Pourquoi Devons Nous Respecter La Nature

Les possibilités qu’ouvre le génie génétique sont immenses. Nous pouvons modifier les gènes et les introduire dans un organisme pour modifier son information génétique. Nous sommes capables de produire des clones et ce qui n’existe pas dans la Nature. Nous sommes en passe de considérer le corps humain comme une machine dont on peut changer les pièces. Le corps médical applaudit au progrès de la génétique en y plaçant des espoirs immenses de mettre fin à des maladies qui résistent aux traitements

« Multiples sont les motifs que nous avons de protéger la nature » Voltaire Explications de la citation : Nous avons plusieurs raisons de devoir protéger la nature. 1. Préserver la faune et la flore : Plusieurs espèces d’animaux ou de végétaux sont en voie d'extinction, il nous faut donc protéger notre nature afin d'éviter encore plus de disparitions. L'interdiction de chasse pour la fourrure ou pour l'ivoire ou encore de pêche au thon rouge ou de requins (pour leurs ailerons)

Pourquoi obéir aux lois ? Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Les lois posent des limites que nous devons suivre, elles constituent soit des contraintes, soit des obligations. En effet, la loi peut énoncer une nécessité. Telles sont les lois de la nature qui énoncent des rapports constants et nécessaires entre les phénomènes. Ainsi, la loi de la chute des corps est une nécessité et comme face à toute nécessité nous y obéissons

d’être insensible à leurs intérêts. Pour lui l’injustice envers les animaux est aussi grave que le sexisme et le racisme. Cela étant, Singer concède que la souffrance des êtres humains et des animaux n’est pas toujours du même degré. Mais que nous devons considérer qu’il est mauvais d’infliger de la douleur sans raison (par pur futilité) à un être-humain comme à un animal. Par exemple, Signer comprend que pour la survie de l’être humain manger de la viande est nécessaire, mais que dans manger par

bien encore malhonnête pour arriver plus facilement à nos fins ou au but que l'on se fixait, ce sujet mérite réflexion c'est pourquoi nous allons nous y attarder. Nous allons tout d'abord aborder l'opinion la plus commune et spontanée qui consisterait à dire que oui nous serons bel et bien plus heureux dans l'immoralité car on ne s'encombrerait pas de règles à devoir respecter, on se poserait moins de questions pour savoir si notre geste peut-être universalisé ou non. Dans un second temps nous allons

humain doit effectivement changer son rapport envers l’environnement. À première vue, il est clair que l'être humain est confronté actuellement à plusieurs facteurs conflictuels qui oppose en quelques sortes la cohérence de ses rapports avec la nature et la richesse économique. Une chose est sûre: l'être humain est la menace pure de l'existence de notre planète terre et s’il veut changer cette perception, il devra clairement modifier son rapport envers l’environnement. Il existe plusieurs catastrophes

Chaque peuple possède une culture qui correspond au mode de vie d’une société. Dés l’enfance, elle éloigne l’homme de la nature pour l’humaniser et lui transmettre les valeurs et les conduites à suivre. Mais nous sommes souvent choqués par les pratiques de certaines société comme la polygamie, certaines pratiques religieuses, les dictatures. L’homme rejette et juge avec véhémence les comportements de cultures étrangères car ils sont très différents de ses propres coutumes. En effet, les pratiques

présentait pas durant l’Antiquité, c’est pourquoi on ne doit pas parler d’une mais de plusieurs morales. Se pose donc le problème de savoir si la morale n’est qu’une convention sociale ? C'est-à-dire qu’elle se réduit seulement aux mœurs, c’est la société qui forge notre façon de voir, d’apprécier, de juger, peut-on dire que la morale s’acquiert par l’expérience de la vie ? Kant affirme lui que : « Deux choses remplissent mon esprit d'une admiration et d'un respect incessants : le ciel étoilé au dessus

à l’avènement du christianisme, que la vie sur terre devint aussi le souverain bien de l’homme » écrivait Hannah Arendt dans Condition de l’homme moderne. En effet, la vie est ce qu’un homme a de plus précieux et c’est pourquoi, de prime abord, il considère qu’il faut la respecter à tout prix. Penser la vie est une gageure en ce qu’elle est en elle-même l’essentiel, l’évanescent que l’on ne peut définir. Elle ne désigne rien de concret, d’objectif, n’est pas un objet et est présupposée dans l’acte

de la terre ; ils peuvent nous procurer une jouissance passagère, mais ils ne sauraient nous assurer cette paix de 1'esprit et du coeur sans laquelle toutes les joies du monde sont pleines de déceptions et, trop souvent, suivies de dégoût. Voilà pourquoi saint Augustin a pu s'écrier: «Vous nous avez faits pour vous, Seigneur, et notre esprit est agité jusqu'à ce qu'il se repose en vous» (cf. Confessions, Livre I). Disons enfin que la religion est seule capable de consoler 1'homme au milieu des peines