Portrait De Mathilde

les yeux gris larges ouverts, les cils, les sourcils noirs, les dents très blanches, et l’expression surtout, achèvent n’importe quelle conquête. En somme, la beauté de Mathilde c’est un peu celle d’une Simone Simon. Intelligence, vivacité, enthousiasme sont logés sous un minois1 un peu trop chiffonné... Quand Mathilde était petite, elle refusait qu’on lui offrît ainsi au premier janvier, un cadeau qui ne pourrait servir qu’à l’été. Cette fois, elle avait demandé elle-même une bécane2.

édition, 1932-1935. Dictionnaire Le petit Larousse illustré, 2011. 2. Mme de Rênal dresse un portrait de Julien très négatif. Celui-ci serait un profiteur, manipulateur et beau parleur prêt à tout pour atteindre son objectif : maitriser la maison. Julien est donc vu comme un parasite. De ce fait, Julien peut être assimilé au personnage de Tartuffe dans la pièce du même nom de Molière. Ce portrait ne correspond pas parfaitement aux agissements de Julien. En effet, d’un point de vue extérieur à

| |de plus en plus présent. | |Contexte littéraire |Courant et |Le courant du réalisme offre des œuvres qui dressent un portrait réel et | | |caractéristiques |pessimiste de la réalité française lors de la révolution industrielle. Les auteurs| | | |décrivent le plus justement

LIVRE PREMIER Chapitre 1 :Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait dumaire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique declous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal a dû négocier ferme avec lepropriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie del'opinion à Verrières. Chapitre 2 :La promenade de Verrières (le Cours de la Fidélité), embellie par M. deRênal, enclenche une rêverie poétique de l'auteur : la vue sur la campagney est somptueuse

3.Premier bal de JulienLe quizz 1) Quel âge a Mathilde ?Mathilde est âgée de 19ans. 2) Citez le nom de deux prétendants de Mathilde.Les deux prétendants de Mathilde sont Le marquis de Croisenois et Le comte de Altamira.Le résuméA l’occasion d’un bal donné à l’hôtel de Retz, Julien échange des propos sur Danton avec le comte Altamira. Mathilde est attentionnée et admirative face à une telle éloquence. Elle décide de séduire Julien malgré son indifférence

par jour. Julien apprend la mort, dans un duel, du marquis de Croisenois, lequel avait su par lettres anonymes la vérité de la situation de Mathilde. Cette mort change les plans de Julien quant à l'avenir de Mathilde ; il tente à présent de la persuader d'épouser M. de Luz. Frappé de son propre irrémédiable malheur (Julien en aime une autre), Mathilde traverse une phase dépressive. Au milieu de cette vie apaisée avec Mme de Rênal, Julien est encore la victime d'une intrigue de son confesseur

arrivisme, de toute ambition, fut Mme de Rênal. Mathilde de la môle : Se révèle comme un double de J. L'une des deux grandes figures féminines du roman. Elle est construite selon une antithèse avec Mme de Rênal, car elle dévore les livres de la bibliothèque paternelle. La scène de première rencontre avec Julien se fait dans la bibliothèque qui sert de cadre de confrontations décisives entre elle et Julien. Parisienne et spirituelle, Mathilde lutte contre sa propre aliénation à une vie mondaine

Rhétorique Ces questions visent à provoquer Mathilde et faire susciter en elle la colère,la haine et l'indignation L.5-6 « pauvre folle , qui es tu pour , qui penses tu être pour ? » Vocabulaire dépréciatif Il tente de rabaisser Mathilde , dans le but de prendre le l'ascendant sur sa sœur L.5-6 « provoquer les gens honorable » Hyperbole Hyperbole qui met en relief Adrien car il fait partie selon lui des gens honorable contrairement a sa sœur, portrait péjoratif. L.6-7 « bafouer les bonnes

RESUME DU ROMAN : LIVRE PREMIER Chapitre 1 : Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait du maire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique de clous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal a dû négocier ferme avec le propriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie de l'opinion à Verrières. Chapitre 2 : La promenade de Verrières (le Cours de la Fidélité), embellie par M. de Rênal, enclenche une rêverie poétique de l'auteur

de Louise) met en place un double portrait. Mme de Rênal établie le portrait de Julien, elle met en avant sa fragilité (« cette pauvre créature », « extrêmement pâle », « les grosses larmes » = adjectifs hyperboliques), et sa beauté (« la beauté du teint », « jeune homme », « ses jolis cheveux », « les grands yeux noirs »). Julien quant à lui met en avant l'apparence de Mme de Rênal (« aussi bien vêtue », frappé du regard », « si éblouissant »). Ce double portrait présente un probable trouble amoureux