Pouvoir politique

Canonisation du pouvoir politique de l'eveque aux IVe-VIIe siecles : un remede ?CANONISATION DU POUVOIR POLITIQUE DE L’ÉVÊQUE AUX IVE-VIIE SIÈCLES : UN REMÈDE ? Albert Jacquemin Société Internationale de Droit Canonique | « L'Année canonique » 2012/1 Tome LIV | pages 195 à 205 ISSN 0570-1953 DOI 10.3917/cano.054.0195 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn

de la Science Politique Notion de pouvoir I) Qu’est-ce que le pouvoir ? A) Définition Pouvoir : capacité d’un individu à obtenir quelque chose d’un autre que ce dernier n’aurait pas fait sans sa volonté. On peut le définir comme la possibilité pour cette personne de modifier le comportement d’une autre conformément à son attente. Exemples : - Pouvoir d’entreprises : chef d’entreprises sur ses salariés, - Pouvoir d’école : professeurs sur ses élèves - Pouvoir de famille :

rationnelle du pouvoir Hobbes est l’un des premiers penseurs de l’Etat moderne. Etant un contemporain des guerres civiles en Angleterre qui opposent Parlement et monarchistes, il voit l’urgence d’élaborer une théorie rationnelle du pouvoir. Hobbes part d’un constat : sans un pouvoir fort, les hommes s’entre-déchirent. Le pouvoir politique est donc nécessaire ; il n’est pas naturel pour autant. En effet, les hommes sont égaux. Alors pourquoi accepteraient-ils de se soumettre au pouvoir d’un autre homme

roman épistolaire écrit en 1721 par Montesquieu, mais qui parut dans un premier temps de manière anonyme à Amsterdam. Usbek et Rica sont deux persans ayant quitté la Perse pour se rendre à Paris. Durant le roman ils y découvrent les parisiens, la politique, leur religion, qu’ils critiqueront dans des lettres destinées à leurs amis. Montesquieu se sert du roman épistolaire afin de critiquer la société tout en tentant d’éviter la censure. Dans la lettre 24, Rica écrit à Ibben. C’est la première

de la démocratie ), le pouvoir vient donc du peuple. Les citoyens forment l’Eclésia ( assemblée de 40 000 citoyens) et possèdent donc le pouvoir législatif. Les citoyens votent les lois, participent à l’élection des magistrats et peuvent exercer une fonction politique car ils peuvent être tirés au sort pour faire partie de la Boulée pendant 1 an. Les citoyens qui font partis de la classe la plus riche peuvent être choisis pour devenir stratèges et possèderont donc le pouvoir éxécutif. Le tribunal

vérité : le pouvoir est au bout du fusil »Mao-Tsé-Toung. Le pouvoir, du latin « podere », signifie, avoir la capacité de, être capable de. C’est une représentation abstraite des capacités éventuelles ou effectives d’un groupe, d’une institution, d’un pays ou d’un seul être. D’entités, qu’elles soient concrètes ou abstraites (Dieu). Il symbolise donc le panel de possibilités d’agir de(s) entité(s) concerné(s). Plus le panel est large, plus le pouvoir est considéré comme grand. Pouvoir n’est pas faire

Un pouvoir peut-il exister sans chercher à se justifier? Du latin « potere », le mot pouvoir désigne d'abord le droit et le moyen de faire quelquechose, ce qui suppose une autorité, ainsi que les institutions exerçant l'autorité politique. Quelle que soit sa nature, politique, intellectuelle ou même physique, le pouvoir entraîne une certaine forme de domination. L'Histoire nous montre que trop souvent, des peuples se sont dotés d'n pouvoir politique tyrannique. Le pouvoir du tyran n'est jamais

publié dans "Revue Française de Science Politique 51, 6 (2001) 949-963" Violence symbolique et statut du politique dans l'œuvre de Pierre Bourdieu[1] Lahouari ADDI[2] Professeur à l'IEP de Lyon, Ceriep et Gremmo In Revue française de science politique, décembre 2001 Résumé Théorie globale, la sociologie de Pierre Bourdieu contient une dynamique politique que libère la conflictualité sociale généralisée appréhendée à travers les concepts de domination, de pouvoir, de violence symbolique, etc. Cependant

relatives à l’organisation de cet Etat, c’est-à-dire à la désignation des hommes qui exercent ce pouvoir, à leurs compétences, à leurs rapports mutuels. On dira qu’un Etat existe dès lors que trois conditions sont remplies : qu’il y ait un territoire, une population, une puissance publique. En tant que système d’organes, la Constitution ou le droit constitutionnel est l’organisation générale du pouvoir, qui résulte de la répartition des compétences entre les organes. - Du point de vue formelle

Où est le pouvoir ? « Chaque communiste doit assimiler cette vérité : le pouvoir est au bout du fusil »Mao-Tsé-Toung. Le pouvoir, du latin « podere », signifie, avoir la capacité de, être capable de. C’est une représentation abstraite des capacités éventuelles ou effectives d’un groupe, d’une institution, d’un pays ou d’un seul être. D’entités, qu’elles soient concrètes ou abstraites (Dieu). Il symbolise donc le panel de possibilités d’agir de(s) entité(s) concerné(s). Plus le panel est large