Poète Vos Papiers

ouvrage, Ainsi le laboureur faisant son labourage, Ainsi le pélerin regrettant sa maison, Ainsi l'aventurier en songeant à sa dame, Ainsi le marinier en tirant à la rame, Ainsi le prisonnier maudissant sa prison. (1) Magny est un de ses amis, poète comme lui. Texte B – A. de Musset (1810-1857) Poésies nouvelles "Le mie prigioni" ("Mes prisons") [En 1841, Musset s'étant dérobé au service de la Garde Nationale, passa plusieurs jours en prison. Cette mésaventure sera renouvelée en 1843, puis

poésie L'image et la fonction du poète : L'histoire littéraire nous montre que la fonction du poète, c'est à dire la figure qu'il laisse transparaître à travers ses textes poétiques ou ses réflexions théoriques, son rôle social, ont évolué à travers les siècles. Le poète, grâce à la musicalité et à la beauté de ses vers, à la puissance de ses images, crée un univers onirique qui nous permet de nous évader de la réalité et nous fait rêver. Le poète nous aide à mettre des mots sur nos

[pic] | | Introduction I Hugo Homme de Théâtre II Hugo Peintre Dessinateur III Hugo Romancier IV Hugo Politicien V Hugo poète Conclusion Dessins et peinture Citations Source des documents |[pic] | Le XIX éme siècle fût celui de grands changements, nombreux philosophes, artistes critiquent les travers de la société à leur époque. Victor Hugo, né en 1802 et mort en 1885 fût l’un de ces personnages. Par son brillant talent il

d’extérioriser leurs sentiments. Ainsi le poète met à profit son art dans un but thérapeutique. Néanmoins, la poésie est destinée principalement au lecteur. D'autant plus que certains peuvent s'identifier à l'écrivain et être influencés par l'expression de ce dernier. En effet, les états d'âme exprimés par l'auteur peuvent atteindre le lecteur, car les deux sont humains et partagent alors les mêmes épreuves de la vie. Le poète cherche donc à sensibiliser son public. Il

pour chaque action, une vie où on est quelqu’un qu’on ne l’est pas, une vie sans limite et facile à accéder. Ce comportement, plutôt narcissique, lui permettra de développer une sorte d’addiction au réseaux sociaux.“Playmobil” il écrit sur un papier. Le jeune poète, inspiré par les mots de Serge Gainsbourg, décide de chercher ce que l’Antimonde cache. “Qui êtes-vous derrière vos gueules de sims?”, il dénonce dans son poème, les antihumains qui prétendent d’être de vrais humains. Comme sur Twitter et

comme un ruisselet qui creusait ses méandres malgré tous les interdits», se rappelle un des hôtes de ce lieu secret et abject de détention. La prison, une architecture destinée par essence à assassiner toute capacité de création Abdallah Zrika, poète et victime de ces années noires, voyait dans ce besoin d’écrire des vers une échappatoire au carcan : «La prison, dans son essence même, est une architecture pour étouffer la voix, tuer la volonté du prisonnier et assassiner en lui toute capacité de

deuxième gurerre mondiale. Avec Daniel Buren et Gérard Zlotykamien, il est à l'origine de l'art urbain en France. Hanté par des ombres à Nagasaki et à Hiroshima, par des corps disparus, il a posé des images peintes, dessinées, sérigraphiées sur du papier fragile, sur des murs de cités, dans des cabines téléphoniques. Ce sont des images qui se fondent dans l'architecture urbaine. Les témoignages photographiques restent les seules traces de son travail. Ernest Pignon-Ernest dénonce l'art construit

un genre qui allie peinture et écriture. L’art poétique se mêle ainsi à l’art du dessin ; c’est d’ailleurs ce que Guillaume Apollinaire illustre clairement avec ses Calligrammes mais aussi lorsqu’il affirme être un peintre en même temps qu’il est poète: « moi aussi je suis peintre » a-t-il dit à Picasso. Rappelant d’ailleurs qu’Horace disait que la poésie est comme la peinture (Ut pictura poesis). En dépassant ses frontières la poésie mais également les poètes se sont libérés de toutes contraintes

cinquantième anniversaire. Du 19 au 21 décembre, rendez vous au Club des Poètes, 30 rue de Bourgogne à Paris, pour fêter un demi-siècle de poésie, en écoutant les poètes de tous les temps et de tous les pays. 19 décembre 1961 : Jean-Pierre Rosnay, poète, animateur d'émissions de poésie à la télévision et sur France Inter, inaugure au cœur de Paris, à deux pas de l'Assemblée nationale, le Club des Poètes. Il s'agit de « rendre la poésie contagieuse et inévitable ». Depuis ce jour, on peut y venir dîner

«Leçons», «Chants d’en bas» et «A la lumière d’hiver». Ils sont façonnés par le deuil et la souffrance, mais constituent également des lieux où la parole poétique est incessamment remise en question et où s’exprime le besoin d’une réécriture constante. Poète de la transparence continuellement en quête d’une parole juste, il nous offre ici des poèmes qui font échos à sa vie, qui nous laissent entrevoir des bribes de son existence. Nous pouvons donc légitimement nous demander si la poésie n’est pas un voyage