Posidonios

généralement, dans la Grèce antique, que la terre est sphérique. Platon la présente comme immobile et servant de pivot à l'univers tout entier. Eratosthène donne une estimation presque exacte de son rayon. Aristote (384 av. J.-C.- 322 av. J.-C.), Posidonios, Hipparque et les grands philosophes ultérieurs de la Grèce antique se rallient à la thèse de Parménide et de Platon. Seul Aristarque de Samos (310, ca 230 av. J.-C.) suggère que la terre pourrait tourner sur elle-même et autour du soleil. Au

l'avenir. Il n'y a que le Hadès auquel il ne puisse échapper, mais il a trouvé des remèdes aux maladies dangereuses."(Antigone, 334-356) La notion de progrès a été développée par les stoïciens, dès Zénon de Citium (vers 300 av. J.-C.) et surtout Posidonios d'Apamée. Sénèque considère le progrès technique - pas le progrès des connaissances - comme un danger pour la vie morale, puisque son moteur est l'amour du luxe et du plaisir.[1] Jacqueline de Romilly, dans Les Idées romaines sur le progrès d’après

exactement une doctrine stoïcienne puisque cette dernière parle d'un destin rationnel qui se distingue de la puissance surnaturelle du fatalisme comme les dieux. « Toutes choses ont lieu selon le destin ; ainsi parlent Chrysippe au traité Du destin, Posidonios au deuxième livre Du destin, Zénon et Boéthus au premier livre Du destin » (Diogène Laërce, Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres, VII, 149). Le fatum stoicum n’est pas une puissance irrationnelle, mais l’expression de l’ordre imprimé

Dissertation romaine. Claude Nicolet affirme dans son œuvre « L’inventaire du monde » que ne peut être niée « la rencontre de la poli<que et de la géographie ». Ainsi, pour pouvoir cerner les décisions et choix poli<ques d’une certaine en<té, à une certaine époque, il est essen<el de combiner ces deux éléments. Pour pouvoir saisir les racines de l’orbis terrarum romain sous Auguste, il est nécessaire de se pencher sur tout document historique se rapportant au Ier siècle. Le Res

partielle de cet énorme corpus, encyclopédique au sens le plus pur du terme, puis sa récupération progressive, largement due à l'Islam, a influé sur l'histoire des encyclopédies en Occident pendant deux millénaires5. » On a également retenu le nom de Posidonios (-135--51), autre savant grec polyvalent, qui était à la fois géographe, historien et mathématicien, mais dont l'œuvre est complètement perdue. Selon Umberto Eco6, le comportement encyclopédique s'est véritablement développé dans la Rome antique

richesse de ce peuple, surtout affichée dans les villes étrusques. Il n’est pas possible de pouvoir reconstituer une journée type en raison du manque de témoignages littéraires. Quelque informations nous sont cependant fournit par un historien grec, Posidonio, concernant la riche table étrusque : "Les Étrusques font préparer deux fois dans la journée une table somptueuse avec tout ce qui contribue à une vie délicate ; disposer des nappes brodées en fleurs ; couvrir la table d’une grande quantité de vaisselle

pris d’un accès de bigoterie chrétienne, ferme les écoles philosophiques d’Athènes. Les historiens distinguent trois stoïcismes : le stoïcisme ancien, celui des fondateurs (Zénon de Citium, Cléanthe, Chrysippe), le stoïcisme moyen (Panétios, Posidonios), marqué par un certain éclectisme (on y retrouve des thèmes platoniciens, aristotéliciens et épicuriens) et le nouveau stoïcisme ou stoïcisme impérial (Épictète, Sénèque, Marc Aurèle). Les grandes idées du stoïcisme nous sont connues indirectement

chevaux dans le Nord, plus épisodiquement de chien, de cheval ou de volaille. Les salaisons et la charcuterie gauloise étaient réputées à Rome. Les volailles, pourtant elles aussi exploitées, étaient peu consommées23. Le philosophe grec stoïcien Posidonios, dans son Histoire, décrit les boissons gauloises. Le peuple buvait de l'hydromel et surtout de la cervoise, bière à base d'orge, tandis que l'élite consommait du vin pur, à la différence des Grecs et Romains. La culture de la vigne, au temps de

digressions. Son style est simple et clair. Dans l'histoire de la littérature, son œuvre est importante car elle est écrite dans la langue commune (la koinè), une variante de l'attique qui s'est répandue vers 300av.J.-C. Panétius 180 - 110av. J.-C. Posidonios 135 - 50 av. J.-C. Denys d'Halicarnasse 29 - 8 av. J.-C. Denys d'Halicarnasse, historien et critique grec du Iersiècle av.J.-C. Originaire d'Halicarnasse, il s'installe à Rome v.30av.J.-C. Il y enseigne la rhétorique et y anime un cercle littéraire

l'auteur d'un plan rationnel de cité communiste (l'île de Panchaïe). Les tendances à l'universalisme invitent tous les hommes à la communion dans l'humain, et sont à ce titre les premières philosophies de la personne. Ainsi, dans le courant stoïcien, Posidonios (l'un des maîtres de Cicéron) présente une première critique systématique de l'esclavage aux IIe siècle av. J.-C. et Ier siècle av. J.-C., et influence le droit romain dans le sens d'un adoucissement de la condition servile. Le Monde Romain Rome