Postillon

«partisans» avaient fait édifier des hôtels au moment où triompha le système de Law. - «malotru» : Personne sans éducation, aux manières grossières. - «on la rendra» : On la remettra. - «Je vais envoyer» : Je vais envoyer un commissionnaire. - «postillon» : Conducteur d’une voiture des postes ; de là : messager. Scène 4 : - «sa menace» : Voir plus haut : «Si je disais un mot, ton maître sortirait bien vite.» (II, 10). - «ne nous défait pas de cet homme-là» : Ne nous en délivre pas. - «son congé»

«partisans» avaient fait édifier des hôtels au moment où triompha le système de Law. - «malotru» : Personne sans éducation, aux manières grossières. - «on la rendra» : On la remettra. - «Je vais envoyer» : Je vais envoyer un commissionnaire. - «postillon» : Conducteur d’une voiture des postes ; de là : messager. Scène 4 : - «sa menace» : Voir plus haut : «Si je disais un mot, ton maître sortirait bien vite.» (II, 10). - «ne nous défait pas de cet homme-là» : Ne nous en délivre pas. - «son congé» :

«partisans» avaient fait édifier des hôtels au moment où triompha le système de Law. - «malotru» : Personne sans éducation, aux manières grossières. - «on la rendra» : On la remettra. - «Je vais envoyer» : Je vais envoyer un commissionnaire. - «postillon» : Conducteur d’une voiture des postes ; de là : messager. Scène 4 : - «sa menace» : Voir plus haut : «Si je disais un mot, ton maître sortirait bien vite.» (II, 10). - «ne nous défait pas de cet homme-là» : Ne nous en délivre pas. - «son congé» :

poches de son tablier, et dont la – 42 – bonne demoiselle elle-même avalait de longs chapitres, dans les intervalles de sa besogne. Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du cœur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme

toujours dans les poches de son tablier, et dont la bonne demoiselle ellemême avalait de longs chapitres, dans les intervalles de sa besogne. Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du cœur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme des

et dont la bonne demoiselle elle-même avalait de longs chapitres, dans les intervalles de sa besogne. Ce n'étaient qu'amours, amants, amantes, dames persécutées s'évanouissant dans des pavillons Chapitre VI 38 Madame Bovary solitaires, postillons qu'on tue à tous les relais, chevaux qu'on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du c ur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme des

les poches de son tablier, et dont la bonne demoiselle elle-même avalait de longs chapitres, dans les – 41 – intervalles de sa besogne. Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du coeur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme

maître de votre coup. Vous pourriez tuer votre homme au lieu de le blesser. Le bruit d'une voiture se fit entendre. − Le voici, dirent les témoins qui bientôt aperçurent dans la route une calèche de voyage attelée de quatre chevaux et menée par deux postillons. − Quel singulier genre ! s'écria l'adversaire de Valentin, il vient se faire tuer en poste. A un duel comme au jeu, les plus légers incidents influent sur l'imagination des acteurs fortement intéressés au succès d'un coup ; aussi le jeune homme

votre coup. Vous pourriez tuer votre homme au lieu de le blesser. Le bruit d’une voiture se fit entendre. — Le voici, dirent les témoins qui bientôt aperçurent dans la route une calèche de voyage attelée de quatre chevaux et menée par deux postillons. — Quel singulier genre ! s’écria l’adversaire de Valentin, il vient se faire tuer en poste. A un duel comme au jeu, les plus légers incidents influent sur l’imagination des acteurs fortement intéressés au succès d’un coup ; aussi le jeune homme

les repérerez dans l'extrait suivant en les classant en trois catégories destinées à définir les orientations générales du goût romantique : Ce n'étaient qu'amours, amants, amantes, dames persécutées s'évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu'on tue à tous les relais, chevaux qu'on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du coeur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme