Portrait De Philinte Misanthrope

Le misanthrope de Molière :Commentaire composé sur le misanthrope de MolièreLe "Misanthrope" de Molière, créé en 1666, est une pièce de théâtre classique qui met en scène le personnage d'Alceste, un homme qui méprise la société hypocrite et superficielle dans laquelle il vit. À travers ce personnage, Molière critique la société de son temps, tout en offrant une réflexion sur la nature humaine.La pièce commence par une discussion entre Alceste et son ami Philinte, où Alceste expose sa vision du monde

Le portrait dans les romans du XVIIème au XXème siècle Problématique : Quel rôle le portrait joue-t-il dans la construction du personnage ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Paul Scarron, Le Roman comique (portrait de Mme Bouvillon) 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir (portrait de Mr de Rênal) 3. Gustave Flaubert, Madame Bovary (portrait de Catherine Leroux) 4. Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (portrait de

Commentaire Le Misanthrope, Acte II Scène 4 La caricature est un outil fréquemment utilisé par Molière, dramaturge français emblématique du XVIIème siècle, pour critiquer certains traits du genre humain. L’extrait étudié est issu de la scène 4 de l’acte II du Misanthrope, une pièce où Molière critique les mœurs de la Cour et l’hypocrisie. Cette scène expose plusieurs personnages dont Célimène et certains de ses prétendants. En quoi cette scène de conversation mondaine permet-elle à

mais elle suggère un possible retournement. La scène d'exposition peut nous renseigner sur les caractères dans la grande comédie par exemple. Dans Le Misanthrope de Molière le dialogue entre Philinte et Alceste met en lumière la misanthropie du personnage principal, Alceste : « Moi, je veux me fâcher et ne veut point entendre. » Son portrait psychique est dressé dès les premières lignes. Dans Le Malade imaginaire, le monologue d’Argan met en avant son caractère hypocondriaque (d’humeur chagrine

corpus, Le Misanthrope par Molière, l’extrait de Les caractères «  de la société et de la conversation » de La Bruyère et A la recherche du temps perdu, Le coté de Guermantes de Marcel Proust ont en commun la critique de l’hypocrisie de la société mondaine. Dans les textes de Molière et Proust ont comprend que les mondanités priment sur des valeurs comme l’amitié qui repose sur une argumentation indirecte sous forme de dialogue. Le dialogue que Molière instaure entre Alceste et Philinte dépeint deux

dans l’écriture de comédie, notamment sur les types humains. Le Misanthrope en est un exemple. Alceste, le personnage principal, hait la société. Il est cependant contraint à la fréquenter, car il est confronté à deux problèmes. D'une part, il a dû assister à son procès, qu’il vient de perdre. D'autre part, il demande à Célimène de vivre avec lui, ce qui apparait dès le début comme impossible. Dans cette scène, Alceste s’adresse à Philinte, l’incarnation de l’honnête homme. Ce contraste souligne leurs

entre les deux parents de Chimène et de Rodrigue. La scène d'exposition peut nous renseigner sur les caractères dans la grande comédie par exemple. Dans Le Misanthrope de Molière, le dialogue entre Philinte et Alceste met en lumière la misanthropie du personnage principal, Alceste : « Moi, je veux me fâcher et ne veut point entendre. » Son portrait psychique est dressé dès les premières lignes. Dans Le Malade imaginaire, le monologue d’Argan met en avant son caractère hypocondriaque (d’humeur chagrine

lequel le rire ne naît plus d'un accident, d'une bastonnade, ou d'une plaisanterie, mais de l'obsession intime, du ridicule inhérent à la psychologie d'un personnage : Dans ce sac ridicule où Scapin s'enveloppe, Je ne reconnais plus l'auteur du Misanthrope. C’est à la suite de cette condamnation de Boileau que la postérité — en particulier la IIIe République — a hypertrophié cette forme de comique. En réalité, Molière recourt à toutes sortes d’effets comiques, même s’ils n’ont pas de portée psychologique

sera faite ici n’est pas la description d’un homme qui existe vraiment au XVIIesiècle, mais d’un homme que tous voudraient pouvoir devenir(En littérature, Clitandre dans les Femmes savantes, Cléante dans Tartuffe, Philinte dans le Misanthrope sont les porte-parole de Molière et des portraits d' "honnêtes gens".)."La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les honnêtes gens des siècles passés, qui en ont été les auteurs." (Descartes, Discours de la méthode) Pour plaire et briller

d’Aristote, via Théophraste, art du portrait qui a nourri la Comédie Nouvelle, ainsi que l’œuvre de Térence. Les caractères sont des portraits d’individus qui, ayant perdu le sens de la mesure où réside la vertu, sont aveugles à eux-mêmes et demeurent fixes. Le substrat de cette conception des choses est à rechercher dans la fameuse théorie des humeurs (le sang, le flegme, la bile et l’atrabile) dont l’équilibre est condition de bonne santé. Le sous-titre du Misanthrope est d’ailleurs L’Atrabilaire amoureux