Pont-levis

son auteur, elle est son intime ... Elle s’insinue dans son esprit pour y laisser choir les plus belles traces « Rien n’a d’empire sur l’amour. L’amour en a sur toutes choses ». Jean de La Fontaine 1 : Roman d'Arthur Rimbaud (1854-1891) 2 : Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire (1880-1918) 3 : Parfum exotique de Charles Baudelaire (1821-1867) 4 : Anne de Paul Valéry (1871-1945) 5 : Le Lac de Alphonse de Lamartine (1790-1869) 6 : Une allée du Luxembourg Gérard de Nerval (1808-1855)

 Le pont neuf emballé Ø Biographie Christo, est le nom d'artiste sous lequel est identifiée l'œuvre commune de Christo Vladimiroff Javacheff, né le 13 juin 1935 à Gabrovo en Bulgarie, et de Jeanne-Claude Denat de Guillebon, née également le 13 juin 1935 à Casablanca au Maroc et morte le 18 novembre 2009 à New York. Ce couple d'artistes contemporains (« qui emballe la géographie et l'histoire ») s'est rendu célèbre par ses objets empaquetés. Naturalisés américains, ils ont vécu à New York

légers » : « Ils n'en finissent pas, les ponts », écrivit Nouveau en 1874. Pour « quelques-uns de ces ponts sont encore chargés de masures », on s’est demandé si Rimbaud ne s'est pas inspiré d'une ancienne gravure, les dernières maisons bâties sur le Pont de Londres ayant été démolies au XVIIIe siècle ; sur les gravures où on les voit représentées figurent aussi des « dômes » dont celui de la cathédrale Saint-Paul. « L'eau », « large comme un bras de mer » est évidemment la Tamise. Le texte est

d'une autre croyance Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances Adieu Adieu Soleil cou coupé Le pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

MARTIN Lucas 2EMB MATHONNET Valentin Analyse du poème : le Pont Mirabeau I. Présentation : Le Pont Mirabeau est un poème écrit par Apollinaire en 1912 et publié dans le recueil Alcools en 1913. C'est l'un des poèmes les plus célèbres du poète. Son titre fait référence au pont Mirabeau, pont situé dans la partie Ouest de Paris, qu'emprunte le poète lorsqu’il rentre à Auteuil, après avoir rendu visite à sa maîtresse, l'artiste peintre Marie Laurencin. Dans ce poème, Apollinaire évoque

Marie Laurencin, peintre française avec qui il a eu une histoire d’amour, histoire qui inspirera d’ailleurs nombre de ces poèmes. Cors de chasse est un poème qui évoque une fin d’amour, il s’inscrit alors dans la même lignée que Marie ou encore Le Pont Mirabeau, car ils ont tous été écrit sous le même état d’âme. Les thèmes abordés ici sont la fuite du temps d’un amour, dont la recherche est vaine. ANALYSE Structure : C’est un poème bref, il est composé de 2 quintiles et d’un distique On peut

hypothétique, les tournures interrogatives montrent l'inquiétude du poète face au temps. B. L'image du passage - On l'a déjà vue dans d'autres poèmes. Les images du passage sont : l'eau qui passe, « le fleuve s'écoule mais ne tarit pas » (cf. Le Pont Mirabeau), « les brebis s'en vont », « les soldats passent », « un cœur changeant », « je passais au bord de la Seine » (chp lex du mouvement, du passage). Toutes ces images rendent compte de cette fluidité de la vie de et de l'impossibilité de l'arrêter

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bruyère Et souviens-toi que je t’attends Guillaume APOLLINAIRE ANTHOLOGIE POÉTIQUE !12 SECONDE 2 LÉIA VINGRIEF Le pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s'en vont je demeure L'amour

comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle, pour ses nombreux poèmes tels que Zone, La Chanson du mal-aimé, Mai ou encore, ses poèmes ayant fait l’objet de plusieurs adaptations en chanson au cours du siècle, comme Le Pont Mirabeau. Il est l’un des précurseurs de la poésie moderne. Pendant sa jeunesse, il publiera ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Guillaume Macabre, il lit beaucoup et veut devenir journaliste. Très anarchiste, il s'affirme dreyfusard. En 1899