Pourquoi Andromaque Est Elle Une Figure Tragique

……………………………………page 13 La sémantique : les mots et leurs signification ……………………………………page 15 L’énonciation ……………………………………page 18 Les figures de style ……………………………………page 21 Lecture Méthodique Données méthodologiques ……………………………………page 25 Étude des œuvres

chèvrefeuille et du coudrier que l’on ne peut séparer sans provoquer leur mort, une métaphore de leur amour : « Ainsi, amie, est-il de nous,/Ni vous sans moi, ni moi sans vous. » L’image végétale, pleine de vigueur, évoque les entrelacs des enluminures, et la figure du chiasme, qui repose sur le croisement des termes de la formule, semble elle-même une métaphore de la dépendance réciproque des amants. La reine trouvera la baguette et rejoindra Tristan avant d’être contrainte de retourner auprès de son époux. Le

multiplient : « ne puis » (l. 6), « ne sert point » (l. 6-7), « sans » (l. 7). Les noms « muet » (l. 8) et « prison » (l. 8) sont aussi négatifs : le héros est privé de parole et de liberté. Ici encore, la mort est présente qui éclaire d’une lumière tragique la solitude du personnage, enfermé dans son silence. Le monologue éclaire ainsi les pulsions qui déchirent le personnage. Exercice 12** 1. La première réplique de Mlle Eurydice, les paroles sans doute chantées, « Nique… muche », la remarque

exemple. Mais il y a des tas d’autres espèces de capitaux : le prestige attribué à un auteur par exemple. Des formes de propriétés de valeur organisent des espaces sociaux. Quel est l’intérêt de convoquer ici la sociologie pour analyser du théâtre ? Pourquoi convoquer cet outil-là pour la littérature ? C’est Marielle Macé, chercheuse du CNRS, qui, commentant sur Fabula l’approche bourdieusienne, essaie de faire le bilan de l’usage que l’on peut faire de tels outils dans l’analyse littéraire générale

retour, cet objet est en somme des plus sympathiques - sur le sort duquel il convient toutefois de ne s'appesantir longuement. LECTURES COMPLEMENTAIRES « La colombe poignardée et le jet d'eau », Calligrammes, Guillaume Apollinaire Douces figures poignardées chères lèvres fleuries Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie Où êtes-vous ô jeunes filles Mais près d'un jet d'eau qui pleure et qui prie Cette colombe s'extasie Tous les souvenirs de naguère O mes amis partis en guerre

comme les blancs qui ont détruit mon village, ont abusé de nos femmes et tué mes amis et nos frères. Nul chez moi ne sait d’où vous venez, mais nous sommes maintenant persuadés que ce n’est pas du ciel. Vous m’avez amené sur vos terres lointaines, pourquoi ? Pour pouvoir mieux éventrer mon enfant ? Comme vous savez si bien le faire ! Je ne vous laisserai pas faire une telle chose ! Prenez moi, prenez ma vie, elle n’a plus de sens sans ma famille ; et depuis que vous nous êtes apparus au loin sur vos

Mlle de Kerkabon ; j’avais toujours cru que le français était la plus belle de toutes les langues après le bas-breton. » (p. 15). Enfin, l’intolérance religieuse, thème cen‑ tral de l’œuvre, est abordée. Lorsque la compagnie demande à l’Ingénu pourquoi les jésuites ne l’ont pas converti à la foi catholique, ce dernier prône une liberté religieuse que ne renie pas l’auteur : « L’Ingénu l’assura que dans son pays on ne convertissait personne ; que jamais un vrai Huron n’avait changé d’opinion »

..............................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts : De l’espace sacré antique à la scène moderne ....152 Vers le bac : « Monologue et solitude dans le théâtre contemporain » .............157 Vers le bac : « La lettre

avoir soutenu le parti aristocratique contre le tyran Pittacos. Mariée et mère d'une fille nommée Cléïs selon les uns, elle se serait, selon les autres, précipitée depuis les rochers de l'île de Leucade après avoir été éconduite par Phaon (amours tragiques qui inspirèrent notamment John Lyly [Sapho et Phaon, 1584] et Leopardi). À partir des poèmes dédiés aux jeunes filles avec qui elle vivait et qu'elle initiait au chant, à la poésie et à la danse, Anacréon et d'autres poètes ont accrédité la légende

composé, dès l’âge de seize ans, un Traité de la servitude volontaire, qui lui avait acquis une grande réputation de savoir. Montaigne a immortalisé son nom par les belles pages qu’il a écrites sur l’amitié qui les unissait. « Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant : Parce que c’était lui, parce que c’était moi. Nous nous cherchions avant que de nous être vus ; nous nous embrassions par nos noms ; et à notre première rencontre, qui fut par hasard