Pont des Invalides

le radiesthésiste Jean-Claude Coudouing visite les lieux du drame. Avec la permission d'un gendarme, il arpente avec son pendule la voie ferrée. Il revient à16 h 10 avec une balle écrasée qu'il déclare avoir trouvée au bas du talus de la voie ferrée, à 100 m au nord du pont, vers Peyruis. Après expertise, il s'avère qu'il s'agit d'une munition tirée par la US M1. Le 2 septembre, une perquisition de la ferme de François Barth, père d'Yvette, est menée sans succès. Les 3 et 4 septembre, à la gendarmerie Forcalquier, Gustave

un spécialiste qui édicte les règles d'un juste comportement. Exemple : « J'ai appris aussi qu'un infirme doit prendre garde à ne pas agir différemment de ce que les autres attendent. Et, par dessus tout, ils attendent de lui qu'il soit infirme: invalide et impuissant; leur inférieur; et, s'il ne répond pas à leur attente, leur malaise les rend soupçonneux ». (Chapitre 3 p131 et 132) Selon Goffman, ces experts convainquent les stigmatisés de suivre ces codes sous peine de perdre leur authenticité

panique commence à s'emparer de certaines unités de l'armée française. o - 14 : La RAF et l'aviation française tentent de détruire les ponts allemands sur la Meuse, mais en vain. o - 14 : Échec des contre-attaques françaises pour réduire la tête de pont allemande. o - 14 : Au soir le général Huntziger, chef de la IIe armée, craignant d'être contourné, replie son aile gauche à l'est de la Meuse, ce qui va encore agrandir la brèche allemande. o - 15 : Paul Reynaud déclare au téléphone à Churchill

À la tête d’une armée peu nombreuse (environ 37 000 hommes), mal équipée (30 canons), Napoléon mène une campagne foudroyante où les victoires s’enchaînent : Lodi (10 mai 1896), Castiglione (5 août), Arcole (17 novembre) où il passe le premier le pont sous la mitraille ennemie, Rivoli (14 janvier 1797), ville sur l’Adige, près du lac de Garde. Toutes ces batailles ont lieu dans le nord-est de l’Italie, en Vénétie (province de Vérone), dans la plaine du Pô. En moins d’un an (avril 1796-avril

Clemenceau, qui fut élu le même jour que lui, le maréchal Foch n’avait fait acte de candidature, et il n’avait donc accompli aucune visite. C’est Raymond Poincaré qui le reçut, le 5 février 1920. Mort le 20 mars 1929, le maréchal Foch fut inhumé aux Invalides. Le commandant Raynal : Sylvain Eugène Raynal est né à Bordeaux (Gironde) le 7 mars 1867. Au début de la guerre, il commande le 7e régiment de tirailleurs algériens.En décembre, il est blessé grièvement par un éclat d'obus et hospitalisé durant

Blais 1535-38. Il utilise des éléments de portiques mais courbes. A l’intérieur dessin sur le mur de volute. Collège des 4 nations (1662-1668) de Louis Levaut (aujourd’hui c’est le siège de l’académie Française) Jules Hadoin Mansart : église des invalides 1671-1680. La place saint pierre création d’une forme urbaine. La château de Versailles (1er archi = Louis Levaut) Château très important car il va donner lieu à des imitations jusqu’en Russie.   2.    Genèse du baroque : le maniérisme Le langage

La théocratie pontificale : renforcer sa supériorité du spirituel, essayé que celui-ci soit supérieur au temporel (pape supérieur au roi). Empereur + roi sont soumis au pape par cette image de St Pierre. Le pape est donc désormais supérieur sur le pont spirituel et temporel. Le pape revendique le droit de déposer le roi, pour cela il s’appuie au 12ème s. sur la théorie des 2 glaives : explique qu’il n’y a 2 glaives représentant la puissance temporelle et spirituelle, sont la propriété du pape.

dieu ! ce n’est pas sur notre programme ! (“ Oh mon dieu ! but it’s not on our program ! ”) Il caricature les principaux protagonistes de la Seconde Guerre Mondiale : en effet, il met en scène Staline et Hitler, main dans la main, défilant sous un pont de fleurs (le pacte germano-soviétique qui unifie deux dictatures) devant les dirigeants français (Daladier) et anglais (Chamberlain) qui s’étonnent de cette alliance. Le 23 août 1939, le monde apprend donc la signature du pacte germano-soviétique

12. Dans l’après-midi, dans les jardins du Palais-Royal, le journaliste Camille Desmoulins exhorte la foule à se mettre en état de défense. Il considère le renvoi de Necker comme une attaque contre le peuple. Dans les jardins des Tuileries et aux Invalides, les Parisiens se heurtent au régiment dit du Royal-Allemand du prince de Lambesc dont les soldats sont accusés d'avoir tué des manifestants. Le 13 juillet, quarante des cinquante-quatre barrières d’octroi sont incendiées. Les réserves de grains

12. Dans l’après-midi, dans les jardins du Palais-Royal, le journaliste Camille Desmoulins exhorte la foule à se mettre en état de défense. Il considère le renvoi de Necker comme une attaque contre le peuple. Dans les jardins des Tuileries et aux Invalides, les Parisiens se heurtent au régiment dit du Royal-Allemand du prince de Lambesc dont les soldats sont accusés d'avoir tué des manifestants. Le 13 juillet, quarante des cinquante-quatre barrières d’octroi sont incendiées. Les réserves de grains