Poésie Extase De Victor Hugo

déroule à Paris en 1848. La France est en pleine révolution. Dans notre montage figurent plusieurs faits réels qui ont marqué la vie de nos héros ainsi que celle des Français. Les poètes qui participent notre récit sont Baudelaire, Georges Sand et Victor Hugo. On y découvrira aussi deux personnages fictifs : un homme issu de la haute noblesse française, le baron Jean de Courbevoie et son esclave Martin. 1848 est une année importante pour la France et ce à plusieurs niveaux. À travers notre montage

l’engagement et la recherche de la liberté. Toutefois, il fallait prendre la relève en poésie. Or, en 1816, le jeune Alphonse de Lamartine, en cure à Aix-les-bains, rencontre Julie Charles, laquelle mourra un an plus tard. Cette histoire d’amour tragique lui inspire un recueil fort mélancolique, Les Méditations poétiques, publié en 1820, qui connaît un succès fulgurant et lance, avant Victor Hugo, la poésie romantique. « Le lac » est le dixième poème du recueil. C’est un poème élégiaque constitué

Préface sur la Nature La nature est un thème incontournable de la poésie surtout lors du romantisme, la nature a déjà existé avant le romantisme, mais le romantisme en a fait plus qu'un décor, (mouvement qui s'oppose au classicisme et vise à une libération de l'imagination et de la langue et privilégie notamment l'expression du moi et les thèmes de la nature et de l'amour) au XIX ème siècle. Elle va donc être source d’inspiration et d’interprétation chez différents auteurs tel que Ronsard

« moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou

le mot « solitaire » qui ramène à l’abandon, et « glacé » qui renvoie à un manque de chaleur humaine, à la solitude, l’abandon, la mort (cadavre froid). (Métaphore du climat pour caractériser un état). On peut aussi penser à l’hiver du cœur de Victor Hugo. Vers 2 : « Deux formes ont tout à l’heure passé » : « Deux formes » : Les personnages ne sont que deux formes, sans nom, sans sexe, sans identité. Ils sont « passés ». Ces deux éléments donnent une atmosphère morbide. Les personnages sont

Lecture analytique n°2 : « Le Cygne » (partie II, du vers 29 à la fin) Présentation du texte - Poème dédié à Victor Hugo, opposant virulent au régime de Napoléon III, qui s’est exilé sur l’île de Guernesey (1855-1870) - Admiration immense de Baudelaire pour Hugo - Dans la lettre que Baudelaire envoie à Hugo, celui-ci explique son projet : « dire […] comment la vue d’un animal souffrant pousse l’esprit vers tous les êtres que nous aimons, qui sont absents et qui souffrent, vers tous ceux qui sont

Baudelaire , « L’horloge » , Les fleurs du mal , 1857 Alphonse de Lamartine , « Le lac » , Méditations poétiques .1820 Esther Granek , « Saisir l’instant » , Je cours après mon ombre , 1981 Louise Ackermann ,  « Le fantôme » , Contes et poésies , 1863 Victor Hugo, « Soleils couchants » , Les Feuilles d'Automne,1831 Théodore de Banville, « bien souvent je revois … » , Les cariatides , 1841 Charles Baudelaire , « L’ennemi » , les fleurs du mal ,1861 François Coppée , « Décembre » , Les mois . Arthur

Objet d’étude(1) : Image et fonction du poète Séquence(1) : La poésie Anthologie Poétique Réalisée par : Lupon Didier 1èreES2 Liste des poèmes : * « À Aurore » de G.SAND. * « Le lac » d’A.LAMARTINE, Méditations poétiques. * « L’Homme et la Bête » de L.Senghor, Ethiopiques ,1956. * « Ô nature ! Bientôt… » de L.ACKERMANN, Poésies philosophiques ,1871. * « Paysage » de B.CENDRARS, Feuilles

plusieurs s'en vont qui devraient demeurer. Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis ! Si même Ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ; S'il en demeure dix, je serai le dixième ; Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! Victor Hugo, Les châtiments, 1852 À M. Félix Guillemardet Frère, le temps n’est plus où j’écoutais mon âme Se plaindre et soupirer comme une faible femme Qui de sa propre voix soi-même s’attendrit, Où par des chants de deuil

(1364-1431) Christine de Pizan est considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésies. « JE NE SAIS COMMENT JE DURE » Je ne sais comment je dure, Car mon dolent (1) cœur fond d'ire (2) Et plaindre n'ose, ni dire Ma douloureuse aventure, Ma dolente vie obscure (3). Rien, fors (4) la mort ne désire ; Je ne sais comment