Polysynodie Saint Simon

réseaux est, selon le sociologue Pierre Musso, une doctrine philosophique conçue par Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon, développée par la suite par l'école saint-simonienne : Barthélemy Prosper Enfantin, Armand Bazard et Michel Chevalier...), sorte de pseudo-"religion" qui serait la résurgence de la philosophie de Saint-Simon (voir Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon), fondée sur le principe de gravitation (La gravitation est une des quatre interactions fondamentales de la physique

La doctrine du Saint-Simonisme Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon est né à Paris en 1760. Il est le petit cousin du duc de Saint-Simon (1675-1755), célèbre mémorialiste sous les règnes de Louis XIV et Louis XV. Ce curieux personnage prétendait descendre de Charlemagne et aussi avoir reçu des enseignements de Jean d’Alembert et Jean-Jacques Rousseau. Il reçoit son éducation d’un précepteur. Il suit les cours du célèbre mathématicien Gaspard Monge. De 1777 à 1783, il est officier de

St Simon Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint Simon, né à Paris le 17 octobre 1760 et mort le 19 mai 1825, est un économiste et philosophe français, fondateur du saint-simonisme. Ses idées ont eu une postérité et une influence sur la plupart des philosophes du XIXe siècle. Il est le penseur de la société industrielle française, qui était en train de supplanter la société d'Ancien Régime. L'historien André Piettre1 le décrit par la formule : « le dernier des gentilhommes et le premier des socialistes

avec une très forte influence des écrits d’intellectuels tels que ceux de Saint-Simon. Le saint-simonisme est une doctrine tirée du comte de Saint-Simon qui propose une transformation totale de la société, basée sur une utopie industrielle, il s’agit de bâtir le bonheur de l’humanité sur le progrès de l’industrie. C’est une volonté d’entrée dans l’âge industrielle dans une société nouvelle, fraternelle et pacifique. Le saint-simonisme sera la base de la doctrine de Napoléon III à savoir la glorification

de période, d'époque. Les hommes de 1789 vont devenir des révolutionnaires, la manière de pensée change. Leçon 1 : La France de Louis XV. 1715 – 1757. A) La régence de 1715 à 1723, réaction ou innovation. La régence et l'expérience de la polysynodie. 1er septembre 1715 : mort de Louis XIV. Le France est un pays riche au XVIIIéme siècle → pays riche par ses homme et par ses terroirs = armée & nourrir la population. A partir de la fin des années 1720 on regarde une forte croissance

LA POLYSYNODIE La polysynodie est un système de gouvernement par conseil instauré en France de 1715 à 1718 par Philippe d’Orléans durant la période de Régence (1715-1723). En effet, Le 1er septembre 1715, le Roi Soleil, Louis XIV, décède suite à une gangrène. Son arrière-petit-fils lui succède alors, Louis XV, mais il est seulement âgé de cinq ans et neuf mois, entraînant ainsi une nouvelle période de régence. La Régence se termine officiellement à la majorité de Louis XV (13 ans et 1 jour)

Introduction Questions : Quels sont les faits qui ont marqués le 17ème ? Que savez-vous de la régence dans l'histoire du royaume de la France ? Que désigne le terme polysynodie ? L'Histoire de France au XVIIe siècle Cette période est marquée, en Europe, par la terrible guerre de Trente Ans (1618-1648), et par un ensemble d'autres guerres par lesquelles les rois ou princes des différents pays cherchent à détrôner les rois étrangers afin de récupérer un maximum de pouvoir. La France devient

avec la polysynodie à la place des secrétaire d’états et le conseil de conscience pour gérer les affaires religieuse, le conseil de la marine, de la guerre, « conseil du dedans » = affaires intérieurs et le plus prestigieux le « conseil de la régence » et celui du commerce, il y à 8 conseils. ces conseils sont présidé par de très grands seigneurs de vieilles familles avec les VILLARS, un batard de Louis XIV le comte de Toulouse devenue amiral de France à 5ans. Les mémoires du duc de Saint Simon

long règne de la vile bourgeoisie », les nobles espéraient reprendre le pouvoir. Fénelon exprime ces sentiments dans son Télémaque. Le groupe de réformateurs, dont Saint-Simon, plaçait ses espoirs dans le duc de Bourgogne ; sa mort, en février 1712, anéantit leur projet. Le Régent connaît leur programme par l'intermédiaire de Saint-Simon et tente de l'appliquer. Une déclaration supprime le contrôle général des Finances et les secrétaireries d'État et les remplace par six, puis huit conseils : le conseil

étaient remplacés par sept conseils. Cette forme d'administration est inspirée des « tables de chaumes » du duc de Chevreuse et de Fénelon. Ce dernier étant précepteur du duc de Bourgogne - petit-fils de Louis XIV - lui aurait soumis ce projet. La polysynodie correspondait surtout aux voeux des plus influents des membres de la haute aristocratie qui dirigèrent les nouveaux conseils. Malgré de bonnes choses ressorties de ces conseils comme celui de la Marine dirigé par le comte de Toulouse, cette expérience