Position schizo-paranoïde

possible de spécifier ces deux sous-disciplines à partir des critères spécifiant classiquement les différentes disciplines scientifiques soit leur objet d’étude, leurs méthodes, leur histoire et leur champ d’application. Nous venons de le voir selon la position des auteurs, elles sont susceptibles de se voir attribuer le même objet : la souffrance psychique. Elles font appel aux mêmes méthodes : l’entretien clinique, les tests. Leur histoire est liée et elles s’intéressent au même champ d’application, celui

hallucinations restent flottantes et fragmentaires, le comportement est irresponsable et imprévisible ; il existe fréquemment un maniérisme- L’humeur est superficielle et inappropriée- La pensée est désorganisée et le discours incohérent). Cas de Patrick. Paranoïde (différent de la paranoïa):se caractérise essentiellement par la présence d’idées délirantes relativement stables, souvent de persécution, habituellement accompagnées d’hallucinations, en particulier auditives, et de perturbations des perceptions-

les forts, ceux qui savent l’emportent toujours sur lui. 32 Edgar MORIN, Pour sortir du vingtième siècle, Nathan, 1981. Ainsi, parents, hommes, professeurs, élites, patrons, banques, chef d’Etat, Etats-Unis, plus généralement ceux qui ont une position hiérarchique, à l’image des dominants sont presque toujours considérés comme bourreaux responsables, alors que ceux qui sont vers le bas de la pyramide sont des victimes innocentes. Même s’il est évident que ceux qui sont en bas de la pyramide supportent

diurnes * 8.8 Relaxation psychanalytique * 9 Influence de la psychanalyse sur d'autres disciplines * 10 Critiques * 10.1 Critiques d'anciens disciples de Freud * 10.2 La psychanalyse comme méthode psychothérapique * 11 La position de Lacan * 12 Psychanalyse et éthique * 13 La psychanalyse, l'institution, et l'État * 14 Dans des œuvres de fiction * 15 Notes et références * 16 Voir aussi * 16.1 Bibliographie * 16.1.1 Œuvres de Freud et de ses contemporains

D’où le rôle du père d’ouvrir l’enfant à l’extérieur. Perspective Kleinienne dans le développement de la psychose : La psychose est une étape normale du développement. On ne passe pas par des étapes sexuelles comme Freud, mais par des positions schizo paranoïde, quand l’enfant grandit, il y a des phases d’indifférenciation puis il va s’apercevoir qu’il y a un autre que lui, cet autre on peut le classer en deux catégories : le bon et le mauvais. L’enfant met en place un clivage, il cherche à s’incorporer

pathologique.!Dans!les!cercles!psychiatriques!soviétiques,! la!catégorie!exitismo!était!une! maladie!générée!par!le!régime!capitaliste!qui!repose!sur!la!compétitivité!et!le!succès.!! 4! position dépressive avec l’augmentation des tendances à la réparation et la diminution au maximum des caractéristiques de la position schizo-paranoïde. Freud autant que Mélanie Klein quand ils parlent de guérison ne vont pas plus loin que ce que la pratique psychanalytique permet. Les deux, consciemment, ont laissé de côté

générateur de frustrations. Ambivalence. • Dans l’alternance de ces vécues que le psychisme humain va se constituer, se construire. • Elle propose de considérer que le développement du psychsime humain se fait en deux phases. Phase schizo-paranoïde : • Tous premiers mois de la vie, à ce stade l’angoisse du nourrisson va être générée par la perception du mauvais sein. • Vécue comme menaçant et pouvant détruire le « moi » • Les rapports aux objets vont être réglés par les mécanismes

honnêtement son erreur en indiquant qu’il a projeté un stéréotype. Son passé marxiste semble lui avoir dicté que les dominants écrasent les dominés. Ainsi, parents, professeurs, élites, patrons, chef d’Etat, Etats-Unis, plus généralement ceux qui ont une position hiérarchique, à l’image des dominants sont presque toujours considérés comme bourreaux responsables, alors que ceux qui sont vers le bas de la pyramide sont des 14 Edgar MORIN, Pour sortir du vingtième siècle, Nathan, 1981. victimes innocentes

détruire la même personne, objet de tous ses désirs. Les racines de ces pulsions destructrices apparaissent déjà dans ce premier amour. Les expériences successives de gratification et de frustration pendant la phase première, nommée par M. Klein schizo-paranoïde39, sont des stimuli puissants pour les pulsions libidinales et destructrices, c’est-à-dire pour l’amour et la haine. Lorsqu’il gratifie, le sein est aimé et ressenti comme « bon » ; mais quand il entraîne de la frustration, il est ressenti

indélébile et irremplaçable dans son psychisme d’une expérience personnelle menée à bien sur un divan, expérience qu’il demeure, de ce fait, capable (et lui seul) de faire revivre à d’autres humains. Sur le plan clinique nous développons ici une position attachée à certaines conceptions qui ne reconnaissent que deux formes de névroses: la névrose obsessionnelle et l’hystérie (d’angoisse ou de conversion); les comportements dépressifs ou phobiques ne se trouvant le propre d’aucune structure exclusive