Pollen

d'une larve femelle, pas la génétique. En effet, une reine est nourrie, du stade larvaire jusqu’à la fin de sa vie de gelée royale. Une ouvrière, elle n’est nourrie de gelée royale que lors des premiers jours, elle est ensuite nourrit de miel et de pollen. Les ouvrières décident elles mêmes d’élever une nouvelle reine si leur reine actuelle a disparue accidentellement, qu'elle est partie ou qu'elle ne pond plus suffisamment d'œufs d'ouvrières (par manque de spermatozoïdes). Une fois cette décision

condamnée à mourir en quelques heures, même bien nourrie. L’abeille prise isolement est encore un individu ; elle est capable d’agir et de travailler en solitaire tout en supportant le poids social. Seule, elle se gorge de nectar, se charge de pollen, sait retrouver sa route et enseigner à ses congénères ses trouvailles. (danse des abeilles) C’est parce qu’elles sont capables de communiquer entre elles que les abeilles parviennent à vivre en véritables sociétés organisées. La communication

caractéristiques d’un milieu : Des morceaux de plantes . Nous avons disséqué une fleur afin de savoir de quoi elle est composé : [pic] Dans une espèce végétale, le pollen est contenu dans les étamines. Les grains de pollen sont spécifiques de l’espèce. Les techniciens de laboratoires ont extrait le taux de pollen de chaque espèce végétal qui composait la terre des semelles de M.Solers. Ils ont procédé de la même manière avec la terre du Sous bois de la Grange, du jardin de la résidence

et seule la cellule-œuf est diploïde. II – Méiose, réduction chromatique et séparation des chromosomes homologues La méiose est le mécanisme à l’origine de la formation de cellules haploïdes (spores chez les champignons, cellules des grains de pollen chez les plantes à fleurs, gamètes chez les animaux) à partir de cellules diploïdes dérivant de la cellule-œuf ou de divisions de celle-ci. Le cycle de vie est donc marqué par l’alternance de la méiose et de la fécondation. Méiose et fécondation

  a) Mise en évidence de variations de la température Quelles sont les méthodes permettant de retracer les variations climatiques passées ? Quels sont les  résultats ?  o Analyse des pollens  TP « apport de la palynologie à lʼétude des climats »  Livre 2 page 117 (pollen) et exercice 2 page 126 Les  pollens  et  les  spores,  cellules  reproductrices  des  végétaux,  ont  des  parois  très  épaisses  qui  permettent une très longue conservation. Leur forme étant caractéristique de l’espèce à laquelle ils 

chêne rouvre , b) seulement des fleurs mâles et d'autres des fleurs femelles, ex. : le peuplier noir . 11 LA FÉCONDATION DE L'OVULE. Le nuage de poussières jaunes qui s'échappent des fleurs organes mâles (grains de pollen) est transporté au voisinage de l'arbre par : - le vent, pour les résineux, ex. : le pin, le sapin et pour certains feuillus, par exemple, le chêne, le hêtre, - les insectes lorsque la fleur des feuillus contient un liquide sucré

vanille. Ces fleurs sont éphémères et peut résistantes. La fécondation du vanillier ne peut se faire naturelle, il a besoin d’abeilles spécialisées dans le butinage des orchidées ou de l’intervention de l’homme. En effet une étamine comportant du pollen est séparée du stigmate par une sorte de voile empêchant la fécondation. Chaque fruit ressemble à une capsule que l’on appelle gousse de vanille qui est fixée au rachis par une crosse. A l’intérieur de ces gousses se trouvent un très grand nombre

ou au moins en nombre indéfini, rarement réduite à 1. Périanthe indifférencié (= tépales) Etamines nombreuses à développement centripète, non ou très peu différenciées en filet et anthère. Anthère dithèque, tétrasporangiée à déhiscence introrse. Pollen à exine collumellaire tectée, endexine imprégnée de sporopollénine, anasulqué (monocolpé), bicellulaire. Germination sur un stigmate Carpelle, en nombre important ou plus ou moins indéfini à soudure souvent tardive voire incomplète. Style nul ou très

28 A 01 Séries : S2-S2A-S4-S5 Epreuve du 1er groupe III- PRATIQUE DU RAISONNEMENT SCIENTIFIQUE A – 1° a- Phénotypes des parents. Génotypes des parents XB [B] x ♂ [b] Xb 50% XB ; 50% Xb Gamètes 100% Y Puisque les grains de pollens Xb ne sont pas viables. XB ♂ Xb Xb ♂ [B] Y Xb ♂ [b] Décompte : 50% ♂ [B] et 50% ♂ [b] b- Phénotypes des parents : Génotypes des parents : XB [B] x ♂ [B] XB X Gamètes des parents : ♂ XB Y XB X [B] XB

physiologiquement normal. a)Les descendants de ces ovules, seront-ils ou non de même sexe ? b)Chacun de ces individus, peut-il avoir deux allèles différents ? c)Ces individus, sont-ils identiques à leur mère ? Exercice n° 2 Les noyaux du pollen du maïs sont représentés par A,B et C, et ceux du sac embryonnaire par D,E,F,G,H,I,J, et K. Soient les combinaisons suivantes : AI ; CI ; ABC ; BCI ; et GHC. Après fertilisation, dites : 1)Les combinaisons qui correspondent à l’œuf albumen