Polythéisme

succession des empires : Démarche philo/théolo (2cités la terre et de dieu) ; Paix et justice (Dieu met tt a notre disp, ordre, justice minimale) ; taille des états (moyenne=harmonie, malignité humaine) B). Dieu, les dieux et le destin des empires : polythéisme (dieu D R païens explik la crise) ; place de dieu (immense, tt s’inscrit) C). L’histoire des empires : 1er (Caîn cité D ho Abel ciT de dieu) ; fondat° de Rome (romu/rem) ; Babylone (empire mythique et réel D). Le culmen romain : triple vertu D

dans la Métaphysique a pour la première fois montré que les philosophies naissaient chez un prédécesseur cad chaque philo nait d’une pensée qui l’a précédé. Chaque philo est dépassée par celle qui va suivre. Le monothéisme sera le dépassement du polythéisme. « Une tradition transmise sous forme de mythe depuis l‘antiquité la plus reculée. » Le legs digéré va être repris, Hegel « leçon sur la philosophie de l’histoire » = « l’Égypte a engrossé la Grèce qui a engrossé Rome qui a engrossé Constantinople »

etc ==> vision sociologique de la maladie 2- Naissance de la médecine occidentale. Dvmpt ds la Grèce Antiq (-1000 à -300 avt JC) : éléments magico-religieux. Question de maladie et de santé a un rapp ac les mythes. Grecs inventent le polythéisme (panthéon est rempli des Dieux principaux, anthropomorphes cad ac allures humaines) L’Iliade et L’Odyssée d'Homère : Ulysse, héros grec, entrepend un voyage initiatique et va affronter les Dieux ; Il est détenteur de la métis (= la ruse, l'intelligence)

D'autant plus que dans l'Empire Romain, il co-existe une autre religion à côté de la minorité juive, qui est celle du Paganisme (ou Polythéisme) autour d'un Dieu Suprême: Jupiter. Le Polythéisme est donc par principe plus tolérant (puisque plusieurs Dieux). Les Romains n'ont pas traité le Judaïsme comme les autres religions et justement parce que les religions polythéismes s'articulaient autour de plusieurs Dieux. Ils vont tout de même le toléré et lui donner un statut à part qui laisse aux juifs la

peut intervenir, et que donc, le jugement de valeurs met en jeu des choix personnels, des décisions, la liberté des individus. (→ le décisionnisme). Cela conteste l'existence d'une raison morale en l'homme. Et donc cela revient a admettre que le polythéisme des valeurs aboutit forcement a une « guerre des dieux ». • Seulement il est possible de contenir cette guerre des dieux. L'étique de la discussion est un choix moral car elle demande que chacun se reconnaisse comme une personne digne d’être écoutée

des Géants ou des Centaures - inventions des hommes de jadis - ni les orages des guerres civiles dans lesquelles ne résident aucun bien mais il sera toujours plein de respect pour les dieux. De telles formules pourraient laisser croire à quelque polythéisme ; il semble bien que l’affirmation selon laquelle il faut parlé d’un Dieu unique ne soit pas en contradiction formelle avec celles ou il est question des dieux. En effet il est probable que les dieux dont parle Xénophane ne sont que des personnalisations

volonté. Ils rappellent également le Jugement dernier quand Dieu, le Juge, mettra dans la balance la foi et les actions de chaque personne, rétribuant les croyants et châtiant les transgresseurs. Parce que le Coran rejetait avec véhémence le polythéisme et mettait l’accent sur la responsabilité morale de chaque personne et ce, en termes puissants, il posait un sérieux défi aux Mecquois.

il y a une différence importante qu’il faut souligner à ce sujet. Tandis que les musulmans croient que Dieu est Un et Unique, les chrétiens soutiennent qu’il y a "trois personnes en un Dieu". Selon les musulmans, ceci n’est rien d’autre que du polythéisme. Les chrétiens croient que "Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit" sont trois personnes en un Dieu. Ainsi, ils disent que Jésus-Christ était pleinement Dieu et pleinement homme. Les musulmans rejettent cette croyance, en citant des

divinité ». ( Mot créé par Rudolf Otto pour désigner le pur sentiment religieux, le sentiment de dépendance de la créature envers son créateur, c’est un sentiment de terreur devant l’incommensurable. 7) Les monothéismes sont-ils vierges de tout polythéisme ? 8) Combien existe-il de monothéisme ? Citez-les. 9) Donnez une définition de Dieu. ( Principe d’explication de l’existence du monde, conçu comme un être personnel. ( Être éternel, unique, tout-puissant et miséricordieux, créateur

dans son étude. Au milieu du XIXème siècle, quand les premiers ouvrages scientifiques lui furent consacrés, la religion romaine fut ainsi mesurée par rapport au christianisme, comme la victoire d’une nouvelle religion supérieure par rapport à un polythéisme ritualiste obsolète. On parle ainsi de « conversion » des Romains. Sous l’empire de l’idéalisme allemand, et notamment à la suite des ouvrages de l’historien Theodor Mommsen, spécialiste de la Rome antique, la religion romaine est présentée comme