Pontus de Tyard

sur le retour à la nature, le gout de la douceur de vivre, sur l’ataraxie, sur le calme) ainsi qu’Horace (Carpe Diem, profiter de l’instant présent) Ronsard fera a Coqueret la rencontre de Joachim du Bellay ainsi que d’autre hommes (tels que Pontus de Tyard, Jean Antoine de Baïf) dont il restera toujours proche (la brigade). Ils ont pour projet d’embellir la langue française (Qui est basée à 80% sur du latin, parlé par les romains restés en Gaulle après la victoire d’Alesia) et de l’enrichir. A l’époque

les poètes groupés autour de Ronsard et reconnus par lui comme meilleurs compagnons. Il en a plusieurs fois modifié la liste, en maître incontesté (ses contemporains l’appelaient «le prince des poètes») : - 1553 : Ronsard, du Bellay, Baïf, Pontus de Tyard, Des Autels, Jodelle, La Péruse. - 1555 : Jacques Pelletier remplace des Autels. - 1556 : Mort de la Péruse : Rémi Belleau le remplace. LES HÉRITAGES L’HÉRITAGE DE L’HUMANISME : en 1550, la recherche religieuse de l’humanisme est un échec

poétique d’Horace, il tente de réformer l’orthographe française et d’adapter le vocabulaire aux racines latines. Antoine de Baïf: il fut l’élève de Jean Dorat, il était très savant mais ses poèmes n’eurent jamais le succès de ceux de Ronsard. Pontus de Tyard : il fut un grand humaniste à l’époque des guerres de religions, il s’intéresse moins a la recherche poétique, mais plus à la philosophie. C’est également un grand savant. Remy Belleau : il traduit nombreux poèmes latins, son talent élégant

auteurs de la Pleïade La Pleiade est un groupe créé par Ronsard en 1547 et composé de 7 poètes fédérés par la même volonté de rénover les formes poétiques. Ses auteurs les plus connus sont Ronsard, Du Bellay, De Baif mais on peut aussi noter : Pontus de Tyard, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf et Étienne Jodelle. D’abord appelé brigade, ce groupe de7 poètes va devenir la Pleiade, en référence aux 7 filles d'Atlas, héros de la mythologie grecque et aux 7 poètes alexandrins

littérature. On lisait beaucoup et on y apprenait à imiter les grands classiques grecs et latin, quelques poètes italien ainsi que quelques auteurs français du Moyen-âge. Ils formèrent « la Brigade », groupe dans lequel s'est ajouté Rémy Belleau, Pontus de Tyard, Etienne Jodelle et Jacques Peletier du Mans. Le groupe fut renommé « la Pléiade ». Ils avaient tous un centre d'intérêt commun : la littérature. Très vite Pierre de Ronsard s'imposa chef du groupe. En 1549, Joachim du Bellay écrivit le manifeste

seul. L’Humanisme : C’est un mouvement du 16ème siècle centré sur l’homme plutôt que sur des valeurs telles que Dieu, la religion, les lois.  La Pléiade : Est un groupe de poètes rassemblés autour de Ronsard : du Bellay, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Remy Belleau, Jean Dorat, Jean de la Péruse. Ils défendent l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Ils imposent l'alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures. Poème en prose : Un poème

de file (ses contemporains l’appelaient «le prince des poètes»)   Outre le « meneur » ​ Pierre de Ronsard​ , la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes ​ Joachim  du Bellay​ , ​ Jacques Peletier du Mans​ , ​ Rémy Belleau​ , ​ Antoine de Baïf​ , ​ Pontus de Tyard​  et  Étienne Jodelle​ . À la mort de Jacques Peletier du Mans, ​ Jean Dorat​  le remplacera au sein de la  Pléiade, et d'autres poètes comme ​ Guillaume des Autels​  et ​ Nicolas Denisot​  y seront aussi  parfois comptés.  On considère souvent la ​

Au 16ème siècle, de nombreux poètes font partis du groupe de huit de la Pléiade composé de Joachim Du Bellay, Etienne Jodelle, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf, Jacques Peletier, Pontus de Tyard, Jean Dorat ainsi que le très célèbre poète Pierre Ronsard. Il publie « Une beauté de quinze ans enfantine » en 1552. Ce sonnet fait partie du recueil de poème, les Amours de Cassandre, écrit pour une jeune fille de 15 ans qu’il a rencontré à l’âge de 21 ans.

en hommage a un groupe de poètes grecs du IIIème siècle avant JC qui avaient eux mêmes empruntés leur nom au groupe de sept filles du géant mythologique. Sept poètes constituent le groupe : Du Bellay, Ronsard, Rémi Belleau, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard, Jean-Antoine Baïf Les convictions de la pléiade «  N’est pas poète qui veut ». Celui-ci doit être inspiré par la Muse qui a une fonction d’intermédiaire ou d’interprète de la connaissance et qui met l’homme en rapport avec les secrets

et reconnus par lui comme meilleurs compagnons. Il en a plusieurs fois modifié la liste, en maître incontesté (ses contemporains l’appelaient «le prince des poètes») : b) Les écrivains de la Pléiade - 1553 : Ronsard, du Bellay, Baïf, Pontus de Tyard, Des Autels, Jodelle, La Péruse. - 1555 : Jacques Pelletier remplace des Autels. - 1556 : Mort de La Péruse : Rémi Belleau