Pouvoir De Fascination Baudelaire La Beauté

Baudelaire, « A une passante », Les Fleurs du mal, (1857)Cours de Bertrand Lepetit / solal1857@gmail.com Pistes pour l’étude du sonnet « A une passante » de Charles Baudelaire 1 « A une passante » Les fleurs du mal de Baudelaire Pistes pour l’étude du sonnet Baudelaire, « A une passante », Les Fleurs du mal, (1857) La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston1

J’ai choisi ce titre car dans certains poèmes on sent que Baudelaire est heureux alors que dans certains autres il est angoissé, ennuyé. C’est le combat éternel de l’homme partagé entre le bien et le mal. II - L'Albatros IV – Correspondances XIV - l’homme et la mer XVII - La Beauté XXII - Parfum exotique XLIV - Réversibilité XLVII - Harmonie du Soir LIII - L'invitation au voyage LXVI - Les Chats LXXVIII – Spleen P17 P19 P31 P34 P40 P65 P68 P77 P99 P110 Synthèse : Ces 10 poèmes m’ont

exotique, bonheur du poète opposé à son mal être et son malaise - adressé au lecteur- l’idéal opposé au spleenHymne à la Beauté-hymne est consacré à Jeanne Duval; amante de Baudelaireaborde la beauté de la femme aimée par la comparaison au bien mais aussi au mal; divine et sataniquela fascination du poète et sa soumission face à sa beauté - adressé au lecteur- la femme, l’idéal, la beauté, l’envoûtement, le beau et l’horribleLa femmeParfum exotique- sonnet régulier; deux quatrains et deux tercets- des

… PAGE 2 – 3 EPITAPHE D’UN CHAT … PAGE 4 – 5 (Joachim du Bellay) LE CHAT … PAGE 6 – 7 (Charles Baudelaire) FEMME ET CHATTE … PAGE 8 – 9 (Paul Verlaine) A UNE CHATTE … PAGE 10 – 11 (Charles Cros) LE CHAT …

l’obscurité médiéval » (Marx). 16’s -19’s : Mépris du Moyen Age Guerre de religion : catholique vs protestant > d’accord juste pour interdire le théâtre. 23/02/2011 Révolution Française : 1789 : Refus de la loyauté, religion, détient le pouvoir et l’argent. + Gros transfert de propriété jamais effectué (bcp de flou) I – Les piller (Vandalisme) II- Mirabo et Talleyrand conserver les prestiges (Pragmatisme) Vandalisme révolutionnaire : Doctrine politique. Il faut effacer les traces de

l’art. Ainsi, il semble qu’au XIXe siècle français, chez Charles Baudelaire, et au XXe siècle québécois, chez Réjean Ducharme, la figure féminine soit intimement liée à la quête artistique du beau. Nous constaterons que la double attitude d’attirance et de résistance chez l’homme par rapport au beau artistique s’applique aussi parallèlement à la femme fatale dans les œuvres étudiées. Dans un premier temps, les Écrits sur l’art de Baudelaire permettront de définir la dualité inhérente à la conception moderne

La poésie 1) Rappel historique * Naissance de la poésie : Orphée et Eurydice. Orphée charme avec sa lyre, la poésie est associée à la musique et a un pouvoir de fascination. Registre épique avec le premier poète, Homère. * Poésie épique au moyen âge. Chansons de gestes (La table ronde, la quête du Graal, le roi Arthur…). * Poésie lyrique. Tradition de la poésie courtoise (invention des formes fixes : ballade, rondeau). * Renaissance (17ème), Italie est l’influence. Petrarque

Hymne à la Beauté        Ce poème  de 1860,  soit  un  an  avant  la  seconde et  dernière édition du vivant de Baudelaire, celle de  référence,  en  fait  une  fleur  du mal  qui semble répondre  ainsi à sa  condamnation  pour  outrage aux  bonnes moeurs, a une place spécifique dans ​ les Fleurs du mal​  :  Il  fait partie  de  ​ la  section ​ Spleen et idéal​ , qui  en annonce le plan en hystéron­protéron  (après­avant);   elle relève  donc de l’Idéal, ce que  corrobore le sujet des  pièces précédentes

« Chant d'Automne », Baudelaire Extrait étudié : Chant d'automne I Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe

Hymne à la Beauté        Ce poème  de 1860,  soit  un  an  avant  la  seconde et  dernière édition du vivant de Baudelaire, celle de  référence,  en  fait  une  fleur  du mal  qui semble répondre  ainsi à sa  condamnation  pour  outrage aux  bonnes moeurs, a une place spécifique dans ​ les Fleurs du mal​  :  Il  fait partie  de  ​ la  section ​ Spleen et idéal​ , qui  en annonce le plan en hystéron­protéron  (après­avant);   elle relève  donc de l’Idéal, ce que  corrobore le sujet des  pièces précédentes