Pour Philosophie Faut Il Ne Rien Croire

COURS DE PHILOSOPHIE Introduction à la philosohie La philosophie est née en Grèce entre le XVIe et le Ive siècle avant Jésus Christ. Les philosophes de cette époque comme Thalès de Millet, Anaximandre, Héraclite et Anaximandre étaient appelés les “Pré socratiques” parce que c'est avec Socrate qui ont commencé les principaux travails philosophiques. Ils pratiquent une philosophie panthéiste (Dieu s'identifie avec le monde) et ils ont forgé avec Leucipe et Démocrite une philosophie matérialiste qui

que le dictateur incarne la raison, parce que les media le rappellent quotidiennement. Qui prétendrait le contraire serait lynché. L‘histoire de la psychologie de chacun rappelle que la raison nous a d’abord été inculquée. Il a fallu commencer par croire avant de se permettre de penser. Exemple de lieu commun gobé comme un principe irréfutable (parce qu’indémontrable) : l’Homme est seul doué de conscience, aucun animal ne lui arrive à la cheville. “Tout le monde le sait”. Inutile donc de le prouver

philosophique, d'asseoir mieux qu'il ne l'est le droit de juger librement et de dire ce qu'on pense. Il va cumuler et articuler deux sortes d'arguments : ceux, religieux, qui appartiennent à la critique de l'Ecriture (exégèse), et ceux qui relèvent de la philosophie politique. Le plan du livre, tel qu'il est annoncé, montre ainsi essentiellement deux parties: 
1) les chapitres 1-15 établissent que la théologie laisse à chacun le droit de philosopher comme il l'entend ; 
2) les chapitres 16-20 montrent que cette

domaine de la philosophie spéculative" (Prolégomènes, 260, p. 18). Cela ne peut étonner dans la mesure où la philosophie de Hume est avant tout critique. En ce sens, elle prend place dans le courant d'idées qui, au XVIIIe siècle, ruine les systèmes métaphysiques que le XVIIe siècle avait élaborés, en s'attaquant essentiellement aux deux notions qui en constituaient les fondements : la notion de substance et la notion de cause. On peut ainsi considérer Hume comme le fondateur de la philosophie moderne,

* Partie 1 1. Qu’est-ce que la justice pour Socrate ? Pour Socrate la justice se définit par la fidélité dont il tente de faire preuve envers les dieux. Selon lui, il faut absolument croire aux dieux, leurs être fidèles et plus particulièrement leurs obéir. Aussi, la justice pour lui c’est de seulement faire le bien et de ne dire que la vérité en étant juste. Par exemple, Socrate a décidé de se lancer dans une mission pour vérifier si l’oracle avait réellement raison à son sujet car lui ne

représentations ou des systèmes de représentations qui expriment la nature des choses sacrées, les vertus et les pouvoirs qui leur sont attribués, leur histoire, leurs rapports les unes avec les autres et avec les choses profanes. Mais, par choses sacrées, il ne faut pas entendre simplement ces êtres personnels que l'on appelle des dieux ou des esprits; un rocher, une source, un caillou, une pièce de bois, une maison, en un mot une chose quelconque peut être sacrée. Un rite peut avoir ce caractère; il n'existe

Anselme de Canterbury, le premier penseur scolastique (philosophie visant à concilier l'apport de la philosophie grecque avec la théologie chrétienne) a aussi formulé une preuve ontologique de l’existence de Dieu : Dieu est tel que rien de plus grand ne peut être conçu ; Or même le païen qui nie l'existence de Dieu a dans son intelligence une représentation de Dieu, Donc Dieu existe dans l'intelligence du païen, et comme il est tel que rien de plus grand ne peut être conçu, il existe aussi hors

faux. L’artiste imite moins les choses présentes dans la réalité que la réalité elle-même : il veut donner l’impression du réel. Pour cela, il utilise des techniques pour faire croire aux individus que la chose représentée est bel et bien une vraie chose, c’est-à-dire une chose réelle. L’artiste parvient à faire croire au spectateur qu’une certaine chose existe, qu’elle est réelle alors qu’elle ne l’est pas. C’est le cas par exemple lorsque l’œuvre d’art induit les sens de l’homme en erreur comme

le plus gravement la raison, c’est faire déraisonner le plus gravement la raison que de la déguiser en déesse, en cabotinage et musique ; c’est la trahir que de lui fabriquer des fêtes religieuses, des imitations en simili-culte, avec tout ce qu’il faut. Et même l’admirable prière que Renan fit sur l’Acropole après qu’il fut parvenu à en comprendre la parfaite beauté n’a plus aucun sens, lue ou déclamée sur les planches devant la foule inépuisablement trompée. Déclarons-le sans peur. Et sachons nous

bonheur – philosophie - terminale (l’antisèche) - Le besoin = tendance qui nous pousse vers ce qui est nécessaire : cyclique, identique, indifférent à l’objet de satisfaction (verre d’eau), (boire, soif, n’importe quel liquide). Le besoin provient d’une sensation de manque de quelque chose qui est nécessaire à la vie. - Le plaisir = Sensation éphémère (même quand on écrit triste, malheureux). Épicure : plaisir = absence de douleur (physique et âmes, esprit), quand on ne souffre de rien.