Portrait Duc De Vendome

tasses diaphanes venues de Chine, salières antiques, drageoirs féodaux. Un vaisseau d'ivoire voguait à pleines voiles sur le dos d'une immobile tortue. Une machine pneumatique éborgnait l'empereur Auguste, majestueusement impassible. Plusieurs portraits d'échevins français, de bourgmestres hollandais, insensibles alors comme pendant leur vie, s'élevaient au−dessus de ce chaos d'antiquités, en y lançant un regard pâle et froid. Tous les pays de la terre semblaient avoir apporté là quelques débris

trouverait que l'étranger en plusieurs lieux serait plus vrai citoyen que le sujet naturel. Comme à Florence plusieurs habitants présentèrent requête au nouveau Duc, pour être estimés et réputés comme étrangers, pour la liberté des étrangers, et sujétion des citoyens. Et néanmoins, il y en a de si privilégiés par-dessus les autres, que pour une fois le Duc reçut cinquante mille écus, pour cinquante bourgeois qu'il fit. En quoi il usa d'un tour de maître, accroissant sa puissance d'autant de fidèles sujets

tasses diaphanes venues de Chine, salières antiques, drageoirs féodaux. Un vaisseau d'ivoire voguait à pleines voiles sur le dos d'une immobile tortue. Une machine pneumatique éborgnait l'empereur Auguste, majestueusement impassible. Plusieurs portraits d'échevins français, de bourgmestres hollandais, insensibles alors comme pendant leur vie, s'élevaient au−dessus de ce chaos d'antiquités, en y lançant un regard pâle et froid. Tous les pays de la terre semblaient avoir apporté là quelques débris

teignait les favoris »25 Cela se reflète sur son portrait physique. Guy Riegert nous indique que « la première impression qui de dégage est celle de la force physique. Cette force se manifeste à la pension par une vitalité débordante, une « grosse gaieté », un entrain aux plaisanteries des pensionnaires….Vautrin a l’allégresse d’un bon bourgeois heureux de tout connaître. » 26 Balzac à son tour nous donne aussi des détails sur le portrait physique de Vautrin « Il avait les épaules

rencontre de Jean Valjean et de l'évêque aussi bien que la chronologie interne du roman rendaient inévitable la comparaison de ce « personnage imaginaire » 15 avec son « modèle » historique: Mgr Miollis, évêque à Digne de 1805 à 1838. Mais le portrait qu'on en trace ici procède par rectifications destinées non pas, comme le voudraient les conventions du genre historique, à accréditer le rapprochement, mais au contraire à le rendre, pour ainsi dire, inopérant. La monographie du chanoine Bondil

partie a pu être intégrée à la soirée Verdurin, dont le premier texte, nous l'avons vu, est perdu. L'originalité de la nouvelle version est d'illustrer la thèse de l'identité profonde des oeuvres d'un même artiste par un développement romanesque, le portrait d'Albertine au pianola, la jeune fille opposant ses aspects changeants à la permanence des oeuvres d'art. Dans le "Manuscrit au net", Proust déplace presque tous les éléments de la séance de pianola vers le septuor (ou sextuor: le manuscrit donne

oreilles260 X, 9 Le Berger et le Roi261 X, 10 Les Poissons et le Berger qui joue de la flûte263 X, 11 Les deux Perroquets, le Roi, et son fils264 X, 12 La Lionne et l'Ourse266 X, 13 Les deux Aventuriers et le Talisman267 X, 14 Discours à Monsieur le Duc de La Rochefoucault268 X, 15 Le Marchand, le Gentilhomme, le Pâtre, et le Fils de roi270 LIVRE XI271 XI, 1 Le Lion272 XI, 2 Les Dieux voulant instruire un fils de Jupiter273 XI, 3 Le Fermier, le Chien, et le Renard274 XI, 4 Le Songe d'un habitant

avoir oublié ses enfants, il a oublié le culte qu'il rend à Diane, déesse de la pureté, mais aussi de la chasse : il ne sait plus dompter les chevaux, ce présent de Neptune à Athènes. Aussi périt-il trahi par un attelage qui ne le reconnaît plus. Son portrait est même complémentaire de celui de Phèdre, et, s'ils se rencontrent, c'est pour composer la représentation globale de l'être humain. Aussi est-ce bien la raison pour laquelle la pièce put d'abord être intitulée ‘’Phèdre et Hippolyte’’, Racine pouvant

certainement. Or Dieu sait pourtant si, depuis, les Chaussepierre avaient occupé l’esprit du duc et de la duchesse. Voici pour quelle raison. M. de Guermantes était le plus ancien vice-président du Jockey quand le président mourut. Certains membres du cercle qui n’ont pas de relations, et dont le seul plaisir est de donner des boules noires aux gens qui ne les invitent pas, firent campagne contre le duc de Guermantes qui, sûr d’être élu, et assez négligent quant à cette présidence qui était

Brûlart de Genlis, archevêque-prince d’Embrun, Antoine de Mesgrigny, capucin, évêque de Grasse, Philippe de Vendôme, grand prieur de France, abbé de SaintHonoré de Lérins, François de Berton de Grillon, évêque-baron de Vence, César de Sabran de Forcalquier, évêque-seigneur de Glandève, et Jean Soanen, prêtre de l’oratoire, prédicateur ordinaire du roi, évêque-seigneur de Senez. Les portraits de ces sept révérends personnages décoraient cette salle, et cette date mémorable, 29 juillet 1714, y était