Poète Supérieur Homme

Fiche œuvre : Correspondances , Charles Baudelaire Charles Baudelaire, présente une définition du poète qui apparaît comme le médiateur entre la nature et l’homme, dans son sonnet Correspondances. En effet, il est persuadé que seul celui-ci peut percevoir profondément les sensations de la nature, première inspiration d’un poète. En outre, le poète, selon Baudelaire, instaure une synergie avec la nature qui lui permet des suggestions dans ses poèmes. Il nous montre comment à partir des sensations

après : Baudelaire avait le souci de placer en tête de son livre un portrait du poète. À l’origine de ce poème, il y a un souvenir de son voyage de 1842 vers les Indes ; le poète serait intervenu contre des marins qui maltraitaient un albatros. C’est pour cela que Baudelaire raconte, dans ce poème, l’anecdote de l’albatros maltraité par les marins pour en faire le symbole de la condition du Poète. Quelle image du poète Baudelaire nous présente-t-il ? Nous étudierons d’abord comment l’anecdote de

direct avec emploi présent d'énonciation. Adresse un peu méprisante avec expression« vous autres»; - Opposition «je/ vous« : antithèses marquent savoir/ ignorance ds les termes+« c'est parce que » connecteur marque registre didactique : Narrateur supérieur autres, au lecteur. - Egalement lexique de l'horreur avec« dévorent, os, extraire, pompe, sang»: pou assimilé à un vampire. - Mais le mot« quintessence » ( 5ème élément) nous dit que le pou cherche ce qui existe de plus noble et de plus raffiné

celles du poète. Charles Baudelaire, précurseur du symbolisme, nous propose ainsi dans « L’Albatros », publié en 1861 dans la réédition des Fleurs du mal, le portrait original d’un poète-albatros, prototype du poète maudit qui hantera la poésie de la fin du XIX°. Il s’agira donc d’analyser comment Baudelaire s’appuie sur cette analogie avec l’oiseau pour évoquer la double condition douloureuse du poète. Nous analyserons initialement la mise en œuvre  de ces jeux de correspondances entre le poète et l’animal

exagération « gros front lourd », « sa colère fit loi » ou encore « il n’arrivait qu’à la hauteur d’un crime » ; le poète se moque du personnage qui se croit supérieur. On peut voir qu’il est animé d’une certaine violence à la hauteur de la terreur paranoïaque « son piédestal massif ». Le bourgeois est contracté autour de son idée fixe, c’est pour cela qu’il a « ses regards têtus » et c’est un homme des puissances obstructives qui lutte contre le progrès social « féroce et rancunier, autoritaire et fort »

Gautier « Le poète et la foule » et Charles Baudelaire « Théophile Gautier ». Nous allons confronter ses trois extraits, et dire quelles sont les deux conceptions de la poésie qui s’opposent. Tout d’abord nous remarquons deux formes d’oppositions comme nous l’indique le document C : « le but de la poésie est un enseignement quelconque » et « la poésie (…) interroger son âme, rappeler ses souvenirs d’enthousiasme » L’enseignement désigné comme quelconque nous renvoie à la Fonction du poète de Victor

la vie à côté". Alors, en quoi le poète est-il à la fois semblable aux autres hommes et diffère d'eux ? Nous verrons dans un premier temps quelle originalité spécifique les poètes font-ils ressortir dans leurs œuvres, et dans un second temps, qu'il n'existe pas d'incompatibilité entre les poètes et les hommes dit normaux. D'abord le poète est un homme avec une sensibilité exacerbée, dont les sentiments qu'ils le subjuguent sont incontrôlables. Ensuite, le poète est celui qui voit autrement, qui

au milieu de laquelle l'homme se promène envahi mais charmé. Introduction : Charles Baudelaire, présente une définition du poète qui apparaît comme le médiateur entre la nature et l’homme, dans son sonnet Correspondances. En effet, il est persuadé que seul celui-ci peut percevoir profondément les sensations de la nature, première inspiration d’un poète. En outre, le poète, selon Baudelaire, instaure une synergie avec la nature qui lui permet des suggestions dans ses poèmes. Il nous montre comment

# Le poète n'est pas un homme comme les autres et il en souffre. Le paradoxe du poète se retrouve chez tous ces artistes. Il sont inconfortablement installés entre huées et adulations. Ils sont au ban de leur société, leurs contemporains les rejettent, les considérant comme inférieur. Mais les poètes ont bien supérieurs aux hommes, ils dansent avec les Muses, s'inscrivent dans l'éternité d'avec leur art. Ce paradoxe se retrouve à travers les âges aussi bien chez Ronsard, Hugo, Baudelaire ou Apollinaire

plus profond d’eux même. Ainsi nous tâcher de répondre à la question suivante : en quoi le poète est il à la fois semblable aux autres hommes et différent d’eux ? Nous verrons dans une première partie les éléments qui rattachent le poète aux hommes, puis dans une seconde nous nous pencherons sur les éléments qui le distinguent des hommes. Le poète, Un homme comme les autres A) Le poète ,un homme avant toute chose car il éprouve des sentiments et des souffrances universels : ·