Positivisme

2) le romancier doit procéder comme les hommes de sciences, doit procéder par observation et par expérimentation. Pourquoi raconte-t-il cela? Comme tous les intellectuels, il s'intéresse à la science car la science au 19è siècle, c'est le positivisme, c'est la croyance dans le progrès de l'humanité grâce à la science. Cela va culminer avec Jules Verne, mais c'est vraiment avec Zola que la pensée scientifique en littérature va atteindre la notoriété. Quelques hommes qui vont influencer Zola

devant une vision cohérente qui ai du sens et qui soit aussi et surtout instructive pour l’Homme normal. La raison n’a donc pas de contenu scientifique précis mais plutôt une mise en forme et une recherche. Or la raison en laquelle le positivisme a voulu voir une sorte d’autorité quasi religieuse, à trop souvent pris la forme d’un équivalant idéologique du Dogme de l’Eglise. Il faudrait croire dans un système de principe et de lois admis par consensus pour être rationnel, comme

ne doit, en théorie, pas y avoir de place pour la subjectivité). – Son œuvre doit s'appuyer sur une recherche documentaire la plus exhaustive possible. – La science est prise comme un modèle méthodologique à suivre (rigueur et objectivité) : positivisme scientifique (c'est l'idée que la science est seule capable de permettre la connaissance du monde et de le développement du progrès humain). – L'écriture réaliste utilise certains procédés aptes à créer l'illusion du réel. Le Naturalisme est un

légitimité rationnelle est une croyance dans la légalité des règlements des arrêtes et du droits de donner des directives qu’ont ceux qui sont appelés a exercé a la domination par ces moyens. On aboutit à une domination légale. Il vise une forme de positivisme juridique dans le cadre d’un état de droit. Cela s’accompagne de l’extension de la bureaucratie, une administration spécialisé chargée de mettre en place et de faire appliquer ce droit. La bureaucratie se présente donc comme une organisation au

Définition du droit constitutionnel Comme norme = pouvoir normatif = qui a le droit de faire du droit Comme science ayant pour l’étude de ces normes = vision positiviste = règles imposées par les êtres humains au sein d’une société A l’intérieur du positivisme : le réalisme Le normativisme: la norme a du sens Le droit devrait être clair pour tout le monde puisque les hommes sont à la fois l’auteur et le destinataire de ces règles Les normativismes comme les réalistes : une norme c’est la signification

? La première hypothèse est « positiviste » (on ne reconnaît que l’existence du droit positif) : le juste est le légal et rien d’autre. Est juste ce qui est permis par la loi et injuste ce qui est interdit par la loi. Cette thèse du positivisme juridique est défendue par le philosophe Hans Kelsen dans son ouvrage intitulé Théorie pure du droit (1934). Si le juste est seulement définit par la loi, il n’y a donc jamais de loi injuste et c’est une absurdité d’imaginer une telle chose car

au centre. Ceci provoque des réactions défensives et agressives de l'Eglise catholique. Se développe alors une pensée rationnelle contre l'Eglise. Les choses vont aller en empirant jusqu'au début du XXème siècle : les penseurs athées, le positivisme, Marx, Freud,... Actuellement on assiste à un réexamen de tout cela : la science peut faire peur et même mal, elle rentre dans les domaines où tout n'est pas si simple, si carré. On assiste à l'introduction d'un relativisme qui remet en cause

nature réaliste ». Henri Mitterand distingue deux périodes dans le naturalisme théorique de Zola qu'il situe au carrefour du Romantisme (Jules Michelet et Victor Hugo), dont il a été imprégné par ses lectures de jeunesse, et du Positivisme qu'il a pratiqué à la Librairie Hachette (Taine et Littré). La première époque court de 1866 à 1878 avec un point de départ posé par la publication de Mes haines. Zola s'y veut moderniste, révolutionnaire dans l'âme, en réaction. Il rejette le romantisme

doctrine qui atteste des efforts de l'artiste pour s'identifier au travail du biologiste : l'artiste réalise sur la matière sociale ce que le biologiste fait sur la matière animale. C'est que l'art de tout le XIXème siècle a comme épine dorsale le positivisme d'Auguste Comte : un désir d'établir le progrès de l'humanité en remplaçant la religion en édifiant l'Etat moderne. Il s'agit dès lors pour un Sainte-Beuve en 1863 d'affranchir l'humanité de ses illusions (2) Le terme dès lors sera récupéré par

les libertés fondamentales. Les lois de Ferry instaurent l’école laïque, gratuite et obligatoire. Dans la seconde moitié du siècle, les progrès scientifiques et techniques préparent l’avènement du mode de vie moderne. Sur le plan des idées, le positivisme triomphe. A l’expérience et à la raison, le symbolisme oppose en réaction la sensibilité et l’irrationnel. Les symbolistes utilisent les termes rares, les symboles et les tournures recherchées pour aller au-delà des apparences et découvrir le sens