Poison

pour ses enfants. La reine décide de se suicider et pour ce faire recherche le poison le moins douloureux (en fait elle se fera piquer par un serpent venimeux). L'artiste a représenté la reine affalée sur un divan juché sur une estrade, un lynx (un léopard?) ronronnant à ses pieds. Elle contemple, la scène cruelle qui se déroule au second plan dans une cour du palais : un condamné à mort a qui l'on a administré le poison agonise, tandis que deux esclaves enlèvent le cadavre d'une autre victime. On

Ils échangèrent un dernier regard, un regard de remerciement, en face du couteau et du verre de poison. Thérèse prit le verre, le vida à moitié et le tendit à Laurent qui l’acheva d’un trait. » Il règne une grande complicité et un besoin vitale de chacun d’eux, en effet Thérèse se suicide, sachant que Laurent a la même envie, le même besoin de délivrance que Thérèse qu’ils trouvent dans un verre de poison partagé entre eu comme si ce dernier verre partagé leurs garantissait l’impossibilité de séparation

renforcer la toxicité de leurs produits. Et revoilà la terrible de nuit de Noël 1926 Les nouvelles instructions furent immédiatement mises en œuvre, et dès milieu de l'année 1927, les nouvelles formules de dénaturation comprenaient déjà plusieurs poisons notables (kérosène et brucine –un alcaloïde végétal proche de la strychnine, benzène, cadmium, iode, zinc, sels de mercure, nicotine, éther, formaldéhyde, chloroforme, camphre, phénol, quinine, et acétone). Le département du Trésor demanda également

difficulté était de garder la parallèle français-anglais, mais surtout de ne pas perdre de vue le sujet et de répondre à notre problématique. Les textes que j’ai choisis sont ceux de William Blake - extrait de Songs of Experience, il s’agit de A Poison tree – et de Samuel Taylor Coleridge – extrait de Lyrical ballads, The rime of the ancient mariner et To nature. Dans ces poèmes j’ai découvert des éléments en rapport avec le caractère divin de la nature, et la vision que le poète a d’elle : il voit

de la capacité que nous aurons tous (artistes, citoyens, intellectuels, entrepreneurs, parents, enseignants,…) ou n’aurons pas, de faire que le poison qui est actuellement au service d’une véritable bêtise systémique passe au service d’une renaissance de l’esprit, et devienne un remède. Ici, le pharmakon qu’est la technique, est toujours à la fois le poison et le remède. Ainsi, les pistes nouvelles offertes par le numérique remettent radicalement en cause l’opposition entre consommateurs d’un côté

régulièrement et l'implore de tout son cœur. Elle va même jusque exiler Hippolyte dans sa jeunesse pour atténuer sa passion. Pour finir, rongée par la culpabilité, elle innocente Hippolyte pendant la dernière scène auprès Thésée après avoir pris un poison mortel. Elle veut rétablir la vérité avant de subir le châtiment qu'elle s'inflige à elle-même, pleine de remords. Dans un deuxième temps, nous allons exposer la facette coupable de Phèdre. Premièrement, notre personnage avoue son amour incestueux

saleté. Quand elle était jeune elle rêvait de l’amour elle y croyait, elle était amoureuse de Daniel. Son rêve était de rester avec lui. Puis au fil du temps et de la vie elle découvrit que l’amour était un «  poison «. A la fin elle dit que l’amour était « violent, le plus atroce des poisons ». Ces conceptions de la vie changent au fil du temps. Elle voulait vivre sa vie ne jamais l’arrêter, pourtant à la fin elle veut se pendre. La mère de martine mourut à la fin. Au début de l’histoire il y avait

l'énonciation de plusieurs animaux dont le poison peut se révéler très toxique à l'Homme ( cantharides, upas, mancenillier, vipère). Il étale son savoir (« étalait son érudition »), et veut impréssionner le chirurgien (« il citait pêle-mêle »,  « illustre Cadet de Gassicourt »). Apparition de la phrase «  et comme foudroyées par des boudins qui avaient subis une trop véhémente fummigation » , qui produit un effet comique venant du contraste entre poisons et boudins. « Car Homais tenait à faire son

« l’ecologie » en réalisant une chanson sur ce thème. Il a réalisé cette chanson pour donner l’initiative de prendre soin de la planète, de l’environnement. Les paroles : Le ciment dans les plaines Coule jusqu'aux montagnes Poison dans les fontaines, Dans nos campagnes De cyclones en rafales Notre histoire prend l'eau Reste notre idéal "Faire les beaux" S'acheter de l'air en barre Remplir la balance

permet de dire que c'est le dénouement de l'histoire. Dans cette dernière scène, Ruy Blas s'excuse auprès de la reine car il l'a trahi. Cependant, elle n'accepte pas ses excuses et ce valet va donc se donner la mort en buvant une fiole remplie de poison. Deux questions se posent alors : comment Hugo dramatise-t-il cette scène ? Quelle dimension pathétique cette scène a-t-elle ? I) Une nouvelle vision du théâtre. 1) Une remise en cause des règles classiques. -répond aux attentes classiques d'un