Portrait De Victorine Taillefer

est un auteur à la fois réaliste et romantique. La comédie Humaine, regroupant 90 romans, en est l'illustration. Bien que le début du réalisme soit associé à 1850, cela n'empêche pas Balzac de faire preuve d'un grand réalisme, notamment dans ces portraits (Gobseck, le père Goriot...). En effet, si le MOUVEMENT n'est associé qu'à cette période, il existait déjà avant, mais était moins présent car peu utilisé. Balzac est précurseur du réalisme. 2- L’action du roman se déroule à l’automne 1819 donc

Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmi eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens contrastent par leur fraîcheur avec la masse des habitués : Victorine Taillefer, une orpheline et Eugène de Rastignac, un étudiant. C’est Rastignac qui perce le mystère du père Goriot grâce à sa cousine, la vicomtesse de Bauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde. Goriot s’est ruiné pour ses filles, Anastasie de

Balzac fait, dans le père Goriot, le portrait de la paternité. Goriot est le Christ de la paternité. Délaissé par ses deux filles qu’il adore, il finira par mourir abandonné d’elles dans le dénuement le plus total. Avant même que l’auteur introduise le portrait des deux filles de Goriot, il fait celui d’un contre-exemple, la fille abandonné du père, qui vit dans une misère forcée par le désintérêt paternel et le mépris du frère préféré par le père. Victorine Taillefer est une malheureuse enfant qui vit

cheveux noirs, des yeux bleus… ». Son visage est séduisant et ses manières aristocratiques le rendent élégant. Voir le portrait (p.76). C’est un jeune provençal à Paris pour aire ses études de droit, et partant faire fortune. En vrai arriviste, il fréquente les salons parisiens, ses jeux et ses plaisirs. Il ne parvient pas à faire son choix entre Delphine qu’il aime et Victorine Taillefer qui est prête à se laisser conquérir. Il résistera à la proposition satanique de Vautrin, car il considère le travail

Comédie Humaine Ver la fin de sa vie il décide de joindre toutes ses oeuvres pour les classifier. Comme ça en 1842 naisse la Comédie Humanine, le nom a pris l'ispiration de la Divine Comédie de Dante. Le but de la Comédie Humaine c’est paniere un portrait complète et fidèle de la société, ef faisant une classification de tous le types sociaux, dans la manière dont Dante a fait la classification du ciel. Dans la Comédie Humaine on parle de plus de 4000 personnes, mais il a uni ces romans parce que

présence inquiétante du tentateur, Vautrin, et dresse un tableau extrêmement sombre de la société parisienne en 1819. Tous ces personnages se retrouvent dans la pension Vauquer. Le passage qui nous intéresse ici se situe au début du roman. Y est fait le portrait de Madame de Vauquer, étroitement lié à celui de la pension. Cette description célèbre illustre la théorie balzacienne de l'interaction lieux/personnages. En quoi participe-t-elle au regard de Balzac sur la nature humaine et sur la société, et constitue-t-elle

sont apparentés à un microcosme familial et les portraits se succèdent. D’une part, les plus âgés : Mademoiselle Michonneau, Poiret, Madame Couture ; puis les jeunes, étudiants insouciants. Trois personnages se distinguent surtout par leurs liens avec d’autres milieux que celui du monde clos de la pension. Rastignac est un jeune aristocrate provincial venu étudier à Paris, Vautrin est un homme, mystérieux et marginal auquel Balzac consacre un long portrait inquiétant, enfin Goriot est un commerçant retraité

les figures féminines sont représentées. On a la figure maternelle avec Mme Vauquer, la propriétaire de la pension. Avec Mme de Bauséant, c'est la parisienne de l'époque, bien sous tout rapports, qui préfère paraître plutôt qu'être. Avec Victorine, c'est le portrait de la jeune femme naïve et amoureuse qui est dépeinte. Puis il y a bien sûr, Delphine et Anastasie les filles du père Goriot. Elles sont belles, élégantes et surtout, conviées dans tous les salons parisiens. Mais, elles sont en réalité

Neuve-Sainte-Geneviève, près du Panthéon, à Paris. Il s’agit d’une pension où vivent madame Vauquer, l’hôtesse et ses pensionnaires, mademoiselle Michonneau, une vieille fille, et Poiret, un ancien employé qui la suit partout. Il y a aussi Victorine Taillefer, une jeune fille déshéritée par son père et madame Couture, une parente éloignée qui lui sert de mère et le mystérieux monsieur Vautrin. Enfin Eugène Rastignac, un étudiant pauvre, fils d’une famille noble et le plus ancien pensionnaire, un

cheveux noirs, des yeux bleus… ». Son visage est séduisant et ses manières aristocratiques le rendent élégant. Voir le portrait (p.76). C’est un jeune provençal à Paris pour aire ses études de droit, et partant faire fortune. En vrai arriviste, il fréquente les salons parisiens, ses jeux et ses plaisirs. Il ne parvient pas à faire son choix entre Delphine qu’il aime et Victorine Taillefer qui est prête à se laisser conquérir. Il résistera à la proposition satanique de Vautrin, car il considère le travail