Pourquoi Travaillons Nous

d’âme et empreint d’humanité. « Le théâtre n’est pas, comme on l’a dit, un art inférieur. C’est un art particulier et limité. C’est l’art des minutes intenses, des secousses rapides, l’art des crises, crises de larmes ou crises de rires. C’est pourquoi il vit presque exclusivement d’amour, de scènes d’amour, de drames, de batailles et de réconciliations... Or, si l’amour n’est pas toute la vie, c’est peut-être ce que la vie nous offre de plus émouvant et de plus comique.» Jules Renard MORGANE

d’avancer.  Car Il faut bien avouer qu’il vient un moment, où l’introspection sur nous me^me, seul face à notre miroir, nous lasse.  Il vient un temps où l’on a envie de passer à autre chose, d’avancer voir ailleurs ce qu’il peut y avoir.  Alors,  pourquoi ne pas imaginer qu’il existerait d’autres miroirs que celui de sa propre image ?  Si alors devant moi, se trouvait un miroir plus grand que le précédent, où serait reflété le visage des autres, de l’autre ?  Ce nouveau miroir symbolique, fruit de

la voie de la connaissance, fondée sur une base prouvée et donc immuable qu’est la conscience de soi. La sensation d’être conscient nous accompagne perpétuellement dans la vie quotidienne. Je suis dans la rue, je le sais, et je sais également pourquoi je suis dans la rue, où je vais et d’où je viens. J’ai donc conscience de ce que je fais. De même, nous ne remettons pas en cause notre identité. Ayant conscience d’exister, je peux m’observer, me jauger, me comprendre, savoir qui je suis. En effet

Oui. On voit briller à l’Orient l’E. F. Q : Cette étoile symbolique ne contient- elle aucun autre emblème ? R : On voit au centre, la lettre G. Cette lettre G relève pour moi du mystère de la création ou de la quadrature du cercle. Pourquoi une lettre ? Pourquoi un G ? G, comme géométrie, gnose, gravitation, génie, génération. Certes… mais encore…Je me plonge dans les tentatives d’explications données à la lettre G, qu’elles soient par associations phonétiques (Iod, God…), grammaticales ou encore

Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. -- Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? -- Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma

pratiquons qu’une seul notion de la logistique c’est le transport, mais elle est difficile de la pratiquer d’une manière stricte et correcte, notamment, dans ce domaine qui connait des difficultés sue tous les plans... » - 4eme question : « Pourquoi? » -Le responsable : « La logistique est appliqué par les grandes entreprises surtout les entreprises internationales. » -Cette société est commerciale (partout le Maroc), donc elle à besoin du transport, ce dernier à une relation avec

animal Ce n’est pas le travail qui nous rend humain ou pas, mais la manière dont les hommes l’appréhendent I. Le travail fait de moi un h II. Le travail me prive de mon humanité III. Il y a d’autres choses que le travail qui m’humanisent Pourquoi travaillons-nous ? Quels sont les raisons ? Dans quel but ? Le travail c’est d’abord la marque de la servitude Être de besoin : nécessité Ensuite le moyen éventuel de lever la servitude But : vivre ? Survivre ? bien vivre ? Que gagnons-nous à

site pour suivre les évolutions de votre solution ? “Pas de blog pour le moment mais un forum sur lequel nous communiquons quotidiennement avec nos clients.” - Quels sont, d’après vous, les avantages de votre solution par rapport à vos concurrents ? Pourquoi vous choisir vous ? “Le prix : Vous pouvez faire vos premiers pas d’e-commerçant à partir de 1 € HT/mois. La solution haut de gamme est commercialisée à moins de 40 €HT/mois. La simplicité d’utilisation : aucune connaissance technique requise La

cette transition du travail a altéré certaines tâches que l’homme d’aujourd’hui se force à accomplir sans intérêt et sans réflexion. Cette altération ampute le travail de sa vertu libératrice et synonyme d’élévation vers la conscience de soi. C’est pourquoi certains travaux sont aujourd’hui récurrents pour l’ouvrier, tels que ceux faisant partie d’un modèle de travail à la chaîne comme le fordisme ou le taylorisme. L’ouvrier ne se réalise donc plus en tant qu’être humain mais devient une sorte de

gestion et de prise en charge des risques, notamment à travers le transfert technologique que nous faisons chaque fois que nous invitons les partenaires étrangers à des séminaires de formation. Justement, revenons au séminaire que vous avez organisé. Pourquoi ce genre d'initiative ? C'est dans les traditions de la maison que d'organiser des séminaires et des rencontres dont l'objectif principal est de faire le point sur notre métier. Le séminaire que nous avons organisé à Algérie est le deuxième du genre