Pourquoi Une Comédie Vieillit

préfaces 1 Le rôle d’une préface est d’introduire l’œuvre d’un auteur. Précisez, pour la préface « Une comédie à propos d’une tragédie » et celle de 1832, quel est le genre utilisé et le registre qui domine. Dans la préface de 1832, l’auteur explique longuement son propos et argumente de façon véhémente contre la peine de mort. Il s’agit d’un essai développant une argumentation directe. La « comédie à propos d’une tragédie » est une petite pièce de théâtre satirique. 2 L’auteur qui rédige une préface

diminutifs comme : « Perrette » (v.1), « coussinet » (v.2), « cotillon » (v.6) ainsi qu’un style léger « Notre laitière » (v.7), « bel et bon » (v.18) qui correspondent à la familiarité et au langage des paysans. La Fontaine utilise ici, le genre de la comédie qui est considéré comme un genre haut mais qui possède un style bas, grossier, familier caractéristique du peuple. Il use de la farce pour agir avec le peuple, comme on peut le voir dans la morale des « Poissons et le berger qui jouent de la flûte

Eglogues ; Eloge de la folie ; Essais ; Gargantua ; Heptaméron ; Pantagruel ; Le Prince ; les Regrets ; les Tragiques ; Utopie IV) Le domaine intellectuel et artistique 1) En quelles langues écrit-on ? Pourquoi ? 2) Pour quelles raisons la Renaissance s’intéresse-t-elle à l’Antiquité ? 3) Pourquoi parle-t-on de culture européenne ? 4) Quel est le statut de l’écrivain au XVIe ? (voir mécénat, Académies) 5) La Pléiade : définir cette notion et ses caractéristiques 6) Quelques noms en peinture

Studien, vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting, tickling

Studien, vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting, tickling

vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting

style du XVIII empêche de raisonner. Stendhal traite l’académicien de «vieux» : querelle entre 2 générations. 2ième chapitre : concerne la comédie. Critique du chauvinisme des français. Absence de réflexion chez les français. Vise à prouver que la comédie française classique ne fait pas rire. Elle est dénaturée, dépravée. Si le public rie devant une comédie de molière, c’est que l’école leur a enseigné qu’il fallait rire. Critique du contrôle social. Toute œuvre classique a été romantique en son

est ma maison, la rue est mon pignon. Je regarde les gens qui passent sans me regarder, qui s'efforce d'éviter mon regard rempli de désespoir, comme si je n'existais pas, comme si mon malheur n'était qu'une lueur, une lueur abstraite, un rêve, une comédie, ils ne veulent pas y penser parce qu'ils aiment mieux ignorer le malheur qui se trouve si proche d'eux, juste devant leurs yeux. Ils préfèrent penser que je quête pour pouvoir me droguer alors qu'en réalité je ne cherche qu'à soulager la soif qui

personnages insistent sur cette amitié. Dans les lignes 3 et 4, le mot « ami » est répété trois fois. Dans les lignes 40 à 44, on retrouve les mots « ami » et « que j’estime depuis longtemps ». Cette histoire de tableau permet à l’auteur de faire une comédie de mœurs, comme Molière. C’est une amitié blessée que l’on va ici découvrir. Dans les lignes 69 à 79 : monologue de Serge où il insiste sur l’attitude décevante de son ami. L’anaphore « aucune » est répétée deux fois devant le nom « tendresse » ou

Selon André Pieyre de Mandiargues, ce roman, publié au début d’août 1831, signe les débuts du grand Balzac: de La Comédie humaine, La Peau de chagrin serait ainsi le «porche» (Pierre Citron), voire la «cellule-mère» (Albert Béguin).  Voir les préfaces d’André Pieyre de Mandiargues à l’édition «Folio» du roman (Paris, Gallimard, 1974, p. 8) et de Pierre Citron dans le tome X de La Comédie humaine publiée par la «Bibliothèque de la Pléiade» (édition dirigée par P.-G. Castex, Paris, Gallimard, 1979