Pour Ou Contre Les Nanotechnologies

près des parcs technologiques. Ils représentent 56% des lauréats des prix Nobel de science de 1980 à 2006. -L’innovation vient donc très souvent des Etats-Unis, en informatique avec Apple et Google par exemple, mais aussi en biotechnologie, nanotechnologie. Tous ces secteurs sont la source de croissante future pour les E-U, et sont dynamisés par les Start-up (jeunes entreprises de haute technologie). b) Un modèle culturel : -On parle de ‘Soft power’, qui est la capacité d’influence des E-U, dont

d’investissement. Il n’en demeure pas moins un outil financier nécessaire à beaucoup pour obtenir des prêts bancaires et se développer. Ainsi, mal pensés, des transferts supplémentaires de profit au bénéfice des salariés pourraient se révéler finalement contre-productifs. FAIRE BOUGER LES FRONTIÈRES Dans ce débat sur le rééquilibrage entre capital et travail, il faut souligner qu’au rebours des idées reçues, les PME redistribuent plus de profits à leurs salariés que les multinationales. Parfois, d’ailleurs

développement pour l’économie française sont ; -Premièrement, le secteur technologique, le développement et l’évolution des technologies numériques de l’information et de la communication sont toujours en grande expansion. Les biotechnologies, les nanotechnologies et technologies permettent d’améliorer le progrès technique et de favoriser ainsi la croissance. Ensuite, concernant l’environnement, la forte croissance de grands pays, appelés « émergents », étant devenus de grandes puissances économiques

Technologies pour la santé ». Par nature multidisciplinaire, les Technologies pour la santé couvrent une très grande variété d'applications (outils informatiques, diagnostic, outils et réactifs de recherche, imagerie, automatisme, robotique, micro et nanotechnologies appliquées à la médecine, chirurgie, ….). Elles contribuent, en retour, à la recherche fondamentale, en résolvant les nouveaux problèmes scientifiques en physique, chimie, informatique, … posés par ces recherches et en apportant des outils nouveaux

utilisés dans l’industrie et les services, ce qui ne signifie pas pour autant que le potentiel d’innovation qui leur est associé soit épuisé. Elles peuvent trouver de nouvelles applications dans le domaine de la santé, de l’éducation, de la lutte contre le changement climatique avec les réseaux intelligents par exemple. Dans le domaine de la santé, le développement du numérique peut permettre non seulement d’améliorer la qualité des soins à l’hôpital, au domicile ou en télédiagnostic, mais aussi

Il s’avère que le progrès scientifique du XXè siècle a fait pencher la balance du côté des dérives de la science. Ainsi, la science est allée jusqu’à s’opposer aux libertés (A), voire menacer la survie de l’espèce humaine à terme (B). Prenant le contre-pied du progrès tel que conçu par les positivistes, la science a été dans certaines occasions un moyen de destruction et de restriction des libertés. En premier lieu, la coïncidence entre progrès et guerre est frappante. Ainsi, les périodes de guerre

les signaux moléculaires émis par d’autres cellules qui, seuls, leur permettent de réprimer le déclenchement de leur autodestruction »3. La mort contrôlée des cellules permet le développement de l’embryon, la régénération des tissus, la lutte contre les maladies, mais conduit aussi inexorablement à la disparition de l’intégrité globale de l’individu, à la mort. Elle est donc interne à l’homme, inscrite au fondement même de son existence. Mais le problème le plus complexe apparaît lorsqu’il s’agit

les nouveaux marchés prometteurs : celui des nouvelles technologies de l’information, les technologies liées à la croissance verte et les biotechnologies (leur intérêt est aussi de gagner en productivité). Dans le même domaine le marché des nanotechnologies est intéressant à exploiter tout comme celui des révolutions numériques. Les évolutions relatives à l’environnement internationales touchent particulièrement à la croissance forte des pays émergeants. L’économie française aurait tout intérêt

particulier au niveau des modèles informatiques de communication, de calcul et de stockage et d’interaction avec la réalité physique (les robots), la réalité vivante (l’informatique de la cellule, la bioinformatique), et la réalité invisible (les nanotechnologies). L’intelligence ambiante n’a pas eu le succès escompté en regard des investissements réalisés depuis les divers programmes de recherche (Eurêka, PCRD) financés par l’Europe et par des industriels. C’était une « commande industrielle » au départ

échanges extérieurs avec ce pays frontalier. Les secteurs industriels y occupent une place importante non négligeable, ce qui contribue largement à l'essor économique régional. Cependant, malgré de tels avantages, la région a aujourd'hui du mal à lutter contre la crise actuelle. Pourquoi une région avec de tels atouts a-t-elle tant de difficultés à s'affirmer comme région-moteur? Tout d'abord, il s'agit de décrire la région dans son ensemble, puis d'étudier les facteurs explicatifs de telles difficultés