUEL GARGANTUA François Rabelais LE TITRE ET LE GENRE 1. Le titre du Pantagruel mentionnant des « faits et prouesses », il s’agit d’un récit épique. Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique

efficace pour décrire de manière neutre les gens et les paysages. C'est les cas dans Désert de Le Clezio et dans Sido de Colette. La littérature permet aussi de transcrire en priorité des émotions et des sentiments, comme on peut le voir dans la poésie avec des poétes comme Victor Hugo, ou bien, comme nous le montre les fabulistes grecs ou latins, tels que Esope ou Phédre, de transmettre des enseignements à valeur universelle pour l'être humain. Derrière la littérature se cache aussi une recherche

hors des études le baroque (la poésie baroque). Lorsqu'on regarde un manuel de littérature français de 1930 ce sont des manuels qui ne font aucune place à un certains nombres de poètes qu'on refoule ne les qualifiant de « précieux ». La tragédie classique continue jusqu'au année 1820. La tragédie ne meurt pas du tout avec Racine, et elle est pourtant le drapeau du classicisme. Cela ne marche pas au niveau de la période. Qu'est ce qui a permis la ré-introduction la poésie oubliée du 17ème siècle ? C'est

rapport à Fred Cavayé . Le magazine hebdomadaire Le Point reproche au réalisateur un « excès de sérieux qui conduit à un « thriller efficace mais un peu lourd ». La mise en scène est également critiquée par Le Monde, selon laquelle cette dernière « se contente de filmer ce scénario captivant sans y trouver de quoi dérégler et magnifier le travail des acteurs, ni y puiser la folie, l’étrangeté et la poésie requise ». Personnellement j’ai plutôt bien aimé ce film que ce soit dans la version

(1678) de Madame de Lafayette et « Dom Carlos » (1672) de César Vichard de Saint-Réal1, mais il se développe surtout au XIXe siècle après « Ivanhoé » (1819) de Walter Scott. Cependant, beaucoup d'écrivains attaquent ce « nouveau genre » - Diderot le considère comme un mauvais genre parce que, selon lui, « [...] vous trompez l’ignorant, vous dégoûtez l’homme instruit, vous gâtez l’histoire par la fiction et la fiction par l’histoire.»2, Théophile Gautier l'appelle « la vérité fausse ou le mensonge vrai