Pont des Soupirs

Séquence Alcools de Guillaume apollinaire SommaIre Fiche 1 › Le Pont Mirabeau, un poème incantatoire (classe de Seconde) Fiche pédagogique réalisée par Bénédicte Bonnet, professeure certifiée de lettres modernes, professeure documentaliste en collège. p. 2-3 Fiche 2 › Les Colchiques ou le mythe de la femme revisité (Seconde et Première) p. 3-4 Fiche 3 › Nuit rhénane, un fantastique surprenant entre ivresse et éclat de rire (Seconde et Première) p. 5-6 Fiche 4 › «

heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi …………………………………………………………………………… …. p 11 Charles Baudelaire Chanson d'automne …………………………………………………………………p 12 Paul Verlaine Le Lac ………………………………………………………………………………p 13-14 Alphonse de Lamartine Le Pont Mirabeau …………………………………………………………………… p 15 Apollinaire La fuite du temps……………………………………………………………………. p 16 Zhu Ziqing Préface 2 La fuite du temps est quelque chose de très difficile à expliquer et à définir. La fuite est l’action de se soustraire à

en un lieu pour se faire juger. Troisièmement, il y aura une exposition des livres de chaque individu. Chaque personne a un livre où sont inscrits tous ses actes. Selon leurs actes les gens seront récompensés ou puni. Quatrièmement, Il y aura un pont qui relira la nouvelle terre aux abords du paradis et il sera dressé au-dessus de l’enfer dans lequel tous les méchants et les musulmans désobéissants chuteront. Cinquièmement, Chaque communauté aura un bassin où les croyants boiront avant d’entrer

dans tout pays le chant naturel de l'homme est triste, lors même qu'il exprime le bonheur. Notre coeur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs. Le jour je m'égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu'il fallait peu de choses à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse

heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi …………………………………………………………………………… …. p 11 Charles Baudelaire Chanson d'automne …………………………………………………………………p 12 Paul Verlaine Le Lac ………………………………………………………………………………p 13-14 Alphonse de Lamartine Le Pont Mirabeau …………………………………………………………………… p 15 Apollinaire La fuite du temps……………………………………………………………………. p 16 Zhu Ziqing Préface La fuite du temps est quelque chose de très difficile à expliquer et à définir. La fuite est l’action de se soustraire

Mais c'est aussi une lecture qui a longtemps été en usage en raison des modes de publication de la poésie. Guillaume Apollinaire par exemple fait paraître en février 1912 dans la revue Les Soirées de Paris une pre- mière version du poème « Le Pont Mirabeau », il donne donc à lire un texte isolé, avant de le publier dans un recueil. Au xvie siècle, les revues littéraires n'existaient pas, mais les poèmes circulaient avant d'être publiés ; ils étaient lus en public, dans un contexte culturel

l’extérieur, un premier coup de brosse de pont à passer, puis finir à l’éponge pour les taches tenaces. Enrouler les boutes et les amarres, nettoyer les hublots, ranger les coffres. Chaque élément de l’inventaire doit être impérativement remis à sa place. Finalement rincer le pont, faire le plein d’eau. Attention malgré tout à ne pas utiliser trop de produit, respectons notre planète. Considération non négociable. Le ménage est fini, un léger soupir, un soulagement. Non, pas encore ! Le sentiment

-p12 Le tendre et dangereux visage de l’amour de Jacques Prévert -p13 Lettera amorosa de René Char-p13 Les yeux brillants de Michel Butor -p14 Les enfants qui s’aiment de Jacques Prévert -p14 L’amour et la folie de Jean de la Fontaine -p15 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire -p16 -le temps qui passe p17 à p24 Le lac de Lamartine -p18-19 Demain de Robert Desnos-p20 Poème de Samuel Beckett-p20 Le temps de vivre de Boris Vian-p21 J’ai bien le temps de vivre de Claude Roy-p22 Pourquoy

paraissait à l’horizon glorieux, c’était un réveil d’allégresse, dans la campagne entière. Un flot d’or roulait de l’orient à l’occident, sur la plaine immense. Cette chaleur de vie gagnait, s’étendait, en un frisson de jeunesse, où vibraient les soupirs de la terre, le chant des oiseaux, tous les murmures des eaux et des bois. Il faisait bon vivre, le vieux monde voulait vivre un printemps encore. Et, pénétré de cet espoir, Etienne ralentit sa marche, les yeux perdus à droite et à gauche, dans cette

    Je   me   réveillai   en   sursaut.   ‘’Je’’,   avec   trente   ans   de   plus,   une   barbe   mal   rasée   et   vêtu   d’un   pyjama   rayé   miteux.   Dans   un   soupir,   je   me   redressai   sur   les   coudes   qui   peinaient   à   soulever  cette  carcasse  qui  me  servait  de  corps.    Je  ne  me  trouvais  plus  avec  Aline,