Polythéisme

Mais il y a une différence importante qu’il faut souligner à ce sujet. Tandis que les musulmans croient que Dieu est Un et Unique, les chrétiens soutiennent qu’il y a « trois personnes en Dieu ». Selon les musulmans, ceci n’est rien d’autre que du polythéisme. Les chrétiens croient que « Dieu le Père, Dieu le fils et Dieu le Saint-Esprit » sont trois personnes en un Dieu. Ainsi, ils disent que Jésus-Christ était pleinement Dieu et pleinement homme. Les musulmans rejettent cette croyance. Un autre

présent. Premièrement, ce geste de cueillir la pomme se réfèrent certainement au péché premier d’Eve et Adam. Deuxièmement, cet héritage chrétien est contrasté avec l’idole d’une femme bleu avec les bras pliés vers le côté. Ceci pourrait montrer un polythéisme, une autre spiritualité, ou bien une sauvagerie. En conclusion, les deux tableaux se ressemblent, en dépit du style et de la manière de peindre. Les deux artistes se contemplent sur la vie des êtres humains, de nous, à travers leur

disparaissent, vu le terme «retenus», comme la femme désirée, une apparition impalpable, pudique. Virginale : muets, glacés, pure, divine, retenus… L’exclamative nominale «Dieux», comme un soupir de bonheur, de par son pluriel, nous renvoie au polythéisme païen. En synérèse, comme un juron. Obscène. Obscène ? Oui, au sens étymologique du terme : le désir est là, sans fard. Au moins, une surabondance, comme le confirme l’expression collective plurielle «dons» qui suit. Les appâts féminins («tous»

Ce pluralisme signe l’arrêt du modèle normatif monothéiste dont les derniers tenants sont les philosophies de Hegel et de Marx. La lente disparition de ce socle n’est pas sans effet puisqu’on lui substitue le polythéisme et son corollaire : la multitude de valeurs. Mais alors que le polythéisme antique demeurait " sous le charme des Dieux et Démons, le monde actuel, sous l’effet d’une rationalisation et d’une intellectualisation croissantes, est un monde désenchanté, désensorcelé, dépoétisé. " Cet

ages, trois périodes : c'est la loi des trois étapes. L'age théorique : l'esprit humain a l'habitude d'expliquer les phénomènes avec des dieux : les hommes sont polythéiste. Puis au fur et a mesure les hommes réfléchissent et ils passent du polythéisme au monothéisme. (période de l'humanité, vers le 17 ème siècles) L'age métaphysique : Peu à peu les hommes vont découvrir des lois scientifiques qui vont expliquer les phénomènes présents sur la terre comme par exemple tonnerre = électricité

humanité en marche vers son unité Il distingue trois états successifs : - L'àge théologique (ou fictif) ) intelligence humaine fait intervenir Dieu ou agents surnaturels pour expliquer les faits que l'on ne comprend pas. Polythéisme = progrès de l'imagination humaine = permet le progres des arts (statues des Dieux..) permet de justifier l'existence de la cité-nation, la structure (Athéna) mais c'est encore primaire. Monothéisme = ouverture à l'universel

considéraient comme le peuple élu, chargé d'assurer la marche du soleil en le nourrissant par les sacrifices. Outre la croyance en ce dieu principal, la mythologie aztèque, comme toutes les autres mythologies amérindiennes, se caractérise par un polythéisme illimité et strictement fonctionnaliste, c’est-à-dire que les dieux, voués à la conservation du monde, sont affectés à des tâches précises d'assistance aux hommes. Contrairement aux philosophies moralisatrices, la mythologie aztèque n'est pas basée

entouraient la divinité de mystères, qui obscurcissaient parfois la personne d ’Allah ; d'autres, enfin, éprouvant le besoin de symboles, de formules ou de gestes, falsifièrent leur religion, au point qu'elle devint à peine distincte de l’idolâtrie ou du polythéisme. L’unicité absolue d’Allah dans l’Islam Là encore, l'Islam a sa marque propre : il croit en l'unicité absolue d’Allah ; il prescrit une façon de prier et d'adorer qui n'admet ni image, ni symbole (qu’Il considère comme des traces de l’idolâtrie)

existence d'un être unique transcendant et créateur du monde (JWH, Allah, Dieu...) « Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob » JWH = « Je suis celui qui suis » cf : Genèse, Moïse. On ne peut nommer Dieu. Il n'intervient pas dans les affaires humaines. Polythéisme = existence d'êtres supérieurs immortels qui commandent aux phénomènes naturels et qui interviennent ds les affaires humaines. Dieu de Raison : « Dieu des scientifiques et des philosophes ». Voltaire parle de Dieu au sens philosophique du terme

autour des dieux. Théogonie. Mythologie compliquée. Transmission orale. On raconte. Récit mythique qui donne une explication a la question : d’où venons-nous ? Opposition : Mythos ≠ Logos (= science, savoir). Le mythe grec organise la société. Polythéisme (plusieurs dieux). Polymorphisme (plusieurs formes sur un même dieu). Les dieux ont une figure humaine. Ce n’est pas un pur esprit. Anthropomorphisme. Le 1er vecteur du christianisme est le monde grec. Plasticité de la mythologie grecque. Ils peuvent