Portrait De Géronte

vertu son portrait, à la niaiserie son visage et au siècle même et à la société de ce temps quels sont leurs aspects et leurs caractères ». Pensez-vous que cette affirmation rende totalement compte de la fonction du théâtre ? On dit que le théâtre est l'art de l'illusion. Shakespeare fait pourtant dire à l'un de ses personnages, dans Hamlet : « L'objet du théâtre a été dès l'origine et demeure encore de présenter pour ainsi dire un miroir de la nature et de montrer à la vertu son portrait, à la niaiserie

lui, et qui frappe le public* infiniment plus que les longs commentaires mesurés des raisonneurs* comme Philinte, Cléante du Tartuffe ou Béralde. Scapin, volontiers moralisateur, ironise sur les malheurs des amoureux et des pères; Dorine fait un portrait haut en couleurs de Tartuffe; aux yeux de Toinette, Argan, exploité par les médecins, est, non pas une dupe, mais "une bonne vache à lait" : Monsieur Purgon a dû tuer "bien des gens pour s'être fait si riche". En même temps, sous ces couleurs

de faire rire par des gestes et plaisanteries de mauvais gout est utilisé pour provoquer les éclats de rire des spectateurs. Dans les  fourberies de Scapin  de Molière, nous assistons à une scène où le valet, Scapin, veut se venger de son maître Géronte en lui faisant croire qu’il est attaqué par des spadassins étrangers, Scapin va employer beaucoup d’accent différent en exagèrent sur les tonalités pour pouvoir battre son maître qui pense être tapé par ces derniers. Molière a allégrement usé des

stratagèmes au fil des siècles  Présentation en mode « zoom » = dramaturge / XVIIème siècle > Classicisme / titre pièce = « Fourberies » = stratagèmes / manipulations / ruses / pièges / Fourberies = « s » = un certain nombre / milieu de la pièce Géronte = caché dans un sac pendant la majorité de la scène ( spectateur au courant ) ( au niveau du sol ) Scapin = debout / actif / en mouvement / parle / serviteur Personnage incarné par Scapin = « spadassin » qui parle d’une drôle de façon = stratagème

spectateur et l'accrocher. Plan possible : I) UNE SCENE D'EXPOSITION REUSSIE INFORME SON SPECTATEUR 1) Elle présente les personnages avec efficacité − présentation directe ou indirecte des personnages (cf réponse à la question 1) − le portrait au théâtre : un personnage est présenté par les dires d'un autre : Dom Juan est dépeint comme un « grand seigneur méchant homme » à l'acte I, scène 1 par son valet Sganarelle, ce qui crée un effet d'attente chez le spectateur qui attend d'autant

Absurdité des pratiques religieuses : l’ironie au cœur des propos Ex 2 : Autodafé ( cf : obscurantisme + Inquisition ) b) La figure de Pangloss en proie du philosophe des Lumières Arg 1 : Voltaire caricature Leibniz Ex 1 : Portrait satirique au chapitre 1 ( + enseignement inexistante ) Arg 2 : Pangloss incarnerait le serpent tentateur du jardin d’Eden, il brouille la vision de Candide Ex 2 : « le meilleur des mondes », une formule qui revient sans cesse ( chap 3,6,27, 28)

c’est probablement un personnage baroque. On peut faire l’hypothèse que ce magicien possède d’étroites ressemblances avec Corneille lui-même. Ils ont une position de metteur en scène. Ils ont de nombreuses qualités en commun. Problème : En quoi le portrait d’Alcandre transforme-t-il cette scène d’exposition en réflexion sur l’art du théâtre ? I. Une scène d’exposition mystérieuse et baroque Examiner les 3 fonctions traditionnelles de la scène d’exposition. A travers elles, Corneille chercher 2 objectifs :

>Il fait une accumulation de termes mélioratif, hyperbolique, « Je couche d'un revers mille ennemis à bas » «  D'un souffle je réduis leurs projets en fumée »Sa tirade montrant des actes tellement exceptionnels le rend impossible , faisant son auto-portrait n'attire que le rire du spectateur dû à une description peu crédible : ses seules armes sont « Le foudre » « Un souffle » « un revers de main » II]Un amoureux ridicule >Matamore est amoureux, « Toutefois, je songe à ma maîtresse » cela l’arrête

devenue dévote, est l’agent docile du parti, et le jeune roi ne sait rien lui refuser. Molière, naturellement, ne songe pas à jouer sur la scène les très grands seigneurs qui, dans l’ombre, animent la cabale. Le dévot dont il fait le terrible portrait est l’un de ces aventuriers de bas étage qui gravitent autour des chefs et qui comptent sur l’habituelle sottise des bigots pour faire fortune. Des acteurs ont représenté Tartuffe comme un personnage froid, raffiné, élégant. C’est en réalité un homme

que je prends à tout ce qui vous touche, je viens vous annoncer la meilleure nouvelle du monde." Dans les fourberies de Scapin, le valet doté d’une incroyable intelligence, effectue de nombreuses fourberies, il souttire de l'argent à ses maîtres "Géronte: Tu dis qu’il demande…/Scapin:Cinq cents écus./Géronte:Cinq cents écus ! N’a-t-il point de conscience ?".Tout ces éléments prouvent que les valets sont souvent plus intelligent qu'on ne le crois, de plus ils sont souvent bon ... Mais encore, en