Pollution lumineuse

capitaux ». -constituer le domaine de référence d'une problématique : les problèmes liés à l'environnement biophysique se posent désormais globalement à l'échelle mondiale. Les changements climatiques, la perte de biodiversité, la déforestation ou la pollution due au développement industriel et à l'activité humaine sont des exemples d'interaction des secteurs économique, culturel et politique avec les actions planétaires. ------------------------------------------------- La Globalisation comme dépassement

----------------------- DANGERS Ses ennemis principaux sont les requins et les orques. Les dauphins se défendent en leur donnant des coups dans le ventre, ce qui blesse leur foie. Mais l'homme est aussi un danger pour le dauphin par la pollution qu'il occasionne, à cause des filets dérivants où ils se prennent, et la pêche, qui sert à fabriquer des aliments pour animaux. Il faudrait que les hommes respectent les lois qui interdisent de trop tuer les dauphins, sinon ils vont disparaître

de conscience des Hommes face à la finitude de la planète : le progrès technique n'assurera pas une croissance et un progrès infinie. Cette prise de conscience fut permise par les effets négatifs de l'industrialisation sur les milieux naturels (pollution). Avant lui, l' éco-développement (ou développement écologique) apparaît en 1972 mais n'obtient pas l'effet attendu. Le terme de soutenable est par la suite totalement remplacer par durable qui lui insiste plus sur la notion de durabilité, un

les très grandes agglomérations du Monde (ex : Mexico, Londres, NY…) que l’on va trouver le « Smog », épais brouillard toxique qui surplombe la ville. On peut citer la pollution due à l’acide chlorhydrique, c’est ce qui est rejeté dans l’atmosphère à la suite de la combustion des déchets. On rappellera, au-delà de cette pollution quotidienne, les catastrophes industrielles de ces 30 dernières années ont eu des conséquences irréversibles sur l’environnement (ex : Tchernobyl 1986, Seveso 1976…)

répartition inéquitable des bénéfices générés par le tourisme où une vingtaine d’opérateurs et d’entreprises accaparent l’essentiel des richesses créées. Impact écologique : énorme pression sur l’environnement, gaspillage des ressources naturelles, pollution, choix de produits peu respectueux de l’environnement, problème de gestion des flux, de traitement des déchets, besoin important en eau et besoin énergétique important. Problèmes plus locaux : piétinement, arrachage, graffitis ; concentration de

peut que constater que la situation est de plus en plus alarmante. Les êtres humains doivent changer leur manière de vivre et de consommer, car nous surconsommons. De cette surconsommation va découler l’épuisement de nos ressources naturelles, la pollution de notre air, de nos eaux et du sol qui devient chaque jour plus importante, le réchauffement climatique, les gaz à effet de serre, les catastrophes naturelles qui se répètent ces dernières années avec des incidents comme la centrale nucléaire de

croissance économique, développement et bien-être sont des notions difficilement compatibles ? L’activité économique génère un grand nombre d’externalités négatives qui rendent difficilement compatibles ces notions. Tout d’abord au niveau de la pollution qu’elle engendre ou de la destruction du capital naturel qu’elle peut nécessiter et qui peut néanmoins s’inscrire dans un contexte de croissance favorable, l’activité économique augmente les dépenses dites défensives pour réparer les dégâts qu’elle

Mini E Le macro environnement: Il s’agit de l’environnement au sens large, il influe sur la société mais elle ne peut pas agir dessus. On peut détailler ce macro environnement grâce au modèle PESTEL : POLITIQUE : Les nouvelles taxes anti-pollution ont obligé les constructeurs français à faire évoluer leurs modèles pour qu’ils consomment moins et qu’ils réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre. MACROECONOMIE : Avec la crise économique ces dernières années, une baisse des ventes

tendresse ». Propos recueillis par MARIE-ANNE GAIRAUD, LAURENCE LE FUR, PHILIPPE MARTINAT, LAURENT PERRIN ET HENRI VERNET LA QUALITÉ DE L’AIR ET LA CIRCULATION La pollution que l’on subit depuis quelques jours à Paris est-elle une fatalité ? BERTRAND DELANOË. Depuis 2001, Paris démontre au contraire que la pollution n’est pas une fatalité pour les grandes métropoles. En treize ans, d’après Airparif, les particules fines ont diminué de 35 % et les émissions de CO2 de 13 %. Le benzène

Hommes quand on sera 9 milliards d'habitant sur Terre, c'est pour cela que les Brésiliens innovent de nouvelles techniques d'agriculture, mais ces nouvelles techniques menacent l'environnement en dégradant la forêt Amazonienne et entraînent des pollutions ainsi qu'une déforestation. Mais des solutions sont mises en places et permettent de respecter la forêt en la surveillant,par les sols et par les airs (grâce a des satellites), on redistribue des terres aux pauvres et on contrôle les productions