Porte des Ternes

soldat estropié. Ce personnage de sauveur se distingue de tous les soldats représentés dans le tableau. C'est le seul personnage dont on peut voir le visage et donc fixé une identité, enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat :  ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" est le seul de se tableau qui fait preuve d’humanité. Prédelle : Panneau inférieur : Ici se trouve la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil

En arrière-plan il y a un mur, sur lequel on distingue l'inscription « nigger » ( nègre ), et « KKK » ( Ku Klux Klan ). Des tomates ont été lancées et se sont écrasées contre le mur. La petite fille est soigneusement habillée et coiffée ; elle porte une robe blanche, qui fait ressortir la couleur de sa peau. Il y a un fort contraste entre elle et les hommes dont on ne voit pas le visage, même si on voit à leurs mains qu'ils sont blancs. Leur taille contraste avec celle de la petite fille.

gauche et de droite sont principalement droites, celles du panneau centrales son courbés et enchevêtrées. Il semble le peintre veux faire passer par là l’idée du chaos et de la désolation du champ de bataille. Les couleurs utilisées sont principalement ternes : le gris et le noir pour les gravats, la mort et les cendres. On repère cependant des couleurs plus chaudes notamment le rouge et le marron pour le sang et la boue. Analyse de l’œuvre panneau par panneau Le panneau de gauche, représente les soldats

corps renversé. Au milieu des ruines, une sentinelle est posée comme un mannequin, portant casque, masque à gaz et cape. A droite, c’est le retour du front ; un homme rampe comme un animal, un autre (qui est en réalité un autoportrait d’Otto Dix) porte un blessé à la tête bandée. Le peintre regarde le spectateur et ressemble à un fantôme. Le décor : des trous d’obus, des arbres calcinés, des ruines, un incendie. Sur la partie basse, on voit des soldats morts alignés sur le dos dans cercueil/une fosse

à renverser ou à contester l'ordre établi, ses lois et ses principes) des éléments traditionnels. L'héroïne semble discréditée d'un amour possible. Dans cet incipit, l'héroïne est dépréciée : décrite comme "laide", mal habillée, "ses cheveux sont ternes", "elle est petite", "pâle" : elle déplaît à Aurélien. On fait face à un portrait à l'unisson ("de manière unanime, d'une même voix"), tout est presque dit avec irritation. Le lecteur est au plus près de ce qui se passe dans la tête d'Aurélien : c'est

seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre

seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre

qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craint pas l'attaque. *Panneau Inférieur : le Panneau inférieur au format est un rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort (aussi représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim) Les couleurs: Les couleurs sont sombres et ternes comme

le feu du champ de bataille(panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est celle du sang mais aussi pour sa valeur symbolique; dans notre culture le rouge symbolise en effet la violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier que dépeint Otto Dix: Une guerre qui se déploie dans la boue et la crasse et qui répand la violence et la mort. Panneau de Gauche : Des soldats propres en armes, portant sac au dos(il est impossible d’identifier

essentiel une petite scène de comédie amoureuse puis le poème s'achève sur un gros plan, celui de l'expression d'un visage. 1 des paysages évanescents A l'évidence Verlaine éprouve une prédilection obsessionnelle pour les couleurs pâles, froides et ternes, l'évanescent. "Pas la couleur, rien que la nuance" affirme Verlaine dans son "Art poétique". C'est qu'il n'y a jamais de frontière entre le paysage verlainien et ses états d'âme. La première strophe pose le décor, un ciel froid, des arbres menus