Poussière Sur La Ville

étroitement liés les processus d'urbanisation comme un moyen naturel de réduire les coûts de l'agriculture concentration maximale. Cette fonctionnalité a longtemps été confiée à la ville. L'urbanisation a toujours été progressive , mais il y a encore de cela peu de temps 48% de la population mondiale vivait dans la ville, ce pourcentage helas prend une forte tendance a la hausse. Au cours des 50 dernières années, le nombre croissant des grandes (plus de 100 mille personnes) par rapport aux villes année

ménage, les chemises de l’homme… - la forge d’un serrurier y flambait… ( Image de l’urbanisme utilitaire C. Un décor délabré • champ lexical de la saleté : bavures - emplâtrée d’ordure – les marches boueuses – vitrages noirs de poussière – salie de flaques – les pattes crottées • et de l’usure : lèpre – la tache de leur fonte rouillée– un vestibule lézardé • couleurs ternes ou « sales » : grises – jaune – vert glauque – noirs • matériaux simples : sans boiserie -

une délibération ? Eugène Ionesco écrivain Franco-Roumain du XXème siècle, est une référence du théâtre absurde. Parmi ses œuvres on trouve Rhinocéros, pièce où l’auteur met en scène des personnages qui assistent a la transformation de toute une ville en rhinocéros. Cette pièce est généralement interprétée comme une métaphore de la montée du totalitarisme avant la Seconde Guerre Mondiale, bien qu’Ionesco ne veuille en aucun cas faire du théâtre engagé. Dans ce passage, Bérenger se retrouve tout

les hirondelles volent haut dans le ciel. Les boulevards grondent du vacarme des klaxons. La poussière soulevée par les embouteillages est encore chaude du soleil de la journée. Mon frère Jamal ne dit pas un mot. Nous roulons. Je sais que nous partirons cette nuit. Je l'ai compris à son regard. S'il m'a demandé de venir avec lui, c'est qu'il veut que nous soyons ensemble pour dire adieu à notre ville. Je ne dis rien. La tristesse et la joie se partagent en mon âme. Les rues défilent sous mes

…………………………………………………………………………………………………………………. Activité 4 : Document 4 page 63 (Ulysse et le cheval de Troie) o) Qui est le héros de cette histoire ? …………………………………………………………………………………………………………………. p) Pourquoi les Troyens font-ils rentrer le cheval dans la ville ? …………………………………………………………………………………………………………………. q) Que se passe-t-il dans la nuit ? …………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………. Synthèse : r) Construire un petit résumé présentant l’Iliade et l’Odyssée

rassemblant la plupart des rois grecs. Ils assiègent Troie et remporte finalement la victoire grâce à Ulysse qui invente le stratège du cheval de Troie. La guerre de Troie aurai été terrible et sanglante provoquant la mort et l’encerclement total de la ville par les grecs. Ses conséquences ont influencé des auteurs à raconter les périodes mythologiques de la culture grecque dont la guerre de Troie et y exprimer la vision d’horreur perçu à travers différents personnages. C’est ainsi que Racine écrivit Andromaque

La pollution dans les villes Louis:Nous allons vous parler de la pollution en ville et ce qu'elle peux engendrer. Mais tout d'abord, Antoine, qu'est ce que c'est que la pollution ? Antoine: Au sens général du terme, On appelle pollution une dégradation ou une altération de l'environnement, en général liée à l'activité humaine par diffusion directe ou indirecte de substances chimiques, physiques ou biologiques qui sont potentiellement toxiques pour les organismes vivants ou qui perturbent

Voltaire fait une violente satire des courtisans et de l’étiquette imposée à la cour. Les hypothèses de Cacambo déclinent des positions humiliantes : « à genou », « ventre à terre », « derrière la tête », « main sur le derrière », « lécher la poussière » (l89-90) de manière très ironique. Il dénonce à la fois la servilité des courtisans et la vanité du roi d’imposer des rituels compliqués et humiliants. La surprise disproportionnée de Candide à l’écoute des bons mots du roi (l112-114) peut être

nonante trois, mon réveil sonne, son cadran affiche la demi de sept heures, l'heure de se lever approche. Comme à mon habitude, j'ouvre les portes fenetres de mon balcon. L'Egypte est toujours aussi magnifique, le soleil perce déjà à l'horizon et la ville s'anime peu à peu. Je descends les dix escaliers me séparant de ma voiture. Arrivé à celle-ci, je tourne les clés pour démarrer son moteur ; trente deux kilomètres me séparent de ma destination, et mème si les jours passent et se ressemblent, les longs

bagages?» Cette question, Marquise l’adresse à une petite fille, symbole d’un avenir que la romancière a choisi de voir avec optimisme. «Nous oublions souvent quelle chance nous avons de vivre au Québec, à Montréal en particulier qui est la dernière ville du monde encore ouverte aux autres.» C’est d’ailleurs le premier «roman montréalais» de Monique LaRue, sorte d’hommage à la métropole qui lui a, dit-elle, beaucoup apporté. «La diversité, les rencontres qu’on peut faire à Montréal sont d’une richesse