Politique Monétaire Chez Les Keynésiens Et Les Monétaristes

notre société. Elle est présente dans toutes nos transactions quel qu’elle soit, dans tous les échanges économiques, qu’elle soit réel ou financières. C’est aussi un élément important dans la vison et l’analyse d’une économie. Ce sont les autorités monétaires qui régulent, alimentent et restreignent la circulation de la monnaie. a) Caractéristique de la monnaie La monnaie est définie par les trois fonctions qu’elle est supposée exercer : 1) La monnaie comme intermédiaire des échanges

admettre dans son établissement. Monsieur Christian OUANZIN, Adjoint au Directeur du Crédit, pour ces précieux conseils ; nous retenons que nous ne devons pas mettre de limites à nos ambitions. Monsieur Pierre TALOM, Chef de Service du Marché Monétaire. Nous tenons à le remercier pour sa gracieuse disponibilité. Il nous a permis de comprendre et d'assimiler les règles de fonctionnement de son service. Le personnel des services centraux de la Banque des Etats de l'Afrique Centrale et particulièrement

il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande dépression [1]. Pour Rose et Milton Friedman ce n'est pas un élément important dans la survenue de la Grande dépression qui pour eux a été provoquée par une politique monétaire inadéquate [2] Crise boursière et bancaire[modifier] La population entre dans un cercle vicieux destructif, qui durera plusieurs années. La chute se traduit aussi dans les cours de bourse : l'indice Dow Jones perd pratiquement 90 % entre

dette payable à vue sous forme de métal par une banque, ces titres étaient eux-mêmes de la monnaie, pouvant servir à tous les usages de celle-ci. Le système reposait sur la confiance en la possibilité de retrouver la monnaie initiale par conversion chez le dépositaire, d’où le nom de monnaie fiduciaire. Tant que la valeur des billets en circulation n’excédait pas celle du métal conservé en échange, il n’y avait pas création de « nouvelle » monnaie. Il en alla différemment lorsque les banquiers émirent

croissance économique notamment les facteurs déclenchant relance. On distingue deux types de relance : * La relance par investissementpolitique d’offre : il va falloir encourager l’investissement ou encourager l’emploi c’est ce qu’on appelle « politique d’offre », il va falloir inciter les gens à investir « incitation à investir ». L’idée est simple il faut encourager les gens à gagner plus d’argent. On va d’abord lever les obstacles fiscaux et accorder des subventions (dépense). Donc on va alléger

relations entre la science et la pratique - La théorie sert de prévision et de vérification mais la jeunesse de la science et l’impact de l’évenementiel rendent les résultats très décevants. Il faut intégrer l’économie à une connaissance socio-politique des faits humains. - La rationalité est tout d’abord une hypothèse de comportement. Les marginalistes n’envisagent que la norme et les résultats tandis que la théorie des jeux restaure l’idée de stratégie. La rationalité est aussi envisagée pour

Faculté des Sciences Economiques Année Universitaire 2005/2006 Et de Gestion de Sfax COURS : Economie monétaire Destiné aux étudiants de 2ème et 3éme année Sciences économiques Enseigné par TRIGUI Borhen Maître de Conférences Responsable de l’Unité de Recherches DEFI-FSEG-Sfax Support de cours n°1 Avertissement : Les documents distribués ne sont pas des suppléants du cours mais seulement des supplétifs soutenant les notes personnelles prises

l’économie et de l’économie politique : Le terme le plus ancien que l’on trouve dès l’antiquité grecque c’est le terme « économie ». Dans l’antiquité grecque on possède les esclaves, la maison doit être entendue à un sens large pour définir aujourd’hui un patrimoine. Règle de la maison : art de bien gérer son patrimoine. Pour les grecques l’économie c’est ce qui relève du domaine privé. Economie chez les grecques s’oppose à politique, «polis » signifie en grec la cité. La politique est du domaine public

      Il  existe  3  dominantes  :  La  pensée  à  dominante  libérale            La  pensée  d’inspiration  marxiste                La  pensée  keynésienne  et  ses  prolongements       Durant  l’Antiquité,  la  pensée  économique  n’était  pas  autonome.  Elle  était  subordonnée   par  la  Philosophie  et  ses  philosophes  comme

* 3.1.1.8 Les Utopies finales (IVe-Ier siècle av. J.-C.) * 3.1.2 Le Monde Romain * 3.1.2.1 Rome * 3.1.2.2 L'apport de la première chrétienté * 3.1.2.3 La « Cité de Dieu » et L'« Augustinisme politique » * 3.2 L'économie au service du Bien Commun : L'époque médiévale * 3.2.1 Naissance et évolution du système domanial * 3.2.2 Le fonds culturel commun * 3.2.2.1 Apport judéo-chrétien * 3.2.2.2