Poupée de cire, poupée de son

l’exercice de l’activité professionnelle de sa femme - André Courrèges lance une collection avec des minijupes, « Moon Girl » ; Jacques Dutronc écrit et interprète en 1966 Mini, mini, mini ; affaire Noëlle Noblecourt - France Gall chante Poupée de cire, poupée de son à l’Eurovision (Serge Gainsbourg) - les Beatles à l’Olympia (triomphe) - loi sur l’autonomie bancaire de la femme mariée, fin de l’incapacité juridique des femmes - débuts d’une extrême-gauche maoïste en France - mort de Le Corbusier

À propos... On dirait quand même que quelque chose cloche. Le visage d’Ida achève de se dessiner. Il est fin, délicat, auréolé de jolis cheveux bruns, mais... elle louche affreusement. Ses yeux tournicotent dans leurs orbites comme ceux d’une poupée mécanique démolie. Et ses fossettes ? Elles ne sont pas à la bonne place, mais au beau milieu de son nez, comme deux narines supplémentaires. « Quelle horreur... »,s’effare Doudou. Ce n’est pas tout : le corps s’avère également un désastre. Bras

simplement mise en mousseline blanche ; sa tante Elisabeth, la veuve du notaire Aubertot, en satin noir, petite vieille de soixante ans, d’une amabilité exquise ; la soeur de son mari, Sidonie Rougon, femme maigre, doucereuse, sans âge certain, au visage de cire molle, et que sa robe de couleur éteinte effaçait encore davantage ; puis les Mareuil, le père, M. de Mareuil, qui venait de quitter le deuil de sa femme, un grand bel homme, vide, sérieux, ayant une ressemblance frappante avec le valet de chambre

simplement mise en mousseline blanche ; sa tante Élisabeth, la veuve du notaire Aubertot, en satin noir, petite vieille de soixante ans, d'une amabilité exquise ; la sœur de son mari, Sidonie Rougon, femme maigre, doucereuse, sans âge certain, au visage de cire molle, et que sa robe de couleur éteinte effaçait encore davantage ; puis les Mareuil, le père, M. de Mareuil, qui venait de quitter le deuil de sa femme, un grand bel homme, vide, sérieux, ayant une ressemblance frappante avec le valet de chambre

amicale. Il avait un peu l’impression de la salir. Et de se salir au passage. C’était un peu déroutant pour lui, ce sentiment nouveau, cette ombre de culpabilité. Marie avait un charmant visage qui reflétait l’innocence et la gentillesse. Un visage de poupée en porcelaine qui respirait bon cette humanité que lui avait un peu perdue pour survivre au milieu de la jungle hostile. C’était aussi la première fois qu’on lui posait des questions, qu’on s’intéressait à lui pour autre chose que pour guérir une

au début elle se passe dans les familles. Le père ayant l'autorité absolue sur sa famille. Progressivement, les romains les plus riches vont avoir recours à un esclave précepteur puis à des écoles privées. Le jeune romain écrit sur des tablettes de cire parfois d'argile avec un stylet en fer. Quand le papyrus va apparaître, le parchemin, les jeunes romains écriront avec un roseau taillé trempé dans de l'encre naturelle soit végétale soit minérale. L'enfant s'entraine d'abord sur des lettres gravés

ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO. – Fais ce que tu voudras, mais ne me 15 trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une action que je ne voudrais pas faire moi-même. OCTAVE. – Si tu escaladais

dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO.—  Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une action que je ne voudrais pas faire moi-même. OCTAVE.—  Si tu escaladais ses murs 

dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO .mdash ; Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une action que je ne voudrais pas faire moi-même. OCTAVE .mdash ; Si tu escaladais

Lili-Catherine. Et un beau jour, de découverte en révélation, il finit par l'apprendre. Lili-Catherine, cette inconnue, est la personne idéale pour aider Damien dans la vengeance qu'il a entreprise contre Madame, à coups d'épingles dans une poupée de cire. Elle peut enflammer les arbres. Elle peut accidenter les voitures. Elle peut briser les miroirs et déchaîner les pianos. Elle peut tuer. Elle a de l'expérience. Cela fait quinze ans qu'elle est morte. Résumé apéritif du livre : « Derrière