Pour être Heureux Faut Il Laisser Libre Cours à Ses Désirs

souhaité. Elle vise à la réalisation d'un but, à l'amélioration de notre mode de vie. On parle bien souvent de progrès technique. On peut penser que la technique permet aux hommes de mieux vivre, elle a pu nous permettre d'aller plus loin dans des recherches, c'est une des première chose à laquelle on pense lorsqu'on parle de technique, mais c'est aussi un moyen de « contrôler » la nature. Le rationnel est fondé sur la raison, sur le raisonnement par opposition à l'expérience. Être rationnel s'est

devrait obéir »[10]. Il ajoute : « L’empire des femmes n’est point à elles parce que les hommes l’ont voulu, mais parce que ainsi le veut la nature : il était à elles avant qu’elles parussent l’avoir » … « Cet empire est aux femmes, et ne peut leur être ôté, même quand elles en abusent : si jamais elles pouvaient le perdre, il y a longtemps qu’elles l’auraient perdu »[11]. Si l'empire des femmes est indubitable leur dépendance à l'égard des hommes est également très grande. Il affirme : « La femme

correspond à des temps de détresse politique. La guerre du Péloponnèse s’est achevée par la défaite d’Athènes. La culture grecque athénienne se trouve vaincue. On aurait pu croire que l’histoire serait sauvée par Alexandre le Grand, mais ses successeurs ne savent pas maintenir l’empire qu’il a formé et la Grèce est perdante au change. La Grèce entre dans l’obscurité, son temps est achevé et laisse la place à l’ère romaine. L’épicurisme, le scepticisme, le stoïcisme seront des réponses à cette déréliction

pouvons nous nous assurer que nous vivons réellement librement ? Dans Le Traité politique, Spinoza cherche à apporter un élément de réponse à cette question en construisant sa propre définition des termes de liberté et d’esclave afin de trouver véritablement à quoi correspond la possibilité d’action de l'être humain au sein d’une société. Il définit la limite entre un être libre et un être esclave. Le texte traite donc du rapport complexe entre l'être humain et sa propre liberté, Spinoza réfute alors

désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en revue ces motifs plus bas notre analyse. Pour l’heure il faut envisager l’autre

désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en revue ces motifs plus bas notre analyse. Pour l’heure il faut envisager l’autre

d'obtenir volontairement un résultat. Mais à la différence de l'art, la technique vise l'utilité et l’efficacité sans se préoccupé de la perpétuité de l'espèce. Quand on dit que le progrès technique nous libère, on sous-entend une universalité, donc que le progrès technique serait bénéfique pour tous. C'est pour cela que nous allons nous demander si il est réellement bénéfique pour tout êtres vivants sur Terre que de suivre le progrès technique. Ce que j'ai du mal à concevoir c'est quelle type de libération

nécessaire d’éliminer les facteurs de souffrances et à cultiver ceux qui conduisent au bonheur. Des quantités d’études montrent que les gens malheureux ont tendance à être très préoccupés d’eux-mêmes, à se replier, à broyer du noir. En revanche, les gens heureux sont plus sociables, souples, créatifs et plus aptes à tolérer les frustrations de la vie quotidienne. Le but de la vie c’est la recherche du bonheur. Rien que de se lever le matin en pensant à ce que la journée va m’apporter doit me rendre

lui chante. Mais nos désirs viennent bien souvent se heurter à l'interdiction de la loi civile, nous exposant du même coup au châtiment prévu par la loi, si on leur laisse malgré tout libre cours. Ainsi, c'est un fait, les lois de l'État viennent entraver notre liberté d'action. Pourtant, chacun reconnaît également, pour peu qu'il prenne la peine d'y réfléchir, qu'obéir aux lois de l'État est nécessaire pour que l'ordre règne : que serait une société où chacun se mettrait à n'en faire qu'à sa tête

lui chante. Mais nos désirs viennent bien souvent se heurter à l'interdiction de la loi civile, nous exposant du même coup au châtiment prévu par la loi, si on leur laisse malgré tout libre cours. Ainsi, c'est un fait, les lois de l'État viennent entraver notre liberté d'action. Pourtant, chacun reconnaît également, pour peu qu'il prenne la peine d'y réfléchir, qu'obéir aux lois de l'État est nécessaire pour que l'ordre règne : que serait une société où chacun se mettrait à n'en faire qu'à sa tête