Poucette

Etude d'une image (Le petit poucet) Ce document est une gravure de Gustave Doré, réalisée pour illustrer un récit "Le petit poucet" de Charles Perrault paru en 1697 dans les contes de ma mère l'Oye. Cette image illustre le moment où l'ogre va malencontreusement tuer ses sept filles croyant être les sept garçons retrouvés par sa femme quelques heures auparavant. Au premier plan, nous pouvons voir cinq des sept filles de l'ogre qui sont entrain de dormir. Celles-ci sont bien rondes, belles et

intéressées plus particulièrement au français, nous avons cherché la place de l'homme dans plusieurs contes, ses origines, son caractère. A la fin des recherches nous avons retenus quatre oeuvres: trois contes étaient de Charles Perrault: Le Petit Poucet, La belle aux bois dormant et Riquet la Houppe le quatrième est un conte du Prince de Beaumont: La Belle et la Bête car tous quatre nous on permit de mettre en parrallèle le contexte historique de l'époque où les contes ont été écrits, et les contes

à une morale, tout simplement, comme le dit La Fontaine, ses fables ont pour but de « plaire » et «  d’instruire ». Et il vrai, que n’importe qui prendra plaisir à lire, ou à se faire conter Le Lièvre et la Tortue de La Fontaine ou encore Le Petit Poucet de Charles Perrault, qu’il soit enfant, adolescent ou adulte. De plus, l’auteur avec un récit plaisant nous mène à une vraie réflexion philosophique. Mais qu’est-ce qui peut bien susciter le plaisir et l’intérêt chez le lecteur ? Dans un premier temps

en 1697 pour Charles Perrault (1628-1703) dans son œuvre « Contes de ma mère l’oie » (recueil de huit contes populaires -« Barbe Bleue ; La belle au bois dormant ; Le petit chaperon rouge ; Le chat botté ; Les fées ; Riquet à la houppe ; Le petit poucet »-. Perrault prend le sujet de ses contes de la tradition orale ou écrite (un folklore populaire français, des légendes médiévales, chevaleresques ou courtoises, des textes de la Renaissance italienne...), mais il les retouche et les réélabore selon

Rimbaud tel un pauvre vagabond : - Ses vêtements sont élimés : ses poches sont « crevées (v1), son « paletot » était si usé qu'il n'était plus qu'une « idée de paletot (v2), Ses souliers sont abîmés par la marche (v14).- La comparaison avec le Petit Poucet vers 6 suggère l'errance, le vers 7 quant à lui indique qu'il dort à la belle étoile : on peut se demander dans quelle mesure ce portrait est réaliste. Un art poétique Notion de « fantaisie » : - Rimbaud a donné comme sous-titre

eut personne qui ne pleurât. Dans ce moment la jeune Fée sorti de derrière la tapisserie… » p. 10. Ici nous voyons bien que l’intervention de la fée sert à atténuer la situation critique. Ou encore les bottes de sept lieues dans Le Petit Poucet, « le petit poucet s’était approché de l’Ogre […]mais comme elles étaient Fées, elle avaient le don […] fates pour lui » p.82. Toutefois le merveilleux peut aussi dans certains cas être introduit pour renforcer une situation, aussi bien critique comme dans

destinés aux enfants. En effet, ils touchent un jeune public notamment avec la présence d’éléments merveilleux que l'on retrouve dans la plus part des contes. Nous pouvons les retrouver sous forme d'être fantastique comme « l’ogre » (l.2) dans Le petit poucet ou encore les fées dans la belle au bois dormant, tout deux étant des contes de Charles Perrault . Le merveilleux est aussi présent dans le maître chat, celui-ci étant rusé et pouvant parler. Dans la Barbe bleu, le fait que la barbe soit bleu est

pierre Perrault, est avocat au parlement de paris ; avec sa femme paquette leclec ils forment une puissante famille bourgeoise, imprégné de jansénisme ( doctrine religieuse et morale de 17ème siècle qui prône l'austérité et le vertu.) comme le petit poucet, il fut le 7ème et dernier enfant de le famille 1637 : il commence ses études au collège de Beauvais à paris 1643 : il ne términe pa ssa classe de philosophie pour être rentré en conflit avec ses maîtres après avoir lu et défendu « le discour de

ressemblances entre la situation réelle et celle dans le Petit Nicolas Tout d’abord, visiblement, l’histoire du Petit Nicolas se déroule dans une école de garçons. Dans ce point, Goscinny respecte la situation réelle. Dans le chapitre « le Petit Poucet », nous pouvons voir : il y a une classe pour « les grands », « une classe au-dessus de la nôtre », « une classe » et la classe du Petit Nicolas (Le Petit Nicolas, Folio junior, 2012, p. 111-112, 2ème paragraphe, ). « Les grands » font la gymnastique

moralités (1697). Ce volume contient les neuf contes suivants : La Belle au bois dormant, Le Petit Chaperon rouge, La Barbe bleue, Le Maître chat ou le Chat botté, Les Fées, Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre, Riquet à la houppe, Le Petit Poucet, Peau d'Âne I. LE SCHEMA NARRATIF - Les étapes du récit sont respectée => Situation initiale « Il était une fois....chaperon rouge », à l'imparfait ensuite élément perturbateur introduit par le passé simple : l’envoie chez la grand-mère, lorsque