Politique Monétaire Keynesiens Et Monetaristes

sur les problèmes de court terme (problèmes conjoncturels) tels que l’inflation, le chômage ou la dernière orientation de la politique monétaire ou budgétaire. « Mais ces évènements ne sont que de l’écume dans la vague plus longue de la croissance économique » (Paul Samuelson). Toutes les nations considèrent la croissance économique comme un objectif économique et politique central. La croissance économique représente l’accroissement du produit potentiel d’un pays. En d’autres termes, elle représente

Economie monétaire et financière TD4 : Circuit de financement et banques. Marché financier (1) Responsable du cours : Jean-Pierre FAUGERE Chargés de TD : Catherine LE & & Mounir DAHMANI Confection des fiches de TD : Catherine LE Questions 1/Donnez une définition de la finance directe (ou de marché) et indirecte (ou intermédiée). Donnez alors la signification du terme d’intermédiation de marché. 2/ En quoi consiste la transformation pour une banque ? Quelles sont alors les possibilités

déséquilibre. On retrouve alors l’idée de déséquilibres macroéconomiques abordée dans le chapitre 1. Il s’agira alors de montrer comment la puissance publique mais aussi la banque centrale peuvent intervenir pour régler ces déséquilibres. Quelles sont les politiques économiques qui peuvent être mises en place ? (III) I. Pourquoi la puissance publique intervient-elle dans la régulation des économies contemporaines? Notion essentielles : fonctions économiques de l’Etat (allocation, répartition, stabilisation)

elle n'est pas due qu'à un choc temporaire (intempéries ou sécheresse qui induisent une hausse brutale du prix des fruits, des légumes), à un choc extérieur (hausse des prix du pétrole), ou à la politique fiscale (variation du taux de la TVA, de la TIPP etc.) Cela risque d'induire les autorités monétaires en erreur. Elles doivent par conséquent se référer à une batterie d'indicateurs, en particulier ceux qui mesurent l'inflation sous-jacente. Celle-ci est indépendante des fluctuations des prix de

Mondialisation : chapitre sur le développement CONTEXTE ECONOMIQUE, SOCIAL & POLITIQUE
 Conjoncture économique & politique favorable: * Empire de Guillaume II * Expansionnisme colonial, * Victoire face à la France, * Forte industrialisation (fin du 'take off', phase 
de maturité) * Forte avancée des droits sociaux : lois 
Bismarck * Régime politique autoritaire, * Domination politique * Opposition envers la France sur tous les plans IDEES DE L'AUTEUR

pacification en cas de guerre ou de litige entre deux pays. Elle permet de sceller l’union entre deux familles par le biais d’une dote, elle est considérée comme un dédommagement. Elle est un instrument de lien politique, elle sert à homogénéiser des groupes sociaux, elle sert d’instrument de politique monétaire. Elle suppose la confiance entre les hommes. Nous avons confiance dans la monnaie car c’est l’Etat qui garanti les valeurs de la monnaie, par ses institutions. Nous croyons donc dans l’ordre social

marché offreur et demandeur. - une réserve de valeurs : la monnaie peut être épargnée (partie du revenu non-consommé) ou thésaurisée (monnaie retirée des circuits) réserve du P.A (si il n’y pas a d’inflation). B/ Les fonctions sociales et politiques  Monnaie et confiance : Il existe une relation entre la monnaie et l’ordre social : « la confiance dans l’argent reflète la confiance dans l’ordre social ». Pourquoi : La monnaie est un B. utilisé comme un moyen de paiement sur laquelle les

Atelier d'économie (Science Po 1ere année) I Texte de Keynes A - Objectif de la politique de Keynes et les moyens de sa mise en place J.M Keynes rédige sa théorie de l'emploi entre 1930 et 1939, pendant la crise des années 30 et à l'amorce de la seconde guerre mondiale. Il s'intéresse donc à la relance de l'économie puis au financement de la guerre. Le but de la politique keynésienne est de résoudre le chômage sans déclencher d'inflation. Ainsi, Keynes souhaite à tout prix empêcher la formation

de travail keynésienne . . . . . . . . . . . . II.4 Eléments empiriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 6 8 8 9 10 10 10 11 12 16 17 18 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 . . . . . . . 21 . . . . . . . 24 . . . . . . . 24 au raison. . . . . . . 28 . . . . . . . 32 . . . . . . . 32 34 34 34 35 37 38 40 41 42 43 3 Le modèle IS/LM I Le modèle keynésien élémentaire

faire les choses, sur la base de la théorie des cycles (croissance, récession…). 2) Le schéma keynésien simple : Pour Keynes, l’Etat doit intervenir dans un contexte de crise. Il pense également que la demande effective correspond à une anticipation de la demande par les entrepreneurs, qui anticipent la consommation des ménages et de l’investissement des entreprises. La dernière relance Keynésienne a eut lieu vers 1981-82, sous le gouvernement de P. Mauroy mais n’a pas une les effets désirés