Portrait Ovale

œuvre « Les caractères » → Il propose une galerie de portraits dans lesquelles il dénonce les vices de ces contemporains et particulièrement des puissants. A partir de prénoms grecs, il superpose les portraits des courtisans de Louis XIV pour montrer le caractère intemporel des Hommes. Chap. 18 s’intitule « De la cour ». Il se plait à décrire les mœurs des courtisans à travers un registre didactique et ironique. Problématique : Comment ce portrait met-il en évidence l’art du paraître chez les Courtisans

Lecture analytique. « Les Caractéres », Jean De La Bruyére, 1688 I] Impressions de lectures Les caractéres → Portraits du XVII e siécle. La Bruyére : * Dénonce le système social de son époque sans proposer de changements * Ecrit + de 1 100 commentaires, maximes, portraits, réflexions, récits brefs en 16 chapitres ( Titre à chacun. ) Observateur des mœurs de son temps. Précurseur du Siècle des Lumières ( Pas révolutionnaire

Charles IX. François CLOUET est un artiste français de la renaissance. Il continua les œuvres de son père pour l’exécution des portrais mais poussant d’avantage son travail notamment dans des tableaux galant, réalisant de simple esquisses au rang de portrait ou dessin. Maître de sa technique "maniériste", l’artiste est un perspicace « médiateur » qui, par la magie de l’art, introduit à la connaissance des milieux courtois dans la France tragique des guerres de religion entre les catholiques et les chrétiens

Ce texte nous montre que le colonel Chabert est un homme meurtri par les épreuves de sa vie, qu’il est pauvre et qu’il mystérieux. Cela nous démontre que Balzac ne fait pas qu’une description physique du colonel Chabert mais qu’il fait aussi un portrait moral de son personnage.

DOSSIER HISTOIRE DE L’ART : Le portrait à travers les siècles 1) Le portrait en peinture est naît en Italie au XIVème siècle. 2) Tiziano Vecciello ou Le Titien (1490/1576) était un peintre italien. C’était un portraitiste de l’époque de la renaissance. Il s’est beaucoup inspiré de son frère, Giovanni Bellini, et de Giorgione. Il a notamment peint Diane et Callisto, L’homme aux gants et Flora. 3) Les caractéristiques du maniérisme

renaissance en Italie et son extension aux restes de l'Europe, où un nouveau mouvement intellectuel donnant une nouvelle vision de l'Homme et du Monde voit le jour. Cette peinture, peinte huile sur bois, mesure 0,60 x 0,82. Ce tableau est un double portrait dans lequel sont représentés un jeune couple,  Giovanni Arnolfini, un banquier italien et son épouse, Giovanna Cenam dans leur milieu le plus intime: la chambre] L'OEUVRE A. La composition La technique utilisée ici, est celle d'une peinture

suscité de vives réactions au théâtre de la ville à Paris. Intitulé « sur le concept du visage du fils de Dieu » ce spectacle utilise le portrait du Christ comme élément central. Deux passages ont marqué les esprits et ont engendré de vives manifestations. Sur scène des enfants ont sorti de leur cartable des grenades en plastique puis les ont lancées sur le portrait du Christ. Dans une autre scène un liquide noir se déverse sur son visage, pour ensuite déchirer la toile, laissant apparaître une inscription

- Les personnages sont ordinaires, voir méprisables, comme l’est Mme Bouvillon. - les faits sont présentés tels quels, de façon réelle.  Par opposition au romantisme par exemple où les personnages et les évènements sont magnifiés. Mais le portrait de Mme Bouvillon est tout de même caricatural. Des exagérations : - Hyperbole : les seins sont présentés comme « 10 livres de tétons » (l.5) Exagère sur le poids de Mme Bouvillon. - comparaison exagérée : « auraient été pris de loin pour un

d’histoire, présentent les scènes de la vie contemporaine : les réalistes confèrent une dignité nouvelle aux thèmes considérés comme subalternes dans la hiérarchie des genres. Le travail moderne, la vie quotidienne, la nature morte, le paysage et le portrait prennent une force authentique. Les peintres donnent une valeur expressive au dessin par la simplification et la stylisation. Le sujet est éclairé par une source lumineuse d’atelier, provenant en général d’en haut à gauche, et le tableau s’élabore

de Samuel de Sacy, Paris, Gallimard, Folio, 1965. 2ème partie, chap. II : Le portrait de Rosanette (pp. 171-173) De « Il passa en revue dans sa mémoire tous les portraits… » à « … et sa figure ressemblait, sous sa capote de soie verte, à une rose épanouie entre ses feuilles. » Frédéric Moreau, souvent éconduit par la Maréchale, échafaude un plan pour s’en rapprocher. Il la convainc donc de se faire tirer le portrait par Pellerin et espère profiter des tête-à-tête dûs aux fréquents retards du